Mokrane Gacem, un homme de lumières et de générosité
C'est demain jeudi que démarre la deuxième édition du festival "lumière sur le patrimoine historique et culturel de la Kabylie".
Cette fois, il se déroulera dans plusieurs coins de cette belle et éternelle rebelle Kabylie : At Yenni, Akfadou, Ighil Ali et Lqalaâ Nat Abbas. Derrière l'idée de ce festival, il y a un homme qui mène un combat pour les causes justes depuis de longues années: Mokrane Gacem. Homme de plume et d'action, Mokrane Gacem est d'abord un humaniste qui a toujours aidé les autres au détriment, souvent, de sa propre personne, de sa "carrière", ou de ses propres intérêts. Sérieux et modeste, Mokrane Gacem est un homme à prendre comme exemple : érudit, il est toujours prêt à partager ses connaissances, toujours prêt à transmettre son savoir...
Avec son ami de toujours, Nacer Irid, un autre grand défenseur des opprimés, un autre grand combattant de toujours, Mokrane Gacem, avait permis la réussite du premier festival à Akfadou. Il est vrai que Mokrane Gacem a une longue histoire avec cette région qui n'est pourtant pas sa région natale. Mokrane Gacem s'est toujours senti chez lui à Akfadou depuis les années 1970 où il venait chez son ami, Abdelkader Hebal, paix à son âme. Homme de convictions profondes, Mokrane Gacem est un journaliste de talent, un fin analyste de l'évolution du monde, un passionné de l'Histoire de l'Afrique du Nord. Mokrane Gacem est mon frère, j'aime discuter avec lui, j'aime entendre ses avis, son sourire me donne de l'énergie et me pousse à aller de l'avant. Tanemmirt ! Merci cher Mokrane pour tout ce que tu fais depuis toutes ces années ! Bonne continuation !
Youcef Zirem
Commentaires (1) | Réagir ?
Rendre un hommage à son ami, s'il est de surcroit comme vous le dite honnête toujours prêt à aider autrui, nous pouvons que nous joindre à votre hommage.
Il nous faudra beaucoup d'hommes comme lui, et des spécialistes dans différents domaines, il nous faut créer des associations qui agissent vraiment dans la culture et dans notre histoire, il nous faut sortir de cette idée qui consiste à dire, c'est la volonté de dieu, c'est ainsi, le dieu ne décide rien à la place de l'homme, qu'on le veuille ou non c'est ainsi.