Vers l'ouverture d’un bureau du FBI en Algérie

Vers l'ouverture d’un bureau du FBI en Algérie

Une délégation du ministère algérien de la justice à rencontré du 14 au 17 de ce mois des responsables du Bureau Fédéral d’Investigations à Washington ainsi que des représentants des affaires étrangères et de la justice américaines. La rencontre a été sanctionnée par la résolution des procédures nécessaires à la signature d’une convention sur la coopération juridique dans le domaine pénal entre l’Algérie et les États-Unis.

Ces négociations sont intervenues après l’annonce du FBI de son intention d’ouvrir un bureau à Alger pour faire face à la menace terroriste du Groupe Salafiste dans la région du Maghreb Arabe.

Selon un communiqué du ministère de la justice, ces négociations ont permis aux deux parties de passer en revue les programmes de coopération tracés et de trouver les meilleures voies pour les deux pays afin de bénéficier des spécificités du système juridique propre à chacun d’eux

Les représentants du ministre de la justice algérien ont d’autre part rencontré des responsables américains des affaires étrangères et de la justice en vu d’établir un programme de formation adapté au profit des magistrats algériens dans le domaine du crime organisé transfrontalier et de la coopération judiciaire.

Plus d'articles de : Actualité

Commentaires (16) | Réagir ?

avatar
interne

je sais que je vais choquer beaucoup de monde, mais pour moi ils sont les bienvenus.

je prefereune colonisation directe et leur presence physique, que d'etre representés par nos services et nos polices ce qui se passse deja depuis longtemps.

il vaut mieux etre sous la coupe de quelqu'un qui sait ce qu"il veut et agit selon que d'etre sous le menace de nos guignols de puis l'independance. comme ca le peuple pourrase consoler comme jadis en disant nous sommes occupés comme les ^pays du golf que l'oncle sam etouffe avec leur turban grace a des bases sur place.

n'est ce pas un dicton arabe qui dit (kad yafaalou el jahilou bi nafsihi mala yafaalou el aakil bi aadouwihi). ca veut dire a peut pret (l"ignorant fait plus de mal a lui meme qu"un homme savant a son ennemi).

a mediter

avatar
Aissa

Si un simple politicien etranger critique la situation des droits de l'homme en Algérie, on l'accuse tout de suite d'ingérance dans les affaires internes de l'état et si les GIs Américains ménent des opérations a l'intérieur du pays on se tue. On a peur de OCAMPO.

visualisation: 2 / 16