Le defunt Président Mohamed Boudiaf, Allah Yraou, a vite compris qu'il a été piègé par l'armée, celle des généreux corrompus, ceux qui sont encore à la solde de leur mère patrie, fafa. IL ne faut pas croire que tous les généraux de l'armée algérienne s des corrompus. Certains sont corrompus, mais pas impliqués dans les assassinats et des magouilles à coup de milliaeds de dollars. ! IL existe une catégorie de généraux, les plus mauvais, les plus dangereux, les plus méchants, des criminels, es voleurs, des sanguinaires des chaognards qui sont capables de tuer leurs père et mère pour rendre service à fafa. Ce sont ces généraux qualifiés de mponstres, parmi, le général Belkheir, le général Nezar, le général lamari, le général cheloufi, le général Atailia, le général smail, le général Mediene, l'actuel patron de la DRS et artisan de l'assassinat de M. Boudiaf. Mr Boudiaf été assassiné directement et volontairement par ce clan de généraux que je viens de citer, pour la simple raison, que Mr Boudiaf, avait reçu vers le 15 juin 1992, un rapport accablant du colonel Mokhtari, contre les généraux et souvenez-vous, c'est M. Boudiaf qui avait annoncé pour la première fois, le mot mafia, par lequel, il voulait nous dire par un discours officiel, prévu pour le 5 juillet, qu'il vient de découvrir les membres d'une mafia, composée de génraux, tous, d'anciens DAF, dangereux, corrompus et qui ont vendu le pays à la Fafa. Ils sont toujours à ses services et ce sont des criminels et des gangsters qui n'ont aucune goutte de sang algériens dns leurs veines. IL voulait présenter la liste au peuple algérien pour l'informer de la composition de cette loge de mafia qui se cache au sein de l'armée et qui séstabilise le pays et détruirait son avenir. IL voulai prévenir les citoyens algériens, que le moment est venu, pour sauver le pays d'une tutelle écrasante de la France, il voulait aussi, faire un appel aux algériens pour soutenir son action afin de libérer le pays de ce joug déguisé par les traitres. Il voulait enfin nous annoncer que les traitres, les corrompus, seront arrétés, traduits, jugés et conformément à leurs actes, seront condamnés ou aquittés. Ce sera l'affaire de la justice sans l'intervention du pouvoir exécutif, qu le peuple assistra en direct de la chaine de TV sur les débats de procès des traitres et hélas, M. Boudiaf, ne savait pas que les bureaux de la Présidence de la Républiqu sont truffés partout de micros et que la S. M. écoute tout ce qui se passait dans ce palais. Les généraux ont compris, qu'il ont devant eux, quelques jours pour se débrrasser d'un Président emcombrant et menaçant leurs carrières et leurs intérets, et puis il y a aussi, la tutelle qui a des intérets qui sont garantis par ces généraux criminels. la décision fut prise de le liquider par tous les moyens, et d'une façon urgente, les français ont apporté une aide logistique appréciable et même des avions disponibles pour faire rappatrier les généraux en cas d'échec. le général belkheir a tenu une réunion urgente avec ses complices et la date d'éxécution fut fixée pour la visite à Oran, mais la visite dans cette région avait posée de sérieux problèmes aux oragnisaturs du complot. IL fallait provoquer d'autres visites à travers le pays avant le 5 juillet, sinon, il faut imméditatement quitter le pays. Ghozali, le complice, a été l'un des instigateurs de cette machination diabolique, et le Président qui n'avait point de conseiller en matière de sécurité et tout le système qui fonctionnait, était entre les mains des généraux, M. Boudiaf, n'avait aucun pouvoir pour éviter de tomber dans une embuscade criminelle, préparée par Belkheir, Nazer, Mediene et Cheloufi. Longtemps, après l'assassinat de M. Boudiaf, les services de la S. M. ont liquidé tous les suspects de détention de documents portant liste des membres de la mafia. Boukhobza fut liquidé par ce que la S. M. pensait qu'il avait en sa possession cette fameuse liste et jusqu'à présent, personne ne sait ou se trouve cette liste des membres de la loge de la mafia des généraux criminels et corrompus. C n'est pas tout, je ne sais qu'une mince et fine partie du scénario, les généraux impliqués dans l'assassinat, de M. Boudiaf, de M. Kasdi merbah, du Général Lehbib khélil, du colonel Mokhtari et ses compagnons officiers qui ont démasqués les membres de la mafia, il serait souhaitable, que ces généraux subiraient le même sort que ceux de la Grèce, de l'Argentine, du Chili et d'autres pays qui ont souffert de la dictature des militaires criminels. Nous verrons alors, que ces généraux seront traduits devant la Cour internationale criminelle, pour répondre de leurs crimes contre l'humanité et crimes contre le Chef de l'état avec la complicité de fafa. M. Boudiaf, voulait tout simplement dire toute la vérité au peuple algérien et c'est son courage, son loyalisme, son dévouement pour la révolution et son amour pour son pays et pour son peuple qu'il s'est sacrifié, mais sa mort ne doit pas être oubliée, le peuple doit se recueillir chaque année devant sa tombe, pour lui témoigner, que le peuple est avec lui, qui le pleure et qu'il sera venger inchallah, que les traîtres, malgré l'appui de fafa, ils seront un jour devant la justice humaine et s'ils échappent devant cette justice corrompue, il y a une autre celle qui n'est pas complaisante, chacun doit justifier ses actes et nous verrons ces généraux, comment il vont pouvoir justifier tous les crimes commis contre leurs frères et leurs soeurs. Maintenant, il n'y a pas que les généraux, il y a pire, un nain qui ne cesse d'humilier le peuple, en allant se courber devant Sarkozy et le traître Moubarek et la honte du siècle tout a fait impardonnable, inexcusables, c'est celle de la visite de Moubarek à Alger. ces actes prouvent au peuple algérien, que nous avons des marionnettes et des pantins qui gouvernent ce pays, mais Boutef en est la pire espèce de tous les traîtres et de tous les lâches, il n'est pas digne de nous représenter et encore moins de parler en notre nom. Sa place, c'est la prison pour haute trahison, voila ce qu'il mérite. Gloire à nos chouhadas et vive l'Algérie qui demeure debout et qui refuse de se courber, de s'incliner ou de cautionner la gestion mafieuse des traîtres à la nation. Les lâches assassins. Narram

Mon Cher Frère Nacer,

Sache que ton défunt père n’était pas seulement le tien mais aussi, le notre à tous…. Celui de toute une génération, une nation qui porte encore aujourd’hui, dans les cœurs, ses idéaux, ses espoirs et ses rêves que certains croient avoir brisé à jamais, par « l’acte isolé ». Mais ils se sont trompés lourdement. Ton père… notre père vit toujours au travers de l’âme de chacun de nous et si l’homme est mort, son esprit, lui, nous habite et nous anime, et c’est grâce à lui que nous continuons à rêver pour qu’un jour nous puissions vivre le rêve…son rêve à lui. Et à ce titre, on cher frère Nacer, tu peux avoir la certitude que même si le 29 juin passé, pour la commémoration de « l’acte isolé » il n’y avait qu’un nombre de fidèles cruellement limité et même si les « officiels » se sont isolés enfermés pour éviter d’affronter « l’acte isolé » Souviens toi d’une seule chose ! Ton père c’est le notre, tes chagrins sont les nôtres, tes espoirs sont les nôtres, tes amis et tes ennemis sont les nôtres.

Et à la mémoire de ton père, mon père, notre père à tous, permets moi de te dédier cette ces quelques Mots. Des paroles si douces et si profondes d’une chanson de Idir que j’ai traduite et dans le titre est

« Adjedjigh= Le Coquelicot »

Sans doute, serait-il bon de l'ecouter aussi. voici le lien.

http://www. youtube. com/watch?v=64OSvHeS42A

Ahhh… Un Coquelicot mourut à l’aube

Et Le soleil brilla sur son visage

Pourquoi… ?

Même s’il ne vécut qu’une journée

C’est tout le monde qui se souvint de lui

Si la faucille savait, elle n’aurait pénétré dans le champ de blé …

… Pour le faucher

Ahhh… même si il est mort

Il ne sera jamais anéanti

Car Demain..,

.. . son frère naquit

Oh… voyez vous combien de coquelicots ont poussé

Mon cœur palpita lorsque la crue, passée….

Et on se rendit compte alors que tout ce qui y Reste debout

Finit par être récompensé

On ne savait lorsque l’éclair fut ?

Que lorsque’ sa lumière déchira le ciel dans la nuit

Et la montagne trembla puis… explosa

On ne sait comment, on ne sait d’ou ?

Et le coquelicot disparut…, perdu !

C’est fini ! Il est parti. !. On ne sait ou ?

Ah… Les chasseurs de lumière le prirent avec eux…

Ceux, qui habitent de l’autre côté de la lune

Les cavaliers de l’éclair l’escortèrent,

Ceux qui se déplacent avec l’éclair

A La lune au miroir, ils le rendirent

Et la lune le confia aux étoiles avec qui, désormais, il sera

Désormais, Il brilla parmi elles, on l’a vu !

Le pauvre !… Il a peur qu’on l’oublie

Oh…. les étoiles écrirent son nom dans le ciel

Oh… là ou nul ne pourra l’effacer

Oh… voyez vous l’étoile la plus brillante ?

Sachez que c’est elle que nous dédie le poème

Oh… voyez vous l’étoile la plus brillante ?

Souvenez vous ! C’est elle qui nous dédie ce poème