Le projet d’usine Volkswagen en Algérie toujours en discussion avec le groupe Sovac
Des discussions entre le groupe Sovac et le constructeur allemand Volkswagen sont en cours pour un projet de fabrication de plusieurs types de voitures de cette marque en Algérie.
"Il s'agit de la 3ème rencontre avec ce partenaire important et actif sur le marché algérien. Volkswagen a la volonté d'entrer dans un partenariat pour la fabrication de plusieurs types de véhicules comme Seat et d'autres marques", a déclaré à la presse le ministre de l'Industrie et des mines, Abdessalem Bouchouareb, à l'issue d'une rencontre qui a regroupé, mardi, les deux parties au siège de son ministère.
"Nous sommes ouverts à ce partenariat car nous ne pouvons pas imaginer une industrie mécanique sans un partenaire allemand qui est déjà présent en Algérie dans la fabrications des véhicules de poids lourds", a-t-il souligné tout en souhaitant la concrétisation prochaine d'un accord entre les deux parties.
Concernant les différentes dispositions déjà mises en place pour l'assainissement du marché national de véhicules, M. Bouchouareb a rappelé la mise en place prochaine d'un cahier des charges organisant l'activité de l'industrie automobile afin "de ne pas vivre ce que nous avons déjà vécu en matière de gestion de l'activité des concessionnaires automobiles" laquelle avait connu de profonds dysfonctionnements.
L'organisation et la réglementation de l'activité de l'industrie automobile serviront non seulement les intérêts des entreprises étrangères partenaires mais aussi l'intérêt de l'Algérie qui ambitionne de relancer l'industrie mécanique, a-t-il insisté.
De son côté, le représentant du constructeur allemand a affirmé à la presse que le marché algérien était "très attractif" et "très important" pour Volkswagen. "Aujourd'hui, nous avons eu l'occasion de discuter avec le ministre et notre partenaire sur place (le groupe Sovac) d'un projet de fabrication locale", a-t-il ajouté.
Selon les données qu'il a présentées, Volkswagen est représenté en Algérie par plus de 80 agents de différentes marques, employant près de 2.000 travailleurs
APS
Commentaires (5) | Réagir ?
pourquoi ne pas exiger des usines de fabrication ?
A quand une usine playmobil....................... ce pays restera endormie comme il a toujours ou presque était, vivement que l'autre moité se lève et prenne son destin en main car a attendre une étincelle de conscience de la part de ces âne bâtés soumis a des des demeures séniles vendue aux puissances et lobbys étranger.
les harkis ne sont pas ceux qui sont partie durant l’indépendance ce sont ceux la même qui sont rester pour servir leur anciens maitre.
Que la honte et le déshonneur soit sur vous bande de lâches.