Condoleezza Rice a évoqué les droits de l'homme et la démocratie en Libye et à Tunis
La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a parlé des droits de l'homme et la démocratie autant à Tunis qu'à Tripoli.
En Libye, le sujet a même suscité quelques frictions. Le ministre libyen des AE Abdel Rahman Chalgham.
a dû avouer lors de la conférence de presse commune avec Mme Rice que des divergences susbistaient sur les droits de l'homme et a affirmé que son pays rejetait les "pressions et leçons" de quiconque en la matière.
Mme Rice a de son côté estimé qu'"il était important d'avoir un dialogue, y compris sur les droits de l'homme"
Interrogé lors de la conférence de presse sur un opposant politique, Fathi al-Jahmi, M. Chalgham a répliqué que son pays "n'a besoin de recevoir de leçons et pression de personne".
Il a précisé que M. Jahmi, 66 ans, avait été jugé et condamné par la justice. Malade, il se trouve actuellement soigné dans une clinique privée, a-t-il dit, estimant que "les principes des droits de l'homme différent entre la Libye et les Etats-Unis".
Avec le président Zine El Abidine Ben Ali, Mme Rice a évoqué une accélération des réformes politiques, a constaté une journaliste de l'AFP.
"Nous avons discuté d'affaires internes ici en Tunisie, du rythme des réformes", a-t-elle déclaré à la presse, affirmant avoir eu une "discussion très bonne et intense".
"Nous sommes de bons amis et nous pouvons (à ce titre) avoir de très bonnes et intenses discussions sur des questions de politique interne et externe. Et c'est comme cela que cela s'est passé", a-t-elle ajouté à l'issue de son entrevue avec le chef de l'Etat tunisien au palais présidentiel de Carthage.
Elle s'est également félicitée du progrès social en Tunisie. "Je tiens à souligner que j'ai parlé du rôle extraordinaire joué par les femmes en Tunisie. Les femmes ont accompli un grand progrès ici", a-t-elle lancé.
La secrétaire d'Etat américaine a en outre indiqué avoir fait part à M. Ben Ali des entretiens qu'elle avait eus la veille avec le dirigeant libyen Mouammar Khadafi, lors d'une visite historique à Tripoli.
Après la Libye et la Tunisie, Mme Rice doit se rendre en Algérie et au Maroc.
"Nous avons bien évidemment examiné la conjoncture ici dans la région en ce qui concerne la sécurité et la lutte contre le terrorisme", a-t-elle indiqué.
La situation en Mauritanie a été aussi évoquée avec M. Ben Ali, notamment après le coup d'Etat militaire survenu en août dans ce pays.
Mme Rice arrivée dans la nuit de vendredi à samedi en provenance de Tripoli, devait décoller pour Alger samedi après-midi.
L.M. (Sce : AFP)
Commentaires (5) | Réagir ?
Si les pays arabes n'étaient pas la risée dans le monde avec leur dictateur élu à vie ou voulant meme basculer la constitution pour se représenter et garder leur privilèes en méprisant tout un peuple qui lui a pris les armes pour réaliser le miracle de la décolonisation, quand eux, ces dicteur se prelassaient dans les pays etrangers où ils ne risquaient rien, quand cela sera fait, alors aucun pays ne viendra nous faire la leçons de choses et de fait. Les dictateurs aiment le pouvoir alors que ce ne sont que des médiocres, ignares et fénéant arrivés au pouvoir par le machiavélisme et les assassinat des personnes les plus intelligente ne devinant pas que les hommes peuvent tomber si bas dans la morale. Nous avons tous peur d'eux et nous n'avons rien fait pour basculer les choses comme l'ont fait nos parents et grand parent qui eux sont respecté par l'histoire. L'histoire dira de nous que nous sommes des lâches. Et comme dit un proverbe, le feu engendre la cendre. Nous sommes une cendre éteinte et froide qui s'est dispecée comme les restes après crémation d'un defunt. La seule chose que l'on a pu faire c'est notre passivité envers un islamisme et idéologie importée que l'on a laissé croire, ce monstre introduit qui a dévoré nos compatriotes. Nous avons ouvert la porte au monstre et nous l'avons laissé par lacheté se nourrir du sang de nos frere jusqu'à ce qu'il devient trop fort et son esprit a gagné le notre nous rendant ses disciple pour esperer la baraka parait-il. Nous avons cessé des hommes quand on a commencé à mettre ces robes (les kamiss)
les occidentaux considère l'ensemble du Maghreb comme des nations immature politiquement de seconde zone ! une visite condolleezza rice en fin de mandat
sans rien dans son couffin diplomatique c'est louche?
tant qu'il y a du pétrole les américains sont de grand amis !
il n'y a qu'a voir ce qu'il sont fait du golf des monarchie bananiére corrompue
et des creusets du terrorisme, sans parlée du dirigeant irakien saddam hussein qu'il on pendue
comme un vulgaire voleur de poule pour l'exemple !
et je ne parle pas du dirigeant syrien grand criminel préparée via sarkozy sioniste convaincue en tunisie au petit oignons !a croire que les américains et les israéliens ont une mémoire de poisson rouge? allusion au 11 septembre et des attentat qu'il y a eu en Europe en sachant que pour les états unis et les européens (l'attentat du 11/9 et le fruit de la collaboration de plusieurs service secret arabes)
sans parlée des attentat de Madrid de londre et de paris qui on suivie ?! il en profite pour redéssinée leurs carte geopolitique comme il son fait avec l'Amérique du sud et qui c'est soldée par un échec politique
économique et démocratique cuisant
sans parlée des ventes de centrale nucléaire de 3éme générations par la france a des pays qui ne sont pas stable sur le plan politique économique et sécuritaire sans oubliée la réparation financière de "l'italie a la libye" pour les dommage subit par cette derniére
a l'époque de la colonisation décidément nos dirigeants arabe sont livrée a eu même il ne savent plus a quel sein se vouée !
je vous le donne en mille sa sent le règlement de compte c'est trop beau pour êtres vrais et comme les occidentaux dise la vengeance et un plats qui se mange froid!!!!