14 milliards de déficit budgétaire : le gouvernement continue de dépenser sans compter !
Le déficit commercial de l'Algérie s'est dangereusement creusé selon les derniers chiffres publiés par la Douane.
Les indicateurs sont au rouge. Plus exactement le déficit s'élève au modique chiffre de 13,997 milliards de dollars (mds usd) sur les huit premiers mois de 2016. L'année dernière, le déficit était de 11,06 mds usd à la même période. Soit une hausse du déficit de 26,5%, selon les chiffres obtenus, mercredi, l'APS auprès des Douanes. Autant dire que malgré la contraction de la rente pétrolière le gouvernement ne s'est pas privé.
Les exportations ont reculé à 17,56 mds usd durant les huit premiers mois 2016 contre 24,71 mds usd sur la même période de 2015, soit un recul de 7,15 mds usd (-29%), selon les données du Centre national de l'informatique et des statistiques des Douanes (CNIS).
Pour les importations, elles se sont également réduites mais à un moindre rythme par rapport aux exportations en s'établissant à 31,56 mds usd contre 35,78 mds usd durant la même période de l'année écoulée, soit une baisse de 4,22 mds usd (-11,8%).
Les exportations ont assuré la couverture des importations à hauteur de 56% durant les huit premiers mois de 2016 contre 69% à la même période de l'année écoulée. Les exportations des hydrocarbures, qui ont représenté 93,73% du total des exportations, ont été évaluées à 16,46 mds usd contre 23,4 mds usd à la même période de 2015, en baisse de près de 7 mds usd (-29,63%).
Quant aux exportations hors hydrocarbures, elles demeurent toujours faibles (6,3% du volume global des exportations) avec une valeur de 1,1 milliard usd contre 1,32 milliard usd (-16,4%) entre les deux périodes de comparaison.
Les exportations hors hydrocarbures sont composées des demi-produits avec 836 millions usd (contre 1,04 md usd), des biens alimentaires avec 172 millions usd (contre 186 millions usd), des produits bruts avec 52 millions usd (contre 69 millions usd), des biens d'équipements industriels avec 30 millions usd (contre 14 millions usd) et des biens de consommation non alimentaires avec 11 millions usd (contre 7 millions usd).
Pour ce qui est des importations, tous les groupes de produits ont connu une baisse entre début janvier et fin août de l'année en cours.
Les produits alimentaires ont ainsi reculé à 5,42 mds usd (contre 6,41 mds usd), les biens d'équipement industriels à 10,53 mds usd (contre 11,88 mds usd), les biens d'équipement agricoles à 311 millions usd (contre 471 millions usd), les demi-produits à 7,8 mds usd (contre 8,21 mds usd), les produits bruts à 1,05 md usd (contre 1,09 md usd) et les biens de consommation non alimentaires à 5,58 mds usd (contre 5,97 mds usd).
Sur les 31,56 mds usd d'importations enregistrées, un montant de 18,5 mds usd a été payé par cash (58,6% des importations), soit un recul de 13,01% des règlements par cash par rapport à la même période de 2015.
Les lignes de crédit ont financé les importations à hauteur de 37,51% pour un montant de 11,84 mds usd (baisse de 12,41%), tandis que les comptes en devises propres ont financé à hauteur de 14 millions usd (baisse de 39,13%). Le reste des importations a été financé par le recours à d'autres moyens de paiements à hauteur de 1,22 md usd (en hausse de 24,1%).
L'Italie et la Chine : les premiers partenaires
Les cinq premiers clients de l'Algérie, au cours des huit premiers mois 2016, sont l'Italie avec 3,5 mds usd (près de 20% des exportations globales algériennes durant cette période), suivie de l'Espagne avec 2,38 mds usd (13,6%), de la France avec 2,06 mds usd (11,74%), des Etats-Unis avec 1,3 md usd (7,4%) et du Canada avec 996 millions usd (5,67%).
Quant aux principaux fournisseurs de l'Algérie, la Chine est restée en tête avec 5,44 mds usd (17,25% des importations globales algériennes entre janvier et août), suivie de la France avec 3,38 mds usd (10,73%), de l'Italie avec 3,4 mds usd (10,77%), de l'Espagne avec 2,48 mds usd (7,87%) et de l'Allemagne avec 1,9 md usd (6,03%).
Avec APS
Commentaires (2) | Réagir ?
De deux choses l'une est de ruiner le pays jusqu'à leffondrement économique et travestir ces milliards d"import aux comptes de l'appareillage de Bouteflika, ou alors Bouteflika n'a plus aucun pouvoir et est mis au pas par l'aspirant et insidieux clan montant de son Frère et l'autre sous clan de Gaid Salah, certains généraux avec les consorts Tilba, Saidani et même Sellal.
Secret de polichinelle le régime affectionne les pAys les plus corrompus du Monde, la Chine, La Turquie et le berceau de la "mafia" mondiale l'Italie.
En réalité c'est une véritable substitution à l'état officiel et Algérien de ses richesses par une cinquantaine d'individus que Bouteflika connait très bien et se connaissent tous entre eux.
Le but final provoquer la mise à genoux du pays et l'insérer dans une domination étrangère sélectivement concocté par ces Bouchouareb (fils de traitre et traitre) parr Sellal le menteur et flagorneur, par Le voyou de mauvaise naissance Ali Haddad par les deux voyous d'origine tunisiennes travestis en Algériens sieurs Tilba et Saidani, par le vorace Gaid Salah et ses 15 généraux carnassiers et tout ce qui n'apparait pas souvent comme Bensalah le Marocain en mission délicate en France pour un repentir de Bouteflika et sa fratrie dont les fortunes seuls les services secrets français peuvent vous les évaluer, la hantise d'une mort prochaine de Bouteflika et les agissements de Said Bouteflika et son clan à lui, et on veut que ces mercenaires d'un autre type pensent à l’intérêt de l'Algérie?
Que dalle, rien à foutre de ce pays par le pouvoir actuel, sauver leurs peaux et leurs fortunes est leur instinct primaire, à ne jamais oublier.... Ils mettront l’Algérie aux enchères au plus offrant pour eux et leurs familles et leur clientèle.
Le pays s'autodétruira certainement et Dieu reconnaîtra les siens, voilà le crime innommable des généraux d'avoir adopter pour leurs intérêts Bouteflika aux pouvoirs, il les bouffe tous et après l'Algérie dénudée et appauvrie fera une indigestion des siècles durant, salam alikoum, qui vivra verra.
Pour détourner il faut dépenser
Élémentaire méthode de la camora