Chiche Monsieur le Ministre, acceptez le défi de Monsieur Rebrab !
La télévision algérienne offre ses services à un ministre pour porter de graves accusations contre un industriel algérien, Issad Rebrab sans lui reconnaître le droit d'y répondre.
M. Bouchouareb, ministre de l'Industrie et des mines, profitant de son rang et usant de son autorité, a accusé, à travers sa télévision d'Etat, Issad Rebrab, l'industriel créateur de richesses et d'emplois de falsification, de faux et d'usage de faux. Pour toute réponse, Rebrab, "algériennement" parlant, lui lance, à travers la presse, un défi, un simple défi consistant en une confrontation télévisée.
Le ministre Bouchouareb rend publiques de graves accusations et prétend détenir des preuves contre Rebrab.
Que Monsieur Bouchouareb accepte le défi de Monsieur Rebrab ! Dans le langage universel, celui qui ne répond pas à un défi a peur d'affronter son adversaire, étant donc dans l'incapacité d'affronter la réalité. Voire d’apporter les preuves de ses accusations.
Ce qui veut dire que Abdesselam Bouchouareb n'est pas en mesure de faire face à celui qu'il accuse de trafic et d'intelligence économique. La logique, le patriotisme RND, la responsabilité et le devoir d'un ministre, la raison d'Etat, voudraient que Monsieur Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des mines, un portefeuille de souveraineté, réponde à Rebrab, l'ennemi de l’intérêt national.
Chiche! Que Monsieur Bouchouareb acceptez le défi de Monsieur Rebrab! Sinon, l'avenir proche retiendra que vous aurez non seulement manqué de courage, mais, pire encore, vous aurez permis à un industriel d'affaiblir l'économie nationale, si tel était le cas !
Bien entendu, les Algériens savent d'ores et déjà que le ministre n'est là que pour remplir un cahier de charges : celui d'asphyxier l'Algérie. Et d’étouffer toute volonté de reprise économique saine.
Les mauvaises langues avancent que ce ministre détiendrait un appartement au 21, quai Montebello, dans le 5e arrondissement, à Paris. C'est peut-être une autre histoire comme celle de Saadani propriétaire d'un appartement de quelques 7 00 000 euros, juste pour permettre à sa fille de suivre ses soins, avance-t-il, pendant que les femmes algériennes meurent dans les hôpitaux algériens faute de pouvoir accoucher sans risques.
Alors, vivement cette confrontation télévisée dans l’intérêt national, cet intérêt cher au parti de Abdesselam Bouchouareb dont le premier responsable est le directeur de cabinet de Bouteflika, Ahmed Ouyahia.
Achour Boufetta
Commentaires (5) | Réagir ?
merci pour partager
comme demande par nos amis, friands de vérité, je rajoutes aux confrontations devant une TV nationale :algérienne TV. : toufik_-boutef, benhadid_ gaid salah. chich, qu ils viennent expliquer au peuple ces saloperies qu ils nous font, et avant que c a n éclate pour de bon, sur leur sale gueules. s ils ne s expliquent pas devant la télé, moi je dirais que ce sont eux, (boutef et ses sbires) qui sont des voleurs, salauds, voyous..., et qu ils doivent laisser les gens intègres, tranquilles et en paix.