Matoub-Printemps noir : Colloque sur « L’impunité en Algérie »

Matoub-Printemps noir : Colloque sur « L’impunité en Algérie »

A l’occasion de la double commémoration du 10ème anniversaire de l’assassinat du Rebelle MATOUB et du 7ème anniversaire du Printemps noir, un colloque : « L’impunité en Algérie : la résistance face au silence et aux complicités » est organisé sous l’égide des archs les 18 et 19 juin 2008 à la Maison de la Culture Mouloud MAMMERI. La population est invitée à y prendre part.

Parmi les intervenants :

- Professeur Mohand ISSAD : « Justice algérienne : état des lieux».

- Malika MATOUB, Présidente de la Fondation Lounes MATOUB : « L’affaire MATOUB : entre l’intox et la vérité ».

- Hocine ZEHOUANE, Président de Ligue Algérienne de la Défense des Droits de l’Homme (L.A.D.D.H) : « L’impunité en question ».

- Boudjemaâ GUECHIR, Président de la Ligue Algérienne des Droits de l’Homme (L.A.D.H.), « L’impunité et droits de l’Homme ».

- Djilali HEDJADJ, Président de l’Association Algérienne de la Lutte Contre la Corruption, «Corruption et impunité ».

- Mohammed BENCHICOU, Directeur du journal Le Matin, « La presse et l’impunité ».

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Commentaires (17) | Réagir ?

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Amzal

Je ne suis pas un fan de Abrika. mais faut pas charrier. certains prennent leur jalousie pour une vertu. celui qui détruit le pays comme le pouvoir pourquoi, celui qui essaie de maintenir un lien vivant avec la société civile et en plus dans les conditions que l'on sait, pourquoi. vous voulez quoi. on dit bien qu'il n'ya que ceux qui ne font rien qui ne sont jamais critiqués. vous croyez que tous les gens pensent comme vous. critiquer, critiquer tout le monde, tous azimuts et ça donne de la contenance. on est plus en 89- 90. c'est fini ce temps là. la critique dans le vide, Louiza Hanoune, elle en a fait une carrière. regardez bien comment elle a réussi dans le Heff. alors les gens qui critiquent tout, méfiance. d'ailleurs même les gens du pouvoir s'adonnent à ce sport sans danger. alors critiquer ça peut être bien mais soutenir de temps en temps ça peut être utile. quand à Mr Arabise qui se demande pourquoi ce séminaire se tient en Kabylie, y'a rien qu'un psychanaliste qui pourrait vous répondre ou vous guérir. mais votre questionnement nous rappelle Benbelle qui posait la même question de savoir pourquoi le congrés de la Soummam s'est tenu en Kabylie. vous je ne vous connais pas, en tous cas lui Benbella était connu pour son racisme primaire anti-Kabyle (on se demande pourquoi d'ailleurs). il avait en plus était trés bien soutenu dans ses sentiments ''ultra-patriotiques'' par ses frères Egyptiens. vos frères à vous aussi peut être.

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Arabuz nda

Il ne manque à ce colloque portant sur l'impunité en Algérie que le haut patronage du président de la république pour corser le tout. Sincèrement, de qui se moque-t-on? Parler de l'impunité dans une institution de l'État dépendant localement de Ould Ali Lhadi et nationalement de Khalida qui ne peut toujours rien refuser au président de la république c'est vraiment participer à la confusion politique en vigueur. Si on comprend la motivation des usurpateurs du sigle de la C. A. D. C qui s'agrippent à tout pour revenir sur scène après avoir honteusement bradé un combat sur le quel tant d'espoir a été fondé en négociant au rabais pour des résultats illusoires avec un pouvoir au quel ils trouvaient des vertus, on n'arrive pas à comprendre la participation de certains invités qui sont connus pour leur probité et leur sens de la mesure. Peut-on oser croire qu'ils sont en mal de tribune? Dans ce cas comme dans l'autre, Ils risquent fortement de devenir complices d'une supercherie en voulant parler de résistance face au silence et aux complicités à propos de l'impunité en Algérie. Dans ce genre de situation, il est bien meilleur de demeurer silencieux que d'accepter le jeu de la complicité même sous un emballage trompeur car on ne peut se prévaloir d'un quelconque rôle dans la société et se laisser entrainer dans de sordides calculs politiciens ou servir d'étriers pour remettre en selle un cavalier qui s'est laissé choir parce qu'il n'en est pas digne. L'histoire rattrape aisément. A bon entendeur, salut. Quant à Lwannas, il vous rétorquera du fond de sa tombe: « D aghurru! »

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