Autrement la presse et son devenir en Algérie demeure une préoccupation conjoncturelle et secondaire de la présidence, juste mettre en communiqué ce qu'un ancien confrère des journalistes et ministre de son état: Son programme destiné à la presse avec beaucoup de zèle et excusez moi un "Zest de larbinisme particulier". Hamid Grine doit et devra partir bientot de ce poste, un lèse-majesté à l'image raffolante du "deal Bouteflika-Hollande" a eu lieu par son concours et malgré lui, un codage bien précis des changements nécessaaires (partiels bien sûr) gouvernementaux vers novembre ou au début 2016. En somme, une longévité de quelques mois pour un non gouvernement, le plus hétérogène depuis l'indépendance du pays, mais essentiellement sans épaisseur ni compétences. Pire encore, il est composé d'incultes politiques boostés ministres par allégeance personnelle par le second personnage de l'Etat: Said Bouteflika. Malheureusement c'est la stricte réalité.

Ahmed Gaid Salah celui qui semble en campagne de ....? Ne devra-t-il pas rejoindre legénéral Toufik à la retraite dorée mais crispée, ne serait-ce que pour équilibrer un peu les déceptions. Voire la déclaration du général à la retraite Khaled Nezzar, un véritable message codé à Gaid Salah dont les prétentions de chefferie heurtent celles du chef de l'Etat actuel.

Eh oui, le DRS ne peut être sous autorité que du président de la république, alors que si Gaid croit en faire une "Simple police militaire", grave et lourdement compremettant l'état major actuel de l'ANP dans sa principale activité était de se débarrasser du généra major Toufik et de mettre la main sur le DRS ou l'institution qui succèdera si réforme effective du renseignement algérien se précise effectivement.

La grave fissuration entre le FLN du drabki Amar Saadani et le RND du moustachu Ahmed Ouyahia, sont autant de périlleuses fissurations du régime. Quoique Bouteflika devra s'assumer jusqu'au bout par :

1) Le changement fondamentalement le gouvernement inutile actuel dans sa méthodologie et sa composante

2) Gaid Salah et son sous-clan doivent partir après Toufik et son sous-clan, autrement le président se trouvera devant des menaces sourdes et perfides de galonnés des Taggarins. Certains prédisent déjà même la candidature présidentielle de Gaid Salah en succession à Bouteflika (il a été trés jaloux Gaid Salah quand on avait désigné Liamine Zeroual chef d'Etat à l'époque en déclarant sic:"et pourquoi pas moi" réel cela).

3) Remettre de l'ordre institutionnel par une réforme complète des appareils sécuritaires, le DRS sous autorité présidentielle, la DGSN sous autorité du ministère de l'Intérieur et la gendarmerie nationale sous autorité du minisère de la Défense.

Autrement Bouteflika se retrouvera dans une "foire d'empoigne institutionnelle sécuritaire" qui précèderont l'effondrement redouté par tout le monde.

Ce n'est plus un jeu et le télescopage est là, warning ça urge pour la présidence de se reprendre ou d'etre reprise par beaucoup de larbins insidieux.

Sarah Sadim