Durcissement des critères d’exercice des banques étrangères en Algérie
Le ministre des finances, Karim Djoudi, a été chargé par la présidence d’intervenir à travers la Banque d’Algérie pour de durcir les critères de travail des banques étrangères exerçant en Algérie.
Ces dernières seront bientôt soumises à un cahier des charges fixant certains conditions non négociables, notamment l'obligation pour elles de réserver une partie de leur portefeuille au financement réel de l'investissement et ne pas se limiter à l'accompagnement du commerce extérieur ou à la promotion des crédits à la consommation.
Lors de l’audition qu’il a consacrée au secteur financier, le président de la république a déclaré "Nous sommes pour l'ouverture aux banques étrangères et aux banques privées, mais dans le respect des normes universelles".
"Nous respecterons les normes internationales avec nos partenaires étrangers dans tous les domaines, mais nous attendons aussi de leur part le respect des intérêts de l'Algérie", a poursuivi le Président.
L.M.
Commentaires (3) | Réagir ?
comme il se sont fait remontée les bretelles par la banque mondiale et le fmi en passant par l'omc sans parlez des transfert de fond douteux l'igf en et témoin
avec la dernière affaire en date (orascom) via la bca alors zehma "il retrouve le chemin du canoune et du nedame" nos prix nobel !
Je ne comprends pas cette phrase"nous respecterons les normes internationales avec nos partenaires étrangers dans tous les domaines mais nous attendons de leur part le respect des intérêts de l'Algérie". Y a t'il des conventions établies et formulées par des juristes compétents en droit commercial, international et finances, ou avons nous affaire à des guignols placés juste pour signer et goûter aux délices de la vie, des espèces de jouisseurs. J'en suis malade de ces salades douteuses.
n'importe quel flibustier arrive s'installe et arnaque le partenaire algérien et repart. Il y a des tribunaux internationaux habiités dans ce genre d'affaires, ou alors...