Les avocats revendiquent l’élargissement de la marge des libertés politiques et civiles : « L’Algérie ne s’est pas adaptée aux conventions internationales»

Les avocats revendiquent l’élargissement de la marge des libertés politiques et civiles : « L’Algérie ne s’est pas adaptée aux conventions internationales»

Des avocats algériens ont débattu hier des décisions de la Justice pénale internationale et du Tribunal Pénal international en plus de l’affaire du président Soudanais Hassan Omar Bachir et ses retombées sur la situation en Algérie et dans le monde Arabe.

Les avocats algériens ont considéré que la restriction de la marge des libertés et des Droits de l’Homme est la première porte d’accès empruntée par le Tribunal Pénal International et ses branches pour cibler les pays faibles. Le juriste Miloud Brahimi, Avocat spécialiste en Droit pénal international a déclaré que les autorités algériennes n’ont pas fourni les efforts nécessaires pour promouvoir les Droits de l’Homme et le système judiciaire relatif aux libertés. M. Brahimi a affirmé, en répondant à une question d’El Khabar sur l’enjeu des Droits de l’Homme en Algérie, que la promotion des Droits de l’Homme a besoin de plus d’efforts pour adapter les lois algériennes aux conventions internationales. Il a expliqué que la question concerne certaines affaires et crimes qui n’ont, jusqu’à présent, pas été classées dans les lois algériennes en tant que crimes contre l’humanité et en tant que crimes de guerre.

Le conférencier a également indiqué que c’est parce que de telles affaires n’ont pas été introduites dans le système juridique algérien que l’Association du 8 Mai 1945, la combattante Louisa Ighil Ahriz et la famille du martyr Larbi Ben Mhidi ont introduit une action en justice contre des officiers de l’Armée Française de l’ère coloniale, à l’instar d’Ausares et Maurice Papon devant les tribunaux Français et non algériens. Il a justifié cela par l’absence d’un cadre juridique pour ces plaintes en Algérie.

EKh

Plus d'articles de : Actualité

Commentaires (7) | Réagir ?

avatar
Abdel

Cessez ces verbiages d'ecoliers, svp. Jespere que vous ne me censurez pas. Nos ancetres nous ont rien légué de quoi etre fiers d'eux. Je parle bien sur de ces chers rois numides dont nous avons crée les mythes et les légendes. Les arabes, je parle bien des arabes, ne faisons pas d'amalgame, il ya difference entre arabe et musulman. Les arabes que certains ont considéré comme la derniere race sur terre. Cette derniere race nous a envahi et dominé, nous les fiers guerriers berberes. Donc, il n'ya pas de quoi etre fiers de nos ancetres. Parce que si tu deduis un peu, tu verras que nous sommes la derniere race sur terre car, par nos traitrises, nous sommes ecrasés par les Beni hellal. Les fils d'allemends ou de japonais peuvent bien etre fiers mais pas nous. Cessez de nous casser les oreilles par l'arabo-islamisme. Toufik, Kasdi Merbah et companie sont bel et bien des kabyles.

avatar
ahmed.00

je pense que boutef a innocenter ses generaux alors ces lui qui doit etre juger devant le tpi

visualisation: 2 / 7