Ouenoughi et Chorfi, nouveaux directeurs des quotidiens El Massa et El Moudjahid
Les deux quotidiens de la presse publique ont à leur tête deux nouveaux directeurs.
M. Ouenoughi Larbi a été installé, dimanche à Alger, au poste de Directeur général du quotidien arabophone El Massa, en remplacement de M. Abderahmane Tigane. Larbi Ouenoughi, qui occupait auparavant le poste de DG du quotidien arabophone Ennasr, a souligné l'existence de beaucoup de défis à relever.
Le journaliste, poète et romancier Achour Cheurfi a été installé dimanche à Alger au poste de Directeur général du quotidien francophone El-Moudjahid, en remplacement à Mme Naama Abbas.
Avec APS
Commentaires (2) | Réagir ?
Deux larbins et permettre à saidani d'insulter plus les généraux et le DRS résiduel de bouteflika.... voilà le défi dont il parle.
Il n'y a plus de moudjahed ou de victoire (ennasr) juste la descente aux enfers.
La présidence de said bouteflika n'arrivera jamais et tout le monde s'autodétruira, alors à quoi bon Bouteflika le président (et ne me dites pas il est malade...) joue à l'éboueur présidentiel dans sa rage de tout nettoyer avant ces échéances infernales qui lui tomberont dessus et de partout.
Un vaste mouvement de presse est prévu pour assurer la vic toire de Said marchandise avariée, et bien sur enfoncer encore quelques généraux. Bon dieu quand l'encre remplace le sang versé, il va bleuir bientot notre Fahamatouhou national.
Au fait qu'il donne en prime time au Moudjahed et Ennasr les accords secrets concoctés en France à la clinique des supercheries Grenobloises, ya fakou fakhamatouhou plus personne ne vous croit.
Contente la France mais que pensent les autres grands de ce monde, Obama risque de blanchir en apprenant les supercheries grossières récentes "Boutefliko-francaises".
Vous me semblez bien renseigner sur les milieux politiques pourri Algériens.
À moins que vous faites parties de ces gens là, donc vous articles sont orientés, suivant vos idées et les directives reçues de vous amis, mais vous avez le droit et je respecte vous opinions, chacun voit midi à sa porte, comme on dit.