Les tontons macoutes de $aïd. Par Mohamed Abassa
Habituellement je ne réponds jamais aux morveux, ni aux chiens aboyeurs qui tentent de protéger leurs maîtres. Encore moins aux chiots même quand ils sont une meute.
Je préfère m’occuper de ceux qui leur tiennent la laisse, leurs patrons employeurs : $aïd en tête; le plus grand proxénète politique d’Alger. Mais il faudra, tout de même, juste une petite mise au point sur la forme des insultes de TSA à mon sujet avant d’aller au fond et à l’essentiel.
1. Je n’ai jamais traité ce Gedoui (anonyme et caché) de putain, parce que je respecte assez les putes pour les comparer à ce sinistre et insignifiant individu. Mais bien de pétasse, ce qui est très différent. La putain, elle, est contrainte, par défaut, de gagner sa vie avec ses fesses. La pétasse, elle, tout en pratiquant le même commerce, est, telle que définie par le dictionnaire «une femme vulgaire, facile et prétentieuse» A cette saleté, la pétasse Gedoui ajoute une couche de lâcheté en insultant bien caché sous l’anonymat. Ce qui correspond exactement au profil de cette nouvelle race de chiots mal dressés lâchés sans muselière contre tout ce qui critique le régime corrompu du clan. Lâchés au sifflet du proxénète politique $aïd ; le corrompu «le plus vorace et le plus insatiable d’Algérie» Dixit les ambassadeurs de France et des USA (Wikileaks repris par El-Païs du 25 janvier 2008) Information sans réponse et non démentie à ce jour.
Qui n’a pas ressenti cette impression de dégoût, de vulgarité et de saleté en lisant ce sinistre chekkam, sorti on ne sait d’où, quoi qu’on l’aura deviné ; la promotion canapé réversible et la Chkara de $aïd et de ses slouguis et lévriers de campagne? Bien silencieux et penauds ces derniers temps.
2. Je ne fréquente pas le quartier St Michel de Paris et je ne bois presque jamais de bière. Quand il m’arrive de boire, je le fais avec mon argent, gagné proprement avec mon seul travail ; à Alger comme à Paris. Je ne vis pas avec de l’argent volé du contribuable comme le font les maîtres employeurs de Gedoui ; ni à la Closerie des Lilas, ni au Four Seasons du Georges V. Je ne prends pas non plus de suites royales dans les palaces parisiens (à 10 000 €/nuit) comme le font les maîtres employeurs des petits chekkamines et rabatteurs du pouvoir de $aïd, le plus corrompu d’Algérie. Avec l’argent de la grosse Chippa, en $ et en €.
Moi, je paye mes loyers, mes frais de vie et de santé à Paris comme à Alger avec mes propres ressources, provenant de mon seul travail: mes droits d’auteur de travaux littéraires et scientifiques, de chercheur et de mes interventions de journaliste. A Alger comme à Paris je ne vis pas comme vos maîtres régnants ; avec l’argent volé de la Chkara de la haute corruption. Pas avec les pots de vin des multinationales ; des Mds de $.
3. Non, je n’ai pas fui Alger, mais j’ai échappé au régime qui tient tout un peuple sous sa botte. Une escouade de 12 flics est venue chez moi encercler mon livre «POUTAKHINE» Ils ont mis ma maison sens dessus dessous pour rechercher, y compris dans mon lit, un livre légalement édité et disponible dans toutes les grandes librairies d’Alger. J’ai «fui» Alger parce que les 4X4 fumés de la police parallèle des Bouteflika, vos tontons macoutes, harcelaient ma famille, de jour comme de nuit, pendant plus de deux années. Tout le voisinage en a été témoin. J’ai «fui» Alger parce mes outils de travails ont été volés et mes archives détruites par vos barbouzes-mercenaires en dehors de toute légalité, de toute décision de justice et de toute morale. Je n’évoque pas ici les pressions, les chantages et les cambriolages arrangés dont ont été victimes mes enfants à Alger. L’exemple de Benchicou et des gamins jetés en prison pour s’être exprimés ou pour avoir mangé un sandwich durant le jeune du Ramadhan, suffit à rappeler la barbarie de vos intolérances. C’est pourquoi, grâce à l’aide de patriotes algériens, j’ai échappé aux serres de vos maîtres.
4. J’oubliais le lourd fardeau que je porte selon la toute dernière appréciation du tout dernier Chekkam des Bouteflika : mes 70 ans ! Quel lourd péché que cet âge! Souffrez que je ne me suis jamais aussi bien porté et d’être aussi productif et en parfaite forme : Après mon dernier sondage national «CE QUE VEULENT LES ALGERIENS» qui a fait trembler les Borgia d’Alger et leurs chiens et chiots servants, j’ai réédité Poutakhine à Paris. Je viens de sortir en France «KHAOULA, LA FILLE DU GENERAL» et très prochainement «LE DERNIER CREPUSCULE DES BENI K…» K… étant la contraction multiple de Kelboune ou Kaouadine ou Khaouana ou khamadjoune.
Je suis en phase de finition d’une étude technique et scientifique sur la communication institutionnelle. J’achève aussi un roman «LA DERNIERE FIANCEE DE DIEU» dont la sortie est prévue pour l’été prochain ; histoire de marquer mon retour à Alger et, aussi, de voir de quelle matière fécale est enduit le visage d’une pétasse écrivaillant sous un pseudo. Quel courage et quelle lâcheté ! Une performance de chiot mal dressé.
Pour mémoire, le jeune homme de 70 ans que je suis rappelle qu’il produit plus d’une centaine de chroniques et études par an, qu’il encadre 04 thèses de doctorat d’Etat et qu’il assiste plusieurs auteurs français et étrangers à finaliser leurs ouvrages. Il donne aussi des conférences-débats dans plusieurs universités françaises. Ce qui, avec le sport et les activités culturelles et militantes parisiennes, d’évidence, ne lui laissent pas beaucoup de temps pour avaler une seule bière et encore moins quinze. Quant aux blondes avec viagra que vous me proposez dans le cadre normal de l’exercice naturel de votre métier de rabatteur, je n’en voudrais pour rien au monde. Trop sale votre commerce. Réservez-le plutôt à votre seul grand client protecteur; $aïd, le plus grand corrompu et corrupteur d’Algérie. Je vous souhaite tout de même, une douce baignade dans ces torrents de révoltes populaires qui vous noieront dans la honte et le déshonneur. Rappelez-vous juste l’égérie et mentor de votre candidat, canasson crevé ; Ceausescu ; il a fini dans un caniveau, dans le lisier de sa merde et de son pipi. Comme tous les dictateurs. Le vôtre, Boutefli$a, s’il persiste dans sa folie mafieuse, ne finira pas mieux. Rappelez-vous aussi les roches tarpéiennes.
Signé de mes vrais nom et prénom : Abassa Mohamed,
Et de mon vrai âge : 71 ans, 01 mois et et 15 jours et non de 70 ans.
Paris, Montparnasse, le 02 avril 2014.
Sur le fond :
J’y répondrai dans un prochain article avec la promesse de ne pas m’arrêter aux chiennes servantes.
Auparavant, juste un bref rappel en guise d’introduction du prochain article:
1. Sur les 25 arguments de mon dernier article qui met à nu l’incongruité, l’illégalité et l’illégitimité de votre candidat invalide, vous n’apportez aucune contradiction, aucun démenti à mes démonstrations exception faite, bien sûr, des insultes infantiles et débiles qui ressemblent bien à son auteur.
2. Voici la liste des Algériens en total accord avec mon argumentaire et qui dénoncent le coup de force des mafias régnantes pour un 4ème mandat:
- Un ancien Président de la République encore en vie
- 05 anciens chefs de gouvernement
- 20 anciens officiers supérieurs dont des généraux et des colonels
- 14 partis politiques
- 05 candidats à la Présidence de la République
- La société civile dans son ensemble au travers de 22 associations
- 03 syndicats autonomes
- La presse professionnelle non-baltagui et non corrompue
- La communauté scientifique
- La communauté émigrée
- La communauté universitaire
Voici le texte d’insulte de Gh.Gedoui:
Tonton et son âge
J’allais répondre à un certain Mohamed Abassa qui m’a traité de putain, entre autres amabilités, sur un site. J’allais juste lui dire qu’il ne faut jamais utiliser des termes vulgaires qui pourraient choquer nos jeunes générations. Juste ça, mes amis. Mais quand j’ai appris son âge, 70 bornes, quand j’ai su qu’il résidait à Paris, je me suis dit : «Non, je ne vais pas répondre à un homme qui pourrait être mon père. Non, je ne répondrai pas à cet homme si courageux qui insulte le Président à partir d’un bar de St Michel». Franchement, je vous le demande : peut-on décemment répondre à un homme qui pourrait être votre père et qui est en état permanent d’ébriété ?Tout ce que je pourrais lui dire tient en quelques mots qui lui feront plaisir, car il faut faire plaisir à ceux qui ne sont plus tout à fait de ce monde, des fantômes errants : «Bois-moins et reviens dans ton pays. La bière n’est peut-être pas extraordinaire. Mais nous avons un bon vin. Je t’offrirai chaque jour 3 bouteilles. Je pourrais même t’en offrir 6. À condition, tu permets que je te le dise, que tu améliores ton style et que tu insultes moins. 6 bouteilles gratis, ni vu, ni connu, allez viens tonton. Rentre chez-toi, tu boiras plus et tu insulteras plus. Tu veux aussi du whisky ? Tu en auras ? Des contrats faramineux du secteur public pour ta future boite de sondage à l’image de ceux dont tu as profité naguère ? Pas de problèmes, tu auras des contrats juteux. Peut-être aussi quelques blondes nordiques ? À ton âge, tu peux encore ? Très bien. Tu auras les blondes et du viagra en cadeau. Pas besoin de viagra parce que tu parlais de bières blondes et non de femmes ? Aucun souci. J’aurais dû m’en douter. Tu auras toutes les bières : blondes, brunes … Tu auras tout, mais vraiment tout. Rentre au pays, tonton, parce qu’ici, nous avons besoin de tout pour faire un monde. Nous rassemblons, nous unissons tous les caractères et tous les tempéraments. C’est notre serment pour l’Algérie. Ça te rend fou furieux ? Tu veux encore m’insulter ? Défoule-toi ! Traite-moi de tous les noms. Je te pardonne d’avance. Quand tu seras lucide, passe me voir à TSA puisque tu veux me connaitre. Tu ne peux pas rentrer en Algérie ? Donne-moi tes coordonnées pour que je puisse te voir. Au bar de St Michel. On partagera des blondes selon nos goûts. L’un boira et pissera, l’autre jouira. Merci de m’avoir fait jouir, tonton. Encore une autre blonde ? Tu en es déjà à la quinzième. Pour noyer ton chagrin, dis-tu ? Le chagrin d’être mal dans sa peau à ton âge. Bois, tu oublieras. Tu oublieras même ton âge. Tonton.
M. A.
Commentaires (13) | Réagir ?
Bravo monsieur Mohamed, j'adore, c'est bien fait pour eux un jour inchallah on pourra juger ces salopards ces assassins ces bliss qui ont poussé des millions d'Algeriens à l'exil, merci pour votre courage soyez beni de la part de toutes leurs victimes
Au fait ?
Comme je n’avais rien à faire, en attendant le modéro, qui se fait désirer, j’ai relu votre article, pour me sustenter.
Pourquoi « les roches tarpéiennes » ? Je sais que cette expression est parfois popularisée par l’expression : « il n’y a pas loin du Capitole aux roches tarpéiennes» mais vous, Monsieur Abassa, qui conseillez les rois et une ribambelle d’écrivains, cela ne devait pas vous échapper, non ? Il n’y a qu’une roche la « Roche Tarpéienne », non ? Ou, est-ce parce que la colère vous a désinhibé et vous a rappelé le populeux qui est en vous.
Qu’importe, un jour on vous aidera à zigouiller tous les affreux en les trainant du Capitole en les faisant passer sous les Fourches Caudines, jusqu’au sommet de la Roche Tarpéienne.
Ou ipitite c’est votre fourche qui a langué : ça m’arrive aussi, mais quand je bois, mais seulement après la 16ème bière.