« La décision de geler la privatisation du CPA est politique »
Les langues se délient. L’ancien directeur Général du CPA, M. Abdelhadi Merouabi, a expliqué que la décision qui a été prise, hier, de geler le processus de privatisation du Crédit Populaire d’Algérie « a un caractère politique ». Dans une déclaration à El-Khabar, il a considéré que ce genre de confusion est mauvais pour la réputation de l’Algérie.L’expert financier et président de l’association Alger Monterey, le docteur Kamil Sari, a considéré, pour sa part, que la décision n’est pas d’ordre financier et qu’elle a surpris plusieurs centres financiers. « Un tel acte est mauvais pour la réputation de cette banque. »
Dans une déclaration à « El Khabar », le Dr Kamil Sari a expliqué que de telles décisions, qui ont un caractère politique, ont une grande influence sur les milieux financiers. Elles touchent à la crédibilité des entreprises et institutions. Selon cet expert, plusieurs démarches allant dans ce sens sont enregistrées dans les milieux financiers. Ces dernières sont un signe négatif et ne sont pas au profit de notre pays.
« Nous avons constaté comment des rectifications positives ont été apportées sur les plus importants indices de la bourse, qui ont de nouveau augmenté », a-t-il déclaré.
Sur un autre plan, l’expert financier et ex directeur général du CPA, M. Abdelhadi Merouabi, a considéré dans une déclaration à « El Khabar » que vu l’obscurité qui caractérise cette affaire, il est difficile de déterminer les raisons réelles qui ont motivé cette décision.
Dans une déclaration à « El Khabar », le Dr Kamil Sari a expliqué que de telles décisions, qui ont un caractère politique, ont une grande influence sur les milieux financiers. Elles touchent à la crédibilité des entreprises et institutions. Selon cet expert, plusieurs démarches allant dans ce sens sont enregistrées dans les milieux financiers. Ces dernières sont un signe négatif et ne sont pas au profit de notre pays.
« Nous avons constaté comment des rectifications positives ont été apportées sur les plus importants indices de la bourse, qui ont de nouveau augmenté », a-t-il déclaré.
Sur un autre plan, l’expert financier et ex directeur général du CPA, M. Abdelhadi Merouabi, a considéré dans une déclaration à « El Khabar » que vu l’obscurité qui caractérise cette affaire, il est difficile de déterminer les raisons réelles qui ont motivé cette décision.
Commentaires (1) | Réagir ?
Le pourcentage négocié ne plait, surement pas, aux décideurs. Lorsque le taux sera assez consistant, il y aura visibilité.
N'oublions pas que le sieur BENACHENHOU représente le CA dans cette affaire.