Cessez l'arbitraire
Dans l’air, la fumée des mausolées millénaires
Sous l’éther, un peuple que l’on veut faire taire
Les cris et les pleurs de sa terre et de ses pierres
Sont portés par Kamel-Eddine Fekhar le fier.
Frère, dans le Mzab, rien ne peut plaire
Surtout ta chéchia et la langue de ta mère
Ils ont déjà choisi l’orient qui leur est cher
Ne cherche guère à voir clair, c’est délétère.
Puisque tu ne parles pas le langage du fer
Puisque, tu n’as pas vendu ton âme et ta chair
Puisque, tu as refusé leurs œillères
C’est ici-bas que tu connaîtras l’enfer.
Cher Docteur, tu es trahi par tes frères
L’alléchant dinar est devenu leur repère
De la démocratie que faire ?
Le confortable siège vaut cher.
L’abus confectionne ton suaire
Pour servir d’exemple à tes pairs
Mais rien ne gèle dans cet ardent désert
Tes idées résisteront même au vent polaire.
Frères, contre lui, apaisez votre colère et cessez l’arbitraire !
Signez les formulaires pour qu’il voie les rayons solaires !
N’ajoutez pas du sang à votre histoire avec cette affaire !
Sacrifiez un bouquetin et non un médecin pour cette terre !
Rachid Mouaci
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Frères, contre lui, apaisez votre colère et cessez l’arbitraire !
Signez les formulaires pour qu’il voie les rayons solaires !
N’ajoutez pas du sang à votre histoire avec cette affaire !
Sacrifiez un bouquetin et non un médecin pour cette terre !
Il a foutu la pagaille dans laquelle des dizaines de personnes innocentes ont payé de leur vie sans compter qu'il voulez porter atteinte à la sécurité du pays et les dégats causés d'où il doit payer.