Pour un tribunal pénal international qui jugerait les crimes de guerre israéliens
Traduction : لتّوقيع انضر ما يلي
Parce que c’est en notre nom qu’en 1945 a été signée la Charte des Nations unies...
Parce que c’est en notre nom que le plan de partage de la Palestine a été approuvé par l’Assemblée générale de l’ONU en 1947...
Parce que c’est en notre nom qu’en 1949, ont été signées les conventions de Genève...
Parce qu’aucune des résolutions de l’ONU concernant la Palestine, adoptées elles aussi en notre nom, n’a été appliquée par l’État d’Israël et que celui-ci, depuis sa fondation, viole en permanence, en toute impunité et de façon de plus en plus cynique, les principes de l’ONU et les conventions internationales.
Nous, citoyens du monde, avons aujourd’hui le devoir de rappeler la communauté internationale à ses obligations !
Nous demandons solennellement
que l’Assemblée générale des Nations Unies utilise son pouvoir de créer des organes subsidiaires pour mettre sur pied un Tribunal pénal ad hoc (sur le modèle des deux créés par le Conseil de sécurité pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda) et juger les crimes commis par Israël en Palestine.
Dans l’immédiat nous exigeons
L’arrêt de toutes les exactions contre le peuple palestinien et la protection internationale de celui-ci ;
La levée totale du blocus de la bande de Gaza ;
L’application obligatoire des résolutions de l’ONU sur la Palestine et des prescriptions du droit international, si nécessaire sous la contrainte de sanctions internationales : diplomatiques, économiques et judiciaires. Israël est un État comme les autres, doté des mêmes droits, et des mêmes obligations.
En particulier nous demandons la suspension de tout accord de coopération avec l’État d’Israël tant qu’il ne respectera pas les résolutions de l’ONU.
Premiers signataires
Stéphane Hessel, ambassadeur de France
Monique Chemillier-Gendreau, professeur émérite de droit public
Gérard Toulouse, physicien
Alain Lipietz, député européen
Philippe Texier, magistrat
Simone Bitton, cinéaste
John Berger, écrivain
Monique Cerisier-ben Guiga, sénatrice
Christiane Hessel
Jean Claude Lefort, député honoraire
Maxime Gremetz, député de la Somme (1ère Circonscription)
Daniel Voguet, avocat
Bernard Ravenel, président de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine et de l’Association France Palestine Solidarité
Jacques Fath, responsable des relations internationales du PCF
Jitendra Sharma, président de l’association internationale des juristes démocrates (International Association of Democratic Lawyers)
Mairead Maguire, Irlande, Prix Nobel de la Paix
Vitaly Gusenkov, Russie, ancien conseiller diplomatique de M. Gorbatchev,
Michel David, chargé des Droits de l’Homme et de la solidarité avec la Palestine à la Confédération paysanne
Jean Claude Willem, Maire Honoraire de Seclin (Nord)
Commentaires (24) | Réagir ?
bravo ". le voyage de 1000 lieux commence par un pas"
israel depasse toutes les limites du droit international. le crime le genocide et le monsenge doivent etre denonces et punis
en tout cas israel a perdu deja la Guerre de la communication malgres des moyens collossaux de ses resaux
les palestiniens sont chez eux
c'est des combattants de la liberte.
les israeliens des oppresseurs racistes et fanatiques et fascisants
J'adhère entièrement à ce qu'a dit Kabyliste.
Il faut d'abord commencer par balayer devant sa porte avant de parler de son voisin lointain.
Non seulement les crimes perpétrés chez nous par les islamistes et leurs alliés du pouvoir durant Octobre 1988 et les Printemps kabyles (1980 et 2001), sont restés impunis à ce jour mais la politique défaitiste de Bouteflika le pousse à envisager une amnistie générale honteuse au profit des assassins de nos frères et enfants.
Ulac smah
Ulac El vote
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