A Oran, quand on veut on peut !!!
Quand Zerhouni-la-gaffe est arrivé au ministère de l’Intérieur dans les bagages de Bouteflika, une de ses premières décisions, inconnue ou tue par les journalistes locaux, celle-là exécutée manu-militari, avec force mobilisation d’unités de police, efficacement, et sans clins d’yeux a été le déménagement des commerçants informels (surtout ces pestiférés de bouquinistes) installés sous les arcades du centre-ville d’Oran. Il a même fait démolir de beaux kiosques installés depuis les années cinquante du vingtième siècle.
Faut-il dire bravo, est-ce que l’ex-chef espion versé dans le civil est devenu à la fin de sa vie un honnête homme adepte de l’intérêt général ? Que non ! Les appartements de luxe des arcades dont les entrées étaient squattées par les bouquinistes ont presque tous été occupés par des membres de la tribu des Zerhouni, rentrés en Algérie en juillet 1962 en provenance d’Oujda en grands moudjahidine libérateurs et c’est pour leur compte qu’il a agit ! Comme disent les juristes, pas d’intérêt, pas d’action !
Aujourd’hui aussi, pas d’intérêt, pas d’action, l’opération de déménagement de cette armée vaincue de chômeurs transformés en commerçants informels pour manger le pain est menée partout dans la ville à la vitesse d’un escargot endormi sauf sur la corniche oranaise où beaucoup de nomenklaturistes possèdent des résidences d’été et en particuliers un certain Ould Kablia dit "Dahou la Corrup", élève et successeur de Zerhouni, qui s’est approprié lui aussi, dans cette ville transformée en 1962 en butin de guerre et dont il était longtemps un "piètre" wali (il a été mis fin à ses fonctions à l’époque par Boumédiène suite à un important trafic immobilier, dans lequel il aurait été impliqué jusqu’à l’os, connu sous le nom de l’affaire Sotrawo) un certain nombre de commerces et de biens immobiliers.
Farouk Degias
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Mon dieu cette Omerta qui pose avec l'emblème national comme fond de photos Pirates, massacreurs, pilleurs qui ne se rassasient pas….. le peuple vous hait comme la peste ;
Comme quoi être ministre de l'intérieur du bateau en naufrage Algérie, ne demande, ni compétence, ni honneur ! L'essentiel est d'être un aplaventriste sans scrupules !!