Barakat à la police politique, Barakat l’Etat policier
Des citoyens algériens de toutes tendances ont été arrêtés par la police ce samedi 1er novembre 2014.
Les militants voulaient organiser une marche de la place de la Liberté de la Presse vers l’Assemblée populaire nationale, pour exiger la liberté de manifester pacifiquement, dans leur pays.
Ces arrestations arbitraires et despotiques qui n’honorent pas la mémoire des Chouhadas et des valeureux moudjahidines, qui se sont battus et qui se sont sacrifiés pour la liberté du peuple algérien, témoignent de la nature antinationale du régime en place et de la trahison des valeurs du 1er novembre et du Congrès de la Soummam.
En ce 60ème anniversaire du déclenchement de la Guerre de Libération, les arrestations de militants pacifiques est le synonyme que le combat pour la liberté et la démocratie, pour la consécration d’un Etat republicain et souverain, demeure un projet à bâtir et qui relève de la responsabilité de toutes les forces démocratiques conformément à l’Appel du 1er novembre.
Le mouvement Barakat exige, outre la libération immédiate de l’ensemble des militants, la fin des poursuites et des intimidations.
Les glorieux chouhadas ne sont pas morts que pour le régime interne les enfants dignes et patriotes de l’Algérie.
Commentaires (3) | Réagir ?
merci
Trop tard, Il n y aura pas de solution pacifique au problème. même pas avec consencus :Le ver est dans le fruit. Le peuple est phagocyté-
Ils ne partiront qu'avec le debouze sur leurs têtes, les gifles et les coups de poing sur leurs gueules ensanglantées comme ont fait les libyens à guedaffi