El-Mokrani, Boudiaf, Bouakouir, MALG…Il ne faut pas écrire n’importe quoi ! (2)
L’opinion de Alif commence à susciter des réactions. En voici la plus marquante (en 3 parties)
Embrayant sur le fait que le regretté Boudiaf, était sous-officier de l’armée française en 40, il saute directement à Krim Belkacem qui pour sa gouverne a monté un maquis en 1947, soit sept ans avant la révolution, tout en oubliant pas d’égratigner Ben M’hidi au passage pour les mêmes griefs. Donc d’après ce monsieur avoir fait le service militaire ou même s’être engagé avant la révolution dans l’armée française ôte tout mérite aux promoteurs et aux concepteurs du 1er novembre, et pour qu’elle raison on est-on arrivé à cette diatribe débile et à contre sens de l’histoire, pour positionner sa petite famille au-dessus du lot, une grande famille dont aucun n’a fait le service militaire et dont l’un était l’Ami d’Ali La Pointe propulsé pour la circonstance au-dessus de ses chefs que lui-même n’a peut-être jamais rencontrés vu le cloisonnement nécessaire à la guerre révolutionnaire. Pour sa gouverne, je lui apprendrais que même Ben Boulaid a fait la deuxième guerre mondiale, idem pour Ouamrane et beaucoup d’autres, et c’est grâce à l’expérience acquise dans cette armée par ces hommes qu’elle a été tenue en Échec, et que personne n’a jamais fait une guerre sans apprendre à la faire avec les moyens de l’ennemi, et même chez l’ennemi faute d’autre alternative. Ceux qui n’ont pas fait la deuxième guerre mondiale ou l’Indochine ont ou bien appris chez ces grands monsieur ou bien gardé leurs pieds au chaud à la maison ou derrière les frontière à attendre d’où souffle le vent pour faire le beau ou si retire sur la pointe des pieds. Dire de Boudiaf qu’il est venu malgré le peuple, enseigne sur la partie du peuple à laquelle appartenait ce monsieur en 1992, et tant mieux si ce « Peuple n’était pas content » l’essentiel c’est que son Algérie avec son peuple à lui doivent d’être encore debout et d’écouter Kassamen au lieu des cassettes du GSPC et Compagnie. Pour ce qui d’être élu, je ne me souviens pas d’un président élu en Algérie au sens où je conçois l’élection et non les parodies grotesques auxquels on nous a habitués. Il n’avait pas besoin d’être élu il n’y avait plus d’Algérie quand il est arrivé et pour la reconnaissance populaire il ne faut pas être prétentieux et se prendre pour le peuple. Pour revenir à la conceptions houmiste que ce monsieur se fait de la révolution, je lui apprend que pour ne pas faire son service militaire en habitant Alger en 1940 ou 1954 ou même Aujourd’hui, il n y a que trois moyen se cacher et bouger le moins possible ou exiger, prendre le maquis, ou être déclaré inapte, on ne reste pas dans la Houma ya kho pour dire aux gendarmes « je viens pas » n’ayant pas pris le maquis avant la révolution ils seraient devenus célèbres trois frères qui montent un maquis avant l’heure cela se saurait, rester cacher tout le temps sans quitter Alger étant impossible, il ne reste que l’inaptitude physique, et sans être une honte cela ne peut devenir un mérite soixante ans après.
S’adresser au fils de Boudiaf, en lui vantant une amitié qui aurait lié son oncle Moudjahid à Feu Ali la Pointe, comme mettant ce monsieur au-dessus des six premiers, est un chef d’œuvre d’arrogance et de bêtise, durant une révolution personne n’est ami de personne et chacun rempli sa tache dans les limite de l’organigramme fixé justement par ces gens qui ont fait le service militaire.
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merci
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