Un courriel nous a été transmis par le secrétariat de L'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC Non-governmental Organizations(, mentionnant, qu’il a eu opposition de la part d'un État partie Algérie quant à la participation de l’Association Nationale contre la Corruption (ANLC), en évoquant l’article 17 du règlement intérieur de la Conférence.

Les représailles du pouvoir oligarque algérien deviennent symptomatiques sur le mouvement associatif en général et sur les associations qui luttent contre la corruption en particulier.

Le pouvoir algérien a déclaré la guerre contre notre association et mobilise toutes ses pseudos -institutions "administration, justice et presse" pour nous dissuader de militer contre la corruption qui s’est propagée dans tous les domaines de la vie et dans tous les secteurs d’activités et rouages de l’Etat.

Nous dénonçons cette cabale montée contre notre association, et la politique de harcèlement adoptée par le pouvoir.

Un appel à la raison au peuple algérien, la situation du pays est chaotique, le pouvoir oligarque pille les richesses du pays, décrète des lois anti corruption permissives, instaure un climat d’impunité pour les corrompus, et terrorise les militants de la lutte contre la corruption, jusqu’ou ira va votre silence, votre résignation ???!!!

Il devient impératif et urgent pour le peuple algérien de se mobiliser contre la stratégie du pouvoir qui consiste à imposer une politique de généralisation et de banalisation de la corruption. En dernier, rien ne pourra nous arrêter, pour continuer le combat de la lutte contre la corruption, le combat de la démocratie et le combat pour la liberté.

Vive l’Algérie libre et démocratique !

Vive le peuple algérien libre et fier!

Alger, le 02 novembre 2015

P/l’Association Nationale de Lutte contre la corruption (A.N.L.C)

Le secrétaire général Halim Feddal