Bouteflika cherche une parade pour la chute du prix du pétrole
Après le plan d’austérité mis en place par le Président algérien Abdelaziz Bouteflika à la suite de la chute des prix du pétrole, il tente désormais de trouver une solution avec les autres pays producteurs de pétrole afin de stabiliser les prix du marché.
Le pétrole est au cœur de l’activité économique en Algérie. Cette dernière est mise à mal depuis plusieurs semaines par la baisse vertigineuse des prix du pétrole. Afin de tenter de relever son économie, le Président Abdelaziz Bouteflika tente de sensibiliser les pays membres de l’OPEP à la chute des prix du pétrole, en préconisant une action commune et une concertation élargie à tous les pays exportateurs de pétrole afin de tenter de trouver un consensus, selon el Watan.
Pour ce faire, sur la demande du Président, le premier ministre Abdelmalek Sellal a envoyé dans plusieurs pays tel que le Gabon, le Congo, la Guinée Equatoriale, le Nigeria ainsi que l’Angola des émissaires afin d’ouvrir des discussions. Plusieurs autres ministres ont été dépêchés en Azerbaïjan, au Mexique ainsi qu’en Arabie Saoudite.
Le Président algérien Abdelaziz Bouteflika pointe du doigt les conséquences néfastes de la détérioration des marchés pétroliers. Mais face au poids lourd des pays exportateurs, difficile de trouver un consensus d’autant plus que ces pays là avait par ailleurs convenu de ne pas réduire leur production, en dépit de la baisse des prix. Les initiatives diplomatiques du Président Bouteflika afin d’arrêter le chute des prix se semblent pas trouver écho chez les autre membres de l’OPEP.
L’Algérie ne représente que 4% de la production commercialisée, ce qui pèse peu face aux autres pays. De ce fait, les initiatives prises par l’Algérie afin d’enrayer le prix du pétrole risquent de ne pas trouver écho auprès des autres pays. Nous n’avons, du point de vue de notre production et de notre consommation d’énergie, aucun poids pour négocier avec des puissances comme l’Arabie Saoudite ou prétendre infléchir une tendance mondiale estime l’économiste Abdelaziz Rahabi, ancien ministre et diplomate.
Afrik.com
Commentaires (1) | Réagir ?
Bonjour
Il faut être réellement naif, de mauvaise foi et/ou de malhonnêteté extrèmes pour affirmer et/ou essayer de faire croir à un quiconque quidam que le monde pétrolier d'aujourd'hui puisse prendre en compte des fabulations machiavéliques mafieuses d'une momie dite "président" d'une nation.
Momie incapable même de gérer himselfe ses propres couches et ses propres besoins naturels les plus basiques.
La real-politique pétrolière internationale est une chose sérieuse. Les gourous de sèctes mafieuses n'ont aucunement leurs places ni mots à dire. A la limite ils peuvent suivre le cap tracé par "Siadhoum" véritables "Chouaker" décideurs de la planète et qui s'appellent les occidentaux, US en tête dits aussi "koffars"
Le prix du baril ne peut sortir de la fourchette 40-70 USD et ce pour de longues années à venir pour la simple raison que c'est la fourchette aujourd'hui optimale calculée par les US et imposée à leurs satelites "arabo tchektchouka" permettant à long termes la suprematie absolue US et accélérer la lente agonie et descente aux enfers des pays "hors axe". (Russie, Iran, Venezuela, Nigeria etc). Pays parias aux yeux de cet axe du diable Arabo/US parmi lesquels le "Bouteflekistan" est partie inutile négligeable.
Donc on peut faire écrire ou dire (peut il encore écrire ou parler!!??) à "Boutcheftchifa" tous les voeux pieux de la terre et de l'univers sans que pour celà puisse changer d'un iota le cours des choses. Rabah Benali.