La femme, problème ou solution en Algérie ? (II)

Une fois la guerre terminée, ces femmes ont été invitées à rejoindre la cuisine par leurs "frères"
Une fois la guerre terminée, ces femmes ont été invitées à rejoindre la cuisine par leurs "frères"

En ces temps de vaches maigres, faire éclater un pays coûte cher.

2- L'Europe, face à la perspective d'une "syrianisation" du pays, qu’elle pourrait être l'option que choisiraient les grandes puissances pour éviter l'effondrement algérien ?

Aucun risque. On peut répondre bêtement que la Syrie n’est pas l’Algérie. Elle est à 100% sunnite entretient d’excellents rapports avec tous les poids lourds notamment l’Arabie saoudite et le Qatar. En ces temps de vaches maigres, faire éclater un pays coûte cher. L’argent est plus que jamais le nerf de la guerre et la paix sans argent mène forcément à la première. L’Amérique, du temps où elle représentait 50% du budget mondial, a englouti sa réserve d’or face à une moitié du Vietnam dont l’autre lui était pourtant acquise. Provoquant ainsi la dévalorisation définitive de son dollar rendant inévitable les crises chroniques et la menace permanente d’un chaos économique planétaire… L’effondrement de l’Algérie, est-ce possible quand on a si peu construit et trop détruit ? Françoise Giroud et sa phrase assassine, "on ne tire pas sur une ambulance", peut s’ajouter surtout si le blindage nous empêche de voir à l’intérieur. D’après Wikileaks, concernant la visibilité de la Régence d’Alger, même les diplomates américains sont dans le flou malgré la NSA et les satellites. Apparemment, l’exception algérienne soulève plus de malaises que d’admiration.

L’option choisie par les grandes puissances pour éviter l’effondrement algérien ?

L’option est toujours la même, la femme si elle est encore capable de redevenir l’avenir de l’homme. Quand on a ouvert la boîte de Pandore avec la division : masculin et féminin, tout y est passé. Comme si la différence biologique ne suffisait pas, on a récolté : le vainqueur et le vaincu, le fort et le faible, le prince et l’esclave, le patron et le travailleur, le Blanc et le Noir, le sain et le handicapé etc. Le psychologue Daco s’est demandé de quelle égalité la femme parle quand mille hommes représentent déjà mille inégalités. Aujourd’hui, comme aux moments cruciaux, en plein blocage, soit on appelle à l’aide la femme soit on la sacrifie un peu plus pour calmer la colère du Dieu unique. Cette fois-ci, le viril FMI a tout essayé pour sortir le monde de la crise jusqu’à mettre une femme à sa tête et eurêka : "les femmes peuvent sauver le monde." (5) Ses experts, dans une note de 30 pages, ont démontré que si le travail féminin était encouragé, il constituerait un formidable tremplin pour la croissance. "Les femmes peuvent soutenir la moitié du ciel", disait Mao. Si elles sont la moitié de l’humanité, leur représentation n’est que de 40% de l’Economie mondiale (officielle). En Asie de l’Est, leur taux de participation est de 63% contre à peine 21% pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Le FMI a calculé que le Japon pourrait gagner 0,5% de croissance économique si les Japonaises acceptaient de travailler comme les femmes du G7. Aux USA, elles feraient gagner 5% au PIB si elles bossaient autant que les hommes. Une embellie de 12% pour les Emirats arabes et 34% pour l’Egypte. En 2009 déjà, la presse titrait : "Les femmes détiennent la clé de la reprise de l’économie mondiale". "L’avenir de l’économie est dans les mains des femmes", affirmaient en chœur Goldman Sachs, la banque la plus virile de Wall Street et le Boston Consulting Group (BCG), le groupe le plus chic d’Amérique."(6).

Une enquête du BCG (7) auprès de 12000 femmes dans 22 pays a conclu que : "Les femmes vont être le moteur le plus puissant de la reprise mondiale…leurs revenus passeront de 13000 à 18000 dollars en 5 ans …plus important que la progression des PIB de la Chine et de l’Inde réunis." Les experts expliquent que les femmes contrôlent 20000 milliards de dollars des dépenses de consommation dans le monde (28000 milliards en 2014). Partout, les décisions des ménages c’est elles (73% en USA, 71% en France, 50% en Chine). Elles épargnent plus, consomment moins de carburants, moins d’alcool…Les analystes de Goldman Sachs concluent : «la croissance économique et la tendance à l’égalité en faveur des femmes constituent un véritable cercle vertueux où l’un et l’autre se renforçant mutuellement.» On s’en doute, ces chiffres ne concernent pas l’Algérie où la tendance à l’inégalité semble renforcer le cercle vicieux. Etant donné que les études parlent d’économie mondiale et que l’Algérie fait partie du monde, on ne peut s’empêcher d’y penser. On sait que quand l’économie va, tout va. Malheureusement le contraire est vrai aussi. La crise syrienne a éclaté après 4 années consécutives de sécheresse qui a poussé des milliers de paysans à venir grossir des villes déjà déstabilisées par 3 années d’une crise économique mondiale dans une région bâtie sur un «volcan». Bouazizi s’est immolé dans une Tunisie fragilisée par la concurrence chinoise notamment dans le domaine du textile et un tourisme en berne depuis 2008. Dans une société où Bourguiba n’a fait que la moitié du boulot puisque paraît-il, c’est l’infamante gifle d’une policière qui a tout déclenché. Des années plus tôt, en Algérie, les jeunes d’octobre 88 ne demandaient qu’à voir la fin du tunnel de leur mal-vie. Plus tard avec l’envolée du prix du pétrole, l’Etat a su acheter la paix aux plus turbulents. On se demande si au lieu de donner des crédits aux jeunes, on les avait donnés à leur mère. Si le travail de la femme peut sauver les 22 plus puissants pays, la femme algérienne peine davantage, mais dans l’invisibilité et le déni de ses droits les plus élémentaires. Des fourmis qui remplissent le grenier dont les clés leur sont interdites. Elles ont rarement accès au capital, loin de l’information, tout leur échappe. Elles sont rarement propriétaires de la terre qu’elles cultivent, de la maison qu’elle entretient, du commerce qu’elles font marcher jusqu’à la moitié de la part de l’héritage qui est généralement spolié par un frère, un oncle ou un mari. Le code de la famille est venu officialiser un esclavage innommé.

En se penchant sur les causes de l’effondrement de la civilisation grecque, les historiens se sont interrogés sur le rôle qu’ont joué les esclaves dans cette catastrophe(8). Ils ont constaté qu’ils ne formaient pas une classe sociale capable de parler d’une seule langue, défendant des intérêts communs pour constituer la moindre menace notamment en politique. Leur conclusion c’est que ces esclaves «dispersés» ont joué, par une sorte d’involution, un rôle négatif. Ils ont provoqué la chute de l’Empire par léthargie : ils auraient «cessé de bien travailler». Concernant, la chute des empires coloniaux et soviétiques, Jean-Pierre Vernant dit exactement la même chose. Le fonds s’effondre en catimini, «révolution silencieuse» que les femmes font inconsciemment sans appartenir à aucune classe susceptible de les secouer. Aujourd’hui, en Algérie, elles ont perdu leur sourire leur capacité de veiller sur leur progéniture ou de la tempérer. Elles sont atteintes de dépression, de boulimie, de maladies chroniques de plus en plus jeunes. La loi naturelle qui fait que la femelle doit vivre plus longtemps que le mâle pour le bien des petits ne s’applique plus. L’effondrement s’est déjà conjugué au féminin depuis plus d’une génération. C’est pour cela que le discours a changé, il n’y a plus de débat à l’Assemblée sur le sport féminin, la mixité à l’école, la mini-jupe et le bikini, les agressions contre les militantes contre des étudiantes non voilées, la misogynie du discours a viré à la compassion. On veut améliorer son sort, on la pousse à plus de patience à pardonner n’est-ce pas le prix à payer pour mériter le Paradis : la soumission à l’homme. La soumission empêche de se construire disent les psys, et l’homme algérien pourquoi aurait-il besoin de déconstruire la femme pour se construire ? Quant à l’effondrement du régime, il n’est plus qu’une coquille vide, bien préservé derrière le cadavre du second sexe. Il reste la populace qui n’a plus rien à perdre. Des garçons rendus mabouls par l’errance et la manipulation tiraillés entre la haine de la femme et l’adoration de la mère. Vengeance post mortel des déesses déchues ? ! Les Algériens et les Algériennes «normaux» ont connu l’enfer d’une jeunesse détraquée. Comment vont-ils réagir ? Vont-ils tendre le cou comme hier ou miracle, réussir à paralyser les loups sans nécessairement verser du sang.

Que peut faire l’Europe ?

Elle le fait déjà en se lamentant de temps en temps sur le sort de ces Algériennes qui ressemblent si peu à leurs héroïques aînées. Elle fait pression sur le gouvernement pour modifier leur statut. Notamment depuis les attentats du 11 septembre 2001 dont l’auteur Ben Laden qui, d’après la presse, adorait sa mère qui comptait bien sûr pour des prunes dans le harem doré du paternel… L’Europe le fait déjà, mais mal s’obstinant à parler de parité, de triturer un Code de la Famille tout en avalant la couleuvre du général qui a peur du barbu. Un Code qui d’ailleurs semble être le dernier souci de la femme lambda dont les timides avancées lui paraissent plus effrayantes que rassurantes. La pression internationale doit viser la visibilité. Il faudrait que la femme occupe l’espace vital d’une façon plus intelligente pour qu’elle puisse en cas ou, assurer sa survie et celle de ses enfants sans parasiter la société. Le Code l’a rendue inutile, éjectable à chaque instant et bizarrement toujours les enfants à charge. On parle de plus en plus aujourd’hui de l’autonomisation des femmes grâce au réseautage. On l’a expérimentée partout et nombre de rapports de l’ONU, l’UNESCO, l’OMS…ne tarissent pas d’éloges. Des femmes pauvres parties de rien qui décident de s’unir et de s’en sortir.

Selon un rapport en 2012 de la BM sur le développement dans le monde, l’autonomisation des femmes est un atout même pour l’économie du pays. Mettre la technique qui marche, l’information positive au service de ces "handicapées" dispersées isolées ignorantes du savoir-faire de leurs aïeules qui du temps des colonies pouvaient bénéficier au moins de l’expérience de leurs voisines aux cultures diverses. Depuis plusieurs décennies, les medias n’éduquent plus, ils se contentent de faire la pub pour consommer voter et distraire pour tuer le temps. Qui mieux que l’Europe a de l’expérience dans ce domaine et l’a prouvé en Asie en Afrique en Amérique latine. Les hommes qui représentent la Nation n’ont pas hésité à importer des prospecteurs, des experts, des hommes d’affaires, des architectes, des maçons pour les grands travaux tels que les puits de pétrole, les autoroutes, les commerces haut de gamme, les banques, le métro, la Grande Mosquée, mais ils ont bloqué toutes les initiatives citoyennes qui n’émanent pas d’eux. Les ONG humanitaires intérieures et extérieures qui peuvent faire sortir les femmes de leur invisibilité économique sont absentes en Algérie. Les Algériennes dans le besoin, si elles sont chanceuses, deviennent des assistées. Des abonnées, une fois l’an, au couffin et la soupe du ramadan. Malchanceuses, elles finissent entre les griffes de proxénètes. Dans les rues mal famées pour mendier, même les réfugiées syriennes n’y ont pas échappé.

L’Algérie pullule de partis fantômes dans l’attente du festival des élections, d’associations à la gloire du sérail et de ses associés, mais qui se soucie de la masse restante. Que dire sur celles qui sont censées représenter officiellement leurs sœurs. L’image désastreuse de ces députées algériennes en visite en France est dans les mémoires. Chaperonnées par leurs collègues du FLN-RND elles-mêmes téléguidées par une représentante de l’ambassade d’Algérie à Paris, le tout supervisé par un homme venu d’Alger. Comble de l’infortune, aucune n’avait de carte de visite pour permettre au journaliste de différer ses questions et faire son boulot. Pas moins de quatre tuteurs pour des «élues» de la Nation sans parler de celui du Code. Franchement, même sans escorte, ces représentantes de la Régence n’avaient rien à dire et rien à faire qu’assister à la parade. Sûrement pressées de visiter la ville des Lumières et ses magasins de luxe. Heureusement, l’Académie française a immortalisé l’ex indigène, Assia Djebar, démontrant ainsi qu’on peut être une Algérienne et nominée au prix Nobel. "…nous n’avons pas su garder vivantes les alliances…"affirme Wassyla Tamzali. Traduction : tissu social néant. Au Pérou, dans la capitale Lima avec plus de 7,6 millions d’habitants, des femmes, pour travailler et nourrir leurs enfants, en évitant la prostitution et la mendicité, ont mis en place des comedores populares (cantines populaires) dont le succès aujourdhui se chiffre à des dizaines de millions de membres.

En Inde, des femmes se regroupent pour épargner avoir un crédit ou s’investir dans des mutuelles de santé ( self-help groups). Toujours en Inde, des femmes, sensibles à la préservation de l’environnement, se sont regroupées avec succès pour défendre de leur corps des arbres menacés. On pense à la déception des femmes d’In Amenas qui malgré leur forte mobilisation n’ont rien pu faire. Là l’Europe aurait pu réagir au moins pour ouvrir un débat. Au Maroc, des paysannes se sont rassemblées dans des coopératives pour la fabrication de l’huile d’argan, travaux agricoles, cuisine... Au Brésil, plus ambitieuses, elles sont dans des Mutirao (chantiers communautaires) pour la construction des maisons dans les favelas, de citernes pour récupérer l’eau de pluie. Au Burkina Faso, elles sont dans les coopératives pour produire du beurre de karité. En France, elles ont ouvert des restaurants dans les quartiers défavorisés en récupérant des aliments non distribués. Au Pérou, une femme a même résolu le problème des déchets en créant en 1986 l’ONG Ciudad Saludable (ville saine). Avant elle, la capitale Lima était incapable de se débarrasser de la moitié de ses déchets. Aurait-elle pu le faire à Alger ? Sans doute, si l’Europe pouvait entre 1000 projets juteux et contrats mirifiques intercaler un tel dossier social si vital pour le commun des mortels. Avec l’hygiène, on a le moral, la santé, la forme et la sécurité si propice pourtant aux affaires. Un point commun entre l’Algérie, le Pérou et le Burkina Faso, ils ont tous finalement voté une loi contre la violence faite aux femmes. Au Pérou, le harcèlement sexuel dans la rue est passible de 12 ans. Au Burkina Faso, depuis le 6 septembre 2015, le mari violent risque 5 ans plus une amende de 1 million de Francs.

L’Algérie a fait mieux, sensible à la souffrance du sexe faible et la préservation de la stabilité des foyers, championne de la réconciliation, elle y a ajouté le «pardon» de la victime. «Le pardon dit la juriste Leila Aslaoui confisque la parole et ôte à la loi sa raison d’être.» Plus rentable. Sans pardon, l’Etat aurait à sa charge pour des années une «handicapée» ses rejetons et un prisonnier en plus. Que faire contre la violence de la loi ? 80% des victimes n’ont pas de travail dit le rapport sur la violence du Ministère algérien de la Santé en 2005. Ajoutons, rares sont celles qui portent plainte… Dans les années 90, elles auraient pu s’en sortir seules, plus maintenant. La pression, la pollution la malbouffe la frustration le désenchantement ont fini par éprouver fortement leur santé physique et mentale. Emmanuel Todd a prévu l’effondrement de l’URSS en remarquant une légère hausse de la mortalité infantile. Que dire de celle de la mère.

Le rapport ministériel de 2005 note que si les suicides sont plus nombreux chez les hommes, les tentatives de suicide chez les femmes l’emportent largement. La femme n’est plus dans la revendication mais dans l’incapacité voire l’indifférence de son sort. Les rares voix qui s’expriment en son nom le font à travers le canal officiel le temps du folklore d’un 8 mars ou à la va-vite clandestinement, pour la forme. Les analystes européens le savent bien, la délinquance, le terrorisme, la violence ont les mêmes racines émanent du même lieu des mêmes souffrances depuis l’aube de l’humanité. Des études américaines ont révélé que plus de 90% des dealers, des criminels, des suicidaires…n’ont pas connu leur père c'est-à-dire une enfance baignant dans la misère maternelle. Au Canada, en cas de divorce, la pauvreté atteint 40% de femmes contre seulement 10% d’hommes… Les chiffres le démontrent c’est toujours les pays nordiques qui occupent les premières places là où les femmes ont la permission de partager le mieux les responsabilités avec les hommes. Robert Lucas, prix Nobel d’économie comparée l’a bien souligné en comparant les Philippines à la Corée du Sud que les sociétés les plus égalitaires sont aussi celles qui sont les plus éduquées et en meilleure santé. Des ethnologues font remonter la race berbère aux Nordiques, d’autres disent que c’est les Nordiques qui viennent du Sud, mais ce qui est certain c’est que l’Europe reste la première destination de l’émigration algérienne. Même sous la colonisation, les Algériens allaient chercher en France pain et soutien.

Avant la guerre de Libération, il y a eu un timide rapprochement entre les femmes françaises et indigènes pour discuter de la condition de ces dernières. Les Français n’ont pas suivi l’exemple des Américains qui ont imposé en 45 au Japon leur Code civil concernant le genre. Si les Japonaises ont fini par rester célibataires à 50% comme les Algériennes, le Japon leur doit sa richesse c'est-à-dire son miracle, d’après les économistes. Manque de chance, elles boudent aussi la natalité. Leur refus du mariage est dû à la pression : choisir entre la carrière et les enfants. Le traumatisme lié au tsunami et au nucléaire a renforcé leur manque de confiance vis-à-vis de leurs dirigeants. L’Allemagne aussi à un problème avec la femme qui gèle la reproduction de l’espèce par manque de crèches. En Algérie, la natalité déborde malgré l’impossibilité de faire un enfant hors mariage et un candidat sur deux disponible pour l’union sacrée. D’après l’étude d’un démographe algérien (9), une partie de ce célibat au féminin ne s’explique que par un rejet du mariage surtout chez les plus instruites. Les Algériennes n’ont donc pas échappé à la mondialisation de la «révolution silencieuse» à leur manière. Il est urgent que le fonds invisible ne lâche pas, provoquant l’effondrement à l’image de la civilisation grecque qu’on disait bien protégée par ses philosophes et son Olympe. (A suivre)

Mimi Massiva

Renvois

  1. Wikipedia
  2. Cheikh Bentounès (El Watan 21/ 10/2014)
  3. L’Echec des Systèmes Politiques en Algérie (Slimane Medhar)
  4. Borromans – Le ministère de l’Enseignement Originel et des Affaires Religieuses en Algérie numéro VII, 1992, p. 141 (Mahfoud Bennoune, les Algériennes)
  5. Le Figaro économique (24/09/2013)
  6. Le Figaro économique (21/09/2009)
  7. Michael Silvestein (partner du BCG)

Lire aussi :

- La femme, problème ou solution en Algérie ? (I)

- La femme, problème ou solution en Algérie ? (III)

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Commentaires (3) | Réagir ?

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klouzazna klouzazna

La femme algérienne est l'âme du pays et la fondation de sa société !!!

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Quelqun EncoreQuelqun

De quelle femme parlez-vous? Khalida Toumi? Ben Hbiles? Anissa Boumédienne? ou plutôt de Chebba Zahouania?

Que produisent les universités algérienne aujourd'hui? J'ai un avis, mais je préfère le garder pour moi car cela risque de froisser.

La ruée vers "el khardja" les a atteintes elles aussi.

Même ma propre mère, pourtant d'une génération qui ne savait pas dire "hhh" (du kabyle), cette même mère n'en a absolument plus rien à secouer de "son bled", de ses oliviers, de ses figuiers... thénayak Vive fafa! Awiyi nagh adhémthagh !

Donc, les dissertations du "Femme algérienne; problème ou solution" etc me font plutôt penser aux épreuves de certains concours qu'à des réflexions dignes d'intérêt. Tout ceci bien sûr parce que tout simplement "Yéjma3 Rabbi awalis"... et depuis belle lurette Lucette!

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