Secousse tellurique de magnitude 3,5 à Tichy (Béjaia)

Le littoral bougioute a été secoué par un séisme.
Le littoral bougioute a été secoué par un séisme.

L'activité sismique semble se réveiller au Maghreb. Deux secousses ont secoué l'Algérie et le Maroc ces dernières 24 heures.

Un tremblement de terre de magnitude 3,5 sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistré jeudi dans la ville côtière de Tichi (wilaya de Béjaia), a indiqué le Centre National de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG). La secousse s’est produite à 13h50, et son épicentre a été localisé à 5 kilomètres au Nord-ouest de Tich , a précisé le CRAAG.

Une autre au Maroc

Par ailleurs à plusieurs centaines de kilomètres à l'ouest, une secousse tellurique d’une magnitude de 3,5 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée dans la nuit de mercredi dans la province de Taza (nord-est du Maroc), a annoncé jeudi l’Institut marocain de géophysique (ING).

L’épicentre de la secousse qui s’est produite à 23h45 mn (GMT), est situé dans la commune Gzenaya Al Janoubia, précise l’ING dépendant du Centre pour la recherche scientifique et technique. C’est le quatrième séisme enregistré en moins d’un mois au Maroc.

Avec APS

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Commentaires (2) | Réagir ?

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arezki arezki

A la veille des élections législatives Il faut espérer que cette secousse tellurique ne soit pas récupérée par les islamistes Aux futurs harragas je leur dirai Allah ghaleb ! La plaque africaine s'est approchée du continent européen que de 2 cm.

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Guel Dring

Que Dieu préserve Tichy et notre pays. Il y a toujours ce quelque chose en nous, d'inné, qui nous relie systématiquement à cette puissance mystérieuse, absolue qu'est Dieu, à la première manifestation qui dépasse l'entendement. Et combien de foi Dieu a assisté des désespérés au bord de l'anéantissement quoique la mort soit décrétée pour toute créature sans exception. Dieu est si proche des coeurs meurtris et si loin des gens imbus de leur personne. Ce n'est pas un essai de métaphysique, mais il ne faudrait pas rejeter toute expression sur le sujet, qui serait une forme de blocage provoquée par une angoisse profonde, mais tue, relative à Dieu. On en "admet" l'existence, qui nous laisse toujours perplexes, l'espace d'une idée qui traverse notre cerveau pour laisser place à une confrontation d'arguments, qu'il nous est parfois difficile d'exposer pour la simple raison que personne ne dispose d'arguments aussi convaincants que l'argument de la foi.