Tenons-nous la main
Tout semble comme si tout un chacun attend un réel déclic.
Celui qui enfin nous sortira du mauvais chemin emprunté, ce sentier qui nous a conduits à l’impasse. Pour enfin aller dans le bon sens. Dans celui toujours de la bonne gestion qui ne tolérera nulle moindre corruption. Celui du souci du bien commun et du respect de l’autre. En finir avec toutes les violences. Et prendre constamment conscience que nous sommes de simples mortels. Et l’intérêt est d’être bâtisseur que destructeur, une partie de la population réprimant la majorité. Il faut plutôt penser toujours à semer. Pour un jour récolter. Il y va de l’intérêt de tous. Aidons nous et le ciel nous aidera. Tendre la main à la diaspora, est essentiel Invitons là à investir et gérer. Vous me diriez qu’ils ne le voudraient jamais tous ces gros bonnets qui ont de gros intérêts. Dites-leur que si l’on tombe dans le gouffre, ils tomberont avec nous. Et personne ne nous tendra la main pour nous relever. Aidons nous tous comme dans les durs moments de la révolution où nous étions tous unis. Dites-leur d’être moins gourmands.
Et de s’inspirer des riches d’Europe dont le souci de démocratie à l’intérieur de leurs pays est primordial. Emmanuel Kant est européen. C’était lui qui disait : "L'inhumanité infligée à l'autre détruit mon humanité". L’Europe a tourné le dos aux dictatures. Et vit aussi dans les pays. Même ses nababs ont souci de leurs peuples, de leurs pays. L’Europe a des garde-fous et les droits de tout un chacun sont respectés.
En Algérie, longtemps le corps de la police était au four et au moulin. Surutilisé. Et leur mutinerie reste du jamais-vu. Et si cette grogne policière est le réel déclic qu’on attend depuis si longtemps ?
De Boghni, Amokrane Nourdine
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" En Algérie, longtemps le corps de la police était au four et au moulin. Surutilisé. Et leur mutinerie reste du jamais-vu. Et si cette grogne policière est le réel déclic qu’on attend depuis si longtemps ?"
Difficille une telle éventualité sans violences, la provocation d'unités de la Gendarmerie en essayant de bloquer les CNS embarqués au niveau des bus à Cherraga, de justesse un affrontement se serait produit si ce n'est la marche arriére des gendarmes, prétextant que leur Général Boustella n'avait donné aucun Ordre. Bizarre ce faux dérapage, aprés que les GIS de l'ex DRS ont refusés d'intervenir contre les policiers en gréve pacifique.
Ce sont des faits réels qui se sont déroulés hier, alors ne serions nous qu'au début de la plus grave dérive sécuritaire de l'algérie?