Les Mokrani : expansion, terreur et compromission (II)
Le règne de Ahmed Amokrane dura vingt ans. Son unique fils, Sidi Nacer El Mokrani lui succéda. Un sultan, porté, plutôt, sur les études religieuses et la spiritualité. Il s’entoura des religieux, des confréries Maraboutiques et laissa les affaires du royaume en dérive.
Sidi Nacer El Mokrani
Sidi Nacer El-Mokrani avait la réputation d’apprécier la piété, symbole à ses yeux, de la lueur enrichissante qui illumine les esprits bien-pensants des hommes et les entrainer allégrement vers le droit chemin et la lumière éternelle de demain. Il partait du postulat que les Algériens ignoraient, manifestement, la religion et les sciences relatives à cette dernière. Les arabes, c’est-à-dire les Mokrani, pieux et instruits étaient venus, pour la seule et unique mission, de leur offrir ce qui leur manquaient.
Il orienta sa politique vers le support et le soutien des nombreuses confréries religieuses Maraboutiques ultra-traditionalistes de son territoire qui encourageaient les écoles coraniques. Il fut suspecté, à tort ou à raison, de céder le pouvoir aux influences religieuses amazighes, pour déposséder la famille Mokrani d’un pouvoir qu’il lui revenait d’un droit divin.
Il fut assassiné en 1600 par les siens. Il laissa trois enfants en bas âge : Betka El Mokrani, Mohammed El Mokrani et enfin Bou Temsine El Mokrani. Les deux plus jeunes devaient la vie sauve à la perspicacité de leur mère qui prit les devants en prenant la fuite pour se réfugier, avec la complicité des religieux, restés fidèles à Sidi-Nacer-El Mokrani, dans des contrées sécurisées. L’aîné, Betka, fut emporté dans la Medjana par les Hachem fidèles du Makhzen des El-Mokrani, qui l’élevèrent et l’aidèrent à reconquérir sa situation princière.
Betka-El-Mokrani
La réputation de Betka-El-Mokrani fut faite par sa participation à la bataille de Guidjel (12) menée contre les Turcs, avec les troupes de la Medjana, sous le commandement de Slimane-el-Haddad et remportèrent une grande victoire. Après cette bataille qui le rendit célèbre, il s’installa et créa sa principauté à la province de Constantine. En rupture avec la politique de ses prédécesseurs, il rejeta toute collaboration avec les Turcs. Il désigna les Turcs d’usurpateurs sans jamais reconnaître leur autorité.
Pour honorer la mémoire de son père, outrageusement assassiné, ou par pure stratégie, Betka-El-Mokrani se conforma à la simplicité de la pratique du pouvoir de son père. Il renforça la communication avec les confréries maraboutiques pour en faire des alliés et s’efforça, un tant soit peu, d’instaurer la pratique des préceptes de justice conforme aux valeurs de l’islam.
Betka-El-Mokrani, décida d’une façon irrévocable, de ne plus se targuer du titre de sultan ou d’émir, et prenait celui de cheikh de la Medjana, que, plus tard, adoptèrent ses descendants. Il reconquit les territoires du royaume de son grand-père, en menant des batailles sans merci aux Beni-Abbes. Avait-il une stratégie secrète ? celle de la délivrance des esprits, de la pratique païenne de la population amazighes, par la connaissance du véritable islam, chère à son père ? Appréhendait-il la revanche de ses cousins ennemis ? Avait-il dans l’idée de préparer l’adhésion de la population, habituée à la sérénité du nouveau système, pour lui venir en aide le cas échéant ?. Il refusa d’installer ses quartiers à Qalaa. Sa mort subite allait ensevelir dans l’oubli bien des secrets. Il mourut en 1680, dans son château de la Medjana. En laissant quatre fils : Bouzid, Abdallah, Aziz, et Mohammed-el-Gandouz ; El-Gandouz, en amazighe, signifie le dernier-né. Serait-il, un symbole de rapprochement de Betka à la population locale pour construire un destin commun ?
De ses enfants naquirent, plus tard, quatre branches ennemis et irréconciliables des Mokrani.
Cheikh Bouzid-el-Moqrani
L’aîné, Cheikh Bouzid-el-Mokrani, prit la direction de la principauté. Fidèle à la tradition familiale, Il chercha à préserver, avant tout, son pouvoir et ses privilèges sur tout le territoire sous son contrôle, qui couvrait tout l’est-Algérien jusqu’aux confins du désert englobant Touggourt et Ouargla. Il consolida les réseaux dévoués de caïdats pour s’assurer une collecte efficace des impôts sur la population amazighe pour son propre usage. Les Turcs lui menèrent, vainement, des guerres pour s’emparer de Constantine. Cheikh Bouzid-El-Mokrani, resta aligné sur la politique d’hostilité de son père, et arriva, avec succès, à les repousser en dehors des zones sous son influence.
Il exerça, cependant, le pouvoir en créant une bonne atmosphère et imposa avec autorité, avec plus ou moins de réussite, une discipline qui assura une concorde dans sa famille. Il créa, en outre, une redevance ou coutume : Ouadia (13). Cette redevance, sorte de péage, lui apporta des sommes importantes et améliora considérablement ses finances.
Même pour les Turcs, contraints, continuèrent à payer, cette redevance, jusqu’en 1830. Bouzid-el-Mokrani mourut en 1734, Il laissa quatre fils : Abderrebou, hadj-Bouzid, Bourenane et Abdesselem.
El-Hadj Bouzid Mokrani
Le second fils, El-hadj-Bouzid, sur la renonciation volontaire de l’aîné, Abderrebou, prit la direction de la principauté. Bien que, animé d’un tempérament, plutôt, apaisant, il échoua à trouver des compromis pour concilier ses frères ; Bourenane et Abdesselem. Ni dissuader son cousin germain Aziz-ben-Gandouz-el-Mokrani de s’allier avec les Turcs. Profitant de la zizanie au sommet et les désaccords récurrents dans la famille Mokrani. Les Turcs dont l’objectif, avait toujours été, de devenir maître dans la Medjana, afin de s’ouvrir les portes de la domination des territoires amazighes et perçurent la collecte des impôts. Ils saisirent l’opportunité pour accentuer les divisions et les désaccords entre les frères.
Les Frères, Bourenane, Abdesselem et le cousin Aziz ben-Gandouz-el-Mokrani engagèrent des guerres fratricides, au grand bonheur des Turcs. Les descendants cheikh Bouzid El-Mokrani cherchèrent, contrairement à la ligne adoptée par leurs prédécesseurs, chacun à son tour, de gagner les faveurs des Turcs, à coût d’alliances obscures, à des fins de conquête du pouvoir sur les territoires de la principauté.
Trois ans après le décès de son frère Bourenane, mourut à son tour Si-el-hadj-ben-Bouzid-el-Moqrani vers 1783. Après avoir, pensait-il, consolider la succession de ses enfants, en mariant l’une de ses filles, Daikra au bey Ahmed-el-Kolli. Qui pour l’anecdote devint la grand-mère du dernier bey de Constantine.
C’est alors, que les Mokrani se divisèrent, pour ne plus jamais retrouver l’unité. Plusieurs Clans rivaux menèrent les uns contre les autres des guerres fratricides. Sans jamais trouver des compromis pour s’unir. Les Ouled-el-Hadj unis avec les Ouled-Abdesselem contre le reste des autres clans Mokrani ; les Ouled-Bourenane et les Ouled-Gandouz. Les guerres entre les cousins se perpétuèrent jusqu’à la disparition définitive du règne des Mokrani.
Il serait vain, de nous focaliser, ici, sur l’historique des tragédies des luttes familiales des Mokrani de 1785 à 1830. Pour les lecteurs qui souhaiteraient plus de détails, nous les invitons à consulter l’œuvre de Louis Rinn (Histoire de l’insurrection de 1871 en Algérie), la riche contribution du centre de documentation historique de l’Algérie (le Bachagha Mohamed El-Mokrani) et enfin l’œuvre magnifique de Hosni Kitouni (La Kabylie Orientale dans l’histoire)
Toutefois, il nous est interdit de passer en revue l’histoire des Mokrani sans insister sur leur opportunisme et leur cynisme. Ils avaient mangé à tous les râteliers des Turcs, perfidies, alliances avec l’ennemi et retournement de veste. Rattachés au seul dessein, comme une idée fixe, de préserver leurs privilèges et leurs pouvoirs. Ils n’ont pas hésité à vendre le pays et offrir une aubaine inespérée aux Turcs pour consolider l’emprise sur la colonisation du pays. Plus tard, ils collaborèrent en sujets serviles pour aider à la conquête, au-delà des objectifs, de la colonisation, fixés par les Français. Les Mokrani ont été un drame pour l’éveil de la conscience du peuple Algérien. Ils ont participé et aidé à imposer le colonialisme des Turcs et des Français pendant presque cinq siècles. Ils avaient, délibérément, mis en œuvre des projets diaboliques pour accentuer la misère existentielle du peuple, la misère des cœurs et la misère des esprits. Le système établi par les Mokrani, empruntait ses fondements d’existence, sur une vie en symbiose avec le colonialisme et pour le colonialisme.
Abdellah Ben El-Hadj Bouzid Mokrani, El-Hadj Mohamed Abdesselem El- Mokrani, Ben Guendouz El-Mokrani
Après l’ère de El-Hadj Bouzid El-Mokrani les divisions s’intensifièrent entre les différents clans des cousins Mokrani. Ces mésententes montrèrent le paroxysme des violences entre les franges constituées chacune par ses propres guerriers pour lutter à la récupération des terres des aïeux. Nous ne nous attardons plus dans les détails des batailles livrées les uns contre les autres. Les trahisons, les alliances insolites, les soumissions et offres de services aux Ottomans et aux généraux Français. Une période qui avait poussé les français à faire jouer la discorde entre les différents clans des mokrani, comme jadis les Turcs, constitués par les Abdellah ben-El-Hadj-Bouzid El-Mokrani, El Hadj Mohamed Abdesselem El-Mokrani, Ben Guendouz El-Mokrani et enfin Ahmed ben Mohamed El-Mokrani.
Par dépit, de ne pas avoir réussi à gagner les faveurs des Turcs, vaincus par les Français, en 1831 Abdesselem-el-Moqrani, Salati-ben-Illès et Ferhat-ben-Saïd-ben-Bouokkaz, pour ne citer que ces derniers, offrirent leur concours au général Berthezène et leur soumission à la France (14). A condition qu’on les débarrassèrent de leurs ennemis le Bey Ahmed de Constantine et son allié El Khalifat Ahmed El-Mokrani. Les français portèrent leurs préférences sur le cousin El khalifat Ahmed El-Mokrani, fiable et dont la probité de sa servitude à leur égard paraissait, plutôt, une offre crédible et rejetèrent, définitivement, l’offre de Abdeslam-El-Mokrani. Les français avaient vu juste, Ahmed El-Mokrani et sa descendance contribuèrent avec leurs aides précieuses par l’expérience avec les turcs et la connaissance du terrain, à ouvrir les portes des régions les plus difficiles d’accès, pour asseoir et implanter les jalons de la colonisation de l’Algérie. Ahmed El-Mokrani avait apporté par son concours une contribution efficace qui avait été au-delà des espérances des Français.
Voici la conclusion de Louis Rinn sur la perfidie des Mokrani : "Les maîtres et seigneurs héréditaires de ces régions étaient venus à nous de leur plein gré. Ils nous avaient offert et livré, le plus souvent sans coup férir, de vastes territoires et de nombreux contribuables ; parfois même ils nous les avaient donnés alors que nous n’étions pas encore en état d’en prendre possession. Ils avaient agi ainsi parce qu’ils avaient cru y trouver leurs intérêts et parce que nous leurs avions promis, en retour, la conservation de leur situation et le concours de notre force militaires. Quand ces promesses avaient été faites, on était aux premiers temps de l’occupation, on ne savait ni ce qu’on ferait de l’Algérie, ni même si on la conserverait en totalité ou en partie. A ces précieux auxiliaires nous n’avions rien demandé de plus que de se faire tuer à notre service et de nous payer un tribut ; en retour de quoi, nous leurs avions garanti les dignités, honneurs et privilèges dont ils jouissaient en fait comme en droit. Nous avons tenu notre parole, tant que nous avons eu besoin de nos alliés pour conquérir ou gouverner ; mais, le jour où nous nous sommes crus assez forts pour nous passer d’eux".
Tout était dit, clairement. Nous n’ajoutons aucuns commentaires. El hadj Mohamed Abdesselam devint chef de la principauté de la Medjana par un coup de force, après avoir perdu la confiance des français. Ahmed El-Mokrani, père du futur Bachagha Mohamed El-Mokrani, Fut fait prisonnier par son ennemi et au demeurant son cousin Abdesselam. Ce dernier l’exila dans le Hodna après avoir obtenu de lui la promesse de ne plus revenir à Medjana.
Connu pour son cynisme et son opportunisme, Abdesselam, comme tous les Mokrani, chercha de nouveaux alliés pour se maintenir ; prit à la gorge par l’hostilité grandissante de la population locale et rejeté par les confréries maraboutiques de la Medjana. Il se déclara, prêts à accepter, avec fidélité la souveraineté d’Abdelkader, sur l’est de l’Algérie, si les conditions répondaient à ses intérêts ; épouser la noble cause nationale d’Abdelkader pour lutter contre le colonialisme Français. N’ayant plus le choix, sa position fut dictée par opportunisme et calcul afin de préserver son autorité chancelante, sans appui et incertaine. Sa seule préoccupation consistait à conserver les privilèges ancestrales et la fortune amassée par les Mokrani. La famille Mokrani, et tous les éléments qui la composaient, était restée enfermée dans les carcans d’une vision reposant sur une culture religieuse obsolète et hors du temps : La famille Mokrani avait droit aux honneurs, aux prestiges et les faveurs des populations musulmanes sous son autorité. Il convenait, en outre, par-delà la lignée, supposée ou vrai, de sa descendance du prophète (SWS), de la considérer comme une famille noble et par la volonté de Dieu, née pour commander, faire la guerre et vivre respectée et honorée, comme l’ont été ses nobles et lointains ancêtres. Et quiconque se dérobant de cette vision était considéré comme un parjure à l’islam.
Bref, Abdesselem El-Mokrani, formaté sur les valeurs citées ci-dessus, était loin d’un partisan partageant les nobles concepts anti coloniaux et adhérant encore moins aux valeurs d’édification d’une nation des peuples ; principes sur lesquels était fondée la cause défendue par l’émir Abdelkader. Son seul objectif était de s’accaparer plus de territoire et de rester à la tête des terres de ses aïeux. La cause nationale, d’un pays libre, défendue par L’émir était loin de ses préoccupations, car elle n’était pas la sienne.
En décembre 1837, l’émir Abdelkader, que le traité de la Tafna légitima comme leader de tous les musulmans d’Algérie. Toute la population musulmane d’Algérie adhéra à la cause nationale derrière la souveraineté de l’Emir Abdelkader qui dura de 1832 à 1847.
Abdesselem fut, enfin, investi par Abdelkader, en qualité de khalifat de la Medjana. Sans rentrer dans les détails de cette alliance, qui fut d’ailleurs de courte durée, car en 1839, à la suite de l’échec infligé à Abdesselem, par les colonnes de El Khalifat Ahmed El-Mokrani. L’émir Abdelkader rappela son Khalifat à Médéa. L’échec de cette collaboration était prévisible dès l’origine, de sa mise en œuvre, par la fatalité qui opposait deux conceptions diamétralement opposées. L’une, celle de Abdesselam, qui travaillait cyniquement, pour imposer et consolider le colonialisme dans le pays, et l’autre, de l’émir Abdelkader qui oeuvrait, au contraire, pour libérer le pays de la domination française. Le Khalifat Ahmed ben Mohamed El-Mokrani prit la direction de la principauté de Medjana avec le concours des français pour des considérations qui le qualifiaient aux yeux des Français, citées ci-dessus.
Pour être bref, le Khalifat Mohamed Abdesselem El-Mokrani mourut en 1847, Abdellah ben-El-Hadj-Bouzid El-Mokrani mourut en 1830 et Ben Guendouz El-Mokrani fut guillotiné suite à un guet-apens organisé par Ahmed ben Mohamed El-Mokrani et le dey de Constantine. La rivalité entre les Mokrani laissa des traces indélébiles et se s’achèvera qu’avec la disparition définitive de leur règne.
En 1846, les militaires français mirent fin au commandement du khalifat Mokrani et à ses relais ; les caïds. Les Français décidèrent, par décret, de passer sous leur contrôle une grande partie du fief héréditaire des Mokrani. Le khalifa fut démuni de toutes ses prérogatives, son rôle était devenu une coquille vide. Ce dernier, tenta vainement de mettre en avant les services rendus à la France, tout en exprimant son mécontentement. Mais on lui fit comprendre qu’il n’était qu’un simple fonctionnaire, celui-ci était de plus en plus mécontent. Mais il fallait bien se rendre à l’évidence de son impuissance, il comprit, qu’on lui avait bel et bien soutiré le commandement d’une partie du fief héréditaire et incontesté de sa famille.
Il fut loin l’époque, révolue à jamais, de la fierté qui animait les Mokrani où ils affirmaient par des appels à grand retentissement, aux yeux de tous leurs valeurs et leur supériorité. Les Mokrani n’avaient jamais eu la hauteur d’esprit pour comprendre que les renégats sont souvent récompensés par l’ingratitude de leurs maîtres. (A suivre)
Abdelaziz Boucherit
Lire la première partie : Les Mokrani : expansion, terreur et compromission (I)
Lire la 3e partie : Les Mokrani : expansion, terreur et compromission (III)
Notes
-
On utilisera, délibérément, le terme Amazighe unificateur et retiré de la poussière des siècles, pour reprendre sa véritable place dans le nouveau langage Algérien, pour remplacer les termes venus de l’extérieur : berbère, kabyle, chaoui etc …dont la connotation du premier nous renvoie au mot barbare des romains, le mot Kabyle d’origine arabe, évoquant la tribu sur le sommet de la montagne comme un vautour, et en outre il a servi d’outil de division par le colonialisme Français (Grande Kabylie, petite Kabylie, Kabylie des Babors et Kabylie orientale) et chaoui pour identifier les berbères du sud.
-
Invasion Hilalienne en Afrique du Nord (1055-1056) par Ibn Khaldoun
-
Djebel-Kiana ou Djebel-Adjissa qui porte aujourd’hui le nom de Djebel-Ayad Ou Djebel-Madid de la tribu des Ouled-Sidi-Fadel (Histoire de l’insurrection- Louis Rinn)
-
Village rattaché à la commune algérienne d’Ighil Ali wilaya de Bejaia.
-
La région de bordj-bou-arreridj.
-
La commune Ighil Ali wilaya de Bejaia
-
L'oued Sahel est une rivière du nord de l’Algérie Il se jette dans la Soummam à Akbou (Wilaya de Bejaia) Le Hodna région constituée de riches plaines au sud des Hauts Plateaux en Algéri
-
Le royaume de Koukou fut fondé en 1510 par Ahmed-ben-el-Qadi, qui était jugé à la cour des derniers rois de Bougie
-
Medjana est une Daira de la Wilaya de Bordj-Bou-Arreridj en Algérie Commune de la wilaya de Sétif. La bataille de Guidjel s’était achevée par une grande défaite des Turcs. Ainsi Betka el-Mokrani s’illustra par son courage et consolida son pouvoir sur sa province de Constantine. (Louis Rinn).
-
Ouadia : le droit le passage à travers ses États. Quiconque voulait traverser ses provinces devrait payer des taxes de droit au passage. Mêmes les Turcs payèrent les taxes. (Louis Rinn
-
Abdesselem-el-Moqrani se mit au service des généraux Français en 1831 (Louis Rinn)
-
Pair de France et président de la commission d’Afrique (Louis Rinn)
-
Etudes réalisées par le centre de la documentation d’Algérie. Sur le règne de El-Bachagha Mohamed El-Mokrane.
-
Sources de Hosni Kitouni dans «La Kabylie Orientale dans l’histoire) l’Harmattan 2013.
-
Sources de Hosni Kitouni dans «La Kabylie Orientale dans l’histoire) l’Harmattan 2013.
Commentaires (13) | Réagir ?
merci bien pour les informations
Un vrai homme