L'investissement est-il vraiment libre en Algérie ?
C'est pourtant ce qu'a affirmé le directeur général de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), Abdelkrim Mansouri, mercredi à Londres. L’investissement en Algérie était "libre". Net et précis à première vue. Mais à première vue seulement pour ceux qui connaissent les règles qui régissent le tissu économique du pays.
Le directeur de l'ANDI tente de vendre l'attractivité de l'Algérie. Intervenant au forum algéro-britannique sur le commerce et l’investissement, M. Mansouri a rassuré sur la liberté de l’investissement en Algérie et le choix des secteurs d’activité, relevant qu’aucun secteur n’était réservé à l’Etat, "pourvu que les projets respectent les règles de l’environnement des affaires", tempère-t-il. Cependant il est difficile de croire à l'existence d'un environnement des affaires sain quand on sait que plusieurs grands chantiers sont entachés par des affaires de corruption ou des retards dus à des pressions multiples.
"Les sociétés peuvent créer des sociétés librement. Elles peuvent choisir le type de société librement et les secteurs d’activités . Il n’y a plus d’activités réservées à l’Etat, l’investisseur peut aller à n’importe quel secteur", a-t-il expliqué aux 500 hommes d’affaires britanniques venus s’enquérir des opportunités d’investissement en Algérie. Si l'on comprend bien, il n' y a pas de secteur stratégique, le marché est totalement ouvert.
Il a expliqué les principes généraux qui régissent l’investissement en Algérie, à savoir la protection de l’investissement, les garanties de l’investissement ainsi que les avantages que les investisseurs peuvent avoir.
M. Mansouri a abordé, en outre, l’aspect protection des investisseurs, citant notamment les conventions bilatérales internationales de protection mutuelle d’investissement, dont l’Algérie a signé une soixantaine avec une cinquantaine de pays. Il a évoqué, d’autre part, les avantages accordés aux investisseurs à travers les allègements fiscaux, les bonifications des taux d’intérêt et les réductions sur le coût du foncier.
Les assurance du DG de l'Andi ont-elles fait mouche ? La question reste posée quand on sait que le premier investisseur privé, Issad Rebrab, patron de Cévital, devant les blocages et pressions du clan au pouvoir a été obligé d'aller investir à l'étranger. Depuis quelque temps, il a commencé à externalisé les investissements de son Groupe. En France, il a sauvé des entreprises du dépôt de bilan et en Italie il a été tout bonnement accueilli par le premier ministre qui l'a assuré de son soutien, alors qu'en Algérie, on lui préfère les Qataris, voire on l'empêche d'investir.
L.M. avec APS
Commentaires (6) | Réagir ?
Un petit enfant de 12 ans a préféré mourir que vivre sous domination. Petit Omar.
Une jeune fille de 19 ans a préférée mourir que vivre prisonnière des uns et des autres. Hassiba.
Un jeune homme de 27ans a préféré être déchiqueté par une explosion que par des traitres. Ali la pointe.
Un jeune nouveau marié a préféré être emporté par une bombe que voir sa progéniture souffrir. Mahmoud.
24 autres personnes sont allées aux cieux avec eux en ce 8 octobre 1957.
Pour ne pas vivre sous le dictat de minables corrompus et traitres.
Un certain 11 décembre 1960, il n’y avait plus de héros en Algérie.
Ils sont tous morts par la volonté de ceux qui ont décidé qu’il n’ya qu’un seul héros le peuple.
Au début il était six, puis 20, ensuite 2000, et enfin 200 000 héros qui ont voulus que l'Algérie soit et que les algériens deviennent libres.
Depuis le nombre de héros ne cesse d’augmenter 10, 20, 30, 40, bientôt 50 et 60 millions.
l'investissement des uns à profiter a d'autres.
L'erreur de monsieur le grand Rebrab, sollicité par les occidentaux SVP, pour investir chez eux, est d’être né kabyle!Connaissant l'anti kabylisme de la secte prédatrice d'Oujda, la secte criminelle, assassine, qui a pris en otage le pays d'Abane, et n'ayant jamais digéré la présence massive des révolutionnaires kabyles qu'ils ont juste d'ailleurs croisés, car ce clan de malheur s'est terré comme des lièvres dans leurs gîtes durant toute la révolution;les révolutionnaires de palace, dixit Abane!
Au moment ou le monde entier, crise économique oblige, avec en tête les pays fortement industrialisés sollicitent de partout tout investisseur potentiel afin d'apporter une plus valus à leurs économies respectives, chez nous, des apprentis sorciers, criminels, ignares, mauvais bergers, refusent à un monsieur industriel algérien autochtone d'investir dans la terre de ses ancêtres, préférant octroyer des marchés de grès à grès à des enturbannés chassant l'outarde chez nous, car notre roi auto proclamé a passé sa traversée du désert chez eux entre 1978 et 1999!
Voilà ou en est le pays des martyrs à sa tête les plus grands voyous que la terre n'ait jamais enfantés!
Monsieur Rebrab, qui est en train de faire le bonheur des pays occidentaux et des pays d'Afrique est interdit par cette secte qu'il faut vite faire déguerpir du pouvoir par tous les moyens !
La conjoncture incite tout gouvernement, digne de ce nom de faire appel à toutes les compétences du pays afin d'échapper à une misère quasi certaine et qui frappe a notre porte!
Le sort du pays est entre une mafia, il est temps que ce peuple de soumis réagisse vite, car ce qui attend notre pays dépendant à 200% de la rente pétrolière qui est en train de décliner d'ailleurs et dont le prix est en train de chuter! Revenant à cette secte ;aveuglée par le pouvoir, ignorant les conséquences de ce qu'elle est en train de préparer au pays et surtout à la Kabylie qu'ils n'ont jamais porté dans leur cœur, refusant justement à monsieur Rebrab l'extension du port de Cap jinet, voulant en faire un parmi les plus grands du monde, la secte n'en veut pas, car Cap Jinet c'est la Kabylie et ce sont les kabyles qui vont y travailler, donc refus catégorique, à la place de Cap Jinet la secte prédatrice veut le délocaliser à l'Ouest leur fief!sans oublier le projet de métallurgie à Bellara et refusé au même Rebrab, et octroyé gracieusement aux qataris !Voilà ou en est la gestion des mercenaires fabriqués par Degaulle!
Il est temps au peuple de se soulever pour abattre cette secte, mais surtout aux kabyles qui sont les plus lésés depuis 1962 mais surtout depuis 1999;avec l'arrivée du nain au pouvoir, l'assoiffé du pouvoir, le renégat, la mégalomane, le revanchard, l'imposteur, le complexé, l'artisan des coups bas, le spécialiste de l'intrigue, de la triche, du mensonge, le sans personnalité ni dignité, celui fabriqué par l'autre ennemi de la Kabylie, Boukharouba et leur père spirituel Boussouf!Le Boussoufisme plane indéfiniment sur le pays d'Abane, Ben M hidi et leurs semblables!