LA MUFLERIE DES BOUTEFLIKA & Co
Et voilà que des sots, sous-servants du clan régnant, en viennent à l’insulte et l’invective en reprochant aux Algériens de cœur et d’esprit, opposés au 4e mandat, d’être une minorité insignifiante. Des zéros, parce qu’ils parlent, juste, vrai et fort. Parce qu’ils sont propres et sains.
Par M. Abassa
Pendant que le commis en chef, le chargé occasionnel des écuries d’Augias et des saletés Bouteflikiennes, l’innommable et peu fréquentable $ellal, pour ne pas le nommer, traite, lui, et ouvertement, les Algériens qui ne sont pas d’accord avec lui, de non-Algériens ; tous des traitres à ses yeux, vocifère-t-il souvent dans "sa !" télévision. Et ce n’est pas la première fois que le loustic, amuseur abruti et sans fard, qui se croit moins sot qu’il ne l‘est en vrai, se répande en pareilles niaiseries pour répondre aux indigènes qui n’ont pas ses faveurs. L’imbécile ! Il menace même d’éradiquer les Algériens qui s’opposent à la bande des quatre en les exterminant au fly-tox; comme des mouches ironise-t-il. Sarkozy n’a pas dit et n’a pas fait pire. Voilà le genre de propos excrémentaires qui sortent du trou buccal de celui qui dirige actuellement la campagne du candidat malade, invalide et couché. Un vrai chef de bande pressé, méchant et malotrus. Mais le bougre ne s’arrête pas là ; il n’en rate aucune autre ; pas même l’occasion de se taire ; de se la fermer. Le vent et les mouches s’ennuieraient à ne pas visiter et agiter ses nombreux orifices putrides qui lui servent de bouches. D’égout, quand il juge les Chaouis :"Echaoui hachak". Et, toute dernière trouvaille, les Chaouias, ces hommes et ces femmes de racines et de sang, sont à ses yeux de vulgaires sous-Algériens. Pire, des infras-humains, selon sa débile incartade tancée en directe, Echaoui Hachak, s’est-il lâché à braire dans une télé privée de voyous, tout acquise à l’accompagnement de sa nouvelle mission de vulgaire VRP au service du corrupteur en chef ; sidou $aïd.
En d’autres temps et en d’autres lieux, pareil outrage et pareille atteinte, froide et délibérée, cette lâche agression à l’endroit d’Algériens qui ont toujours porté haut l’étendard de l’honneur et de la bravoure, aurait mérité d’être immédiatement sanctionné; puni par la loi. Dans un pays normal, là où la morale et la dignité humaines ont encore un sens, ce cornichon d’ex premier ministre, dévoyé et actuel directeur-serpillère de campagne des Boutef, aurait dû être jugé en citation directe comme un vulgaire petit facho, raciste et sociopathe atteint, comme ses employeurs, de la névrose du pouvoir. Lui et ses pairs insultent impunément et humilient tous ceux qui ne sont pas avec eux, tous ceux qui sont plus grands qu’eux ; tout ce qui s’oppose et s’élève plus haut qu’eux. Ils s’appliquent les seules lois qu’ils connaissent ; celles de la pègre desquelles ils sortent et prennent exemple. Tirer à vue et abattre tout ce qui bouge, jeter l’opprobre de médisants sur tous ceux qui ne pensent pas comme eux, ne réfléchissent pas avec eux et ne roulent pas pour eux. De la vraie inquisition qui porte et pousse à dire maintenant, par la bouche même de celui qui fut le Premier ministre des Bouteflika «Echaoui Hachak !» Et demain que dira-t-il des Kabyles ? Des Oranais ? Des Algérois ? Des Sétifiens ? Des Sahraouas ? Des Mozabites ? Des Touaregs ? Des Annabis ? Des émigrés ? Des ? Des ? Et de tous les autres Des qui ne sont pas comme eux ? Quand on entend ce genre d’ineptie sortant du fakakir, on se résout finalement à croire à tout ; en particulier que la sottise et l’idiotie portées au pouvoir, grisées par les réussites faciles et l’impunité, s’adonnent à la pire et la plus abjecte des vilénies ; insulter son propre peuple en grossier charretier de bas-fonds, raclant sa gorge de fiel de péripatéticienne en service commandé. $aïd veille à l’impunité en poussant à la surenchère du zèle. C’est là que l’individu croit s’offrir l’occasion gratuite et mesquine de tenter d’atteindre la grandeur et la hauteur des Hommes dont ils n’atteindront jamais la cheville. Trop sales et trop petits pour cela. $ellal est de ceux-là.
Car, c’est bien en voulant piquer Ali Benflis, un Homme d’honneur et de dignité, que le $ieur $ellal, a insulté tous les enfants des Aurès, ignorant, tout débile et stupide qu’il est, que c’est toute l’Algérie qu’il a finalement injuriée. Parce qu’en chaque Chaoui qui vit, il y a un grand Algérien qui sommeille et surveille. Et en chaque Algérien dormant, il y a un grand Chaoui qui veille et défend. Le $ieur $ellal ne comprend rien à ces valeurs d’honneur. Trop occupé à servir ses maîtres, Il ne les connait pas, lui qui patauge en permanence dans le glauque et dans les marécages souillées des sous-Borgia régnants ; les Boutefli$a. Il a choisi de devenir la serpillère de ses maitres, des maroquins du pouvoir, fonction de dévot qui lui prend toute son attention et tout son temps. Quoique l’usage du temps n’est pas la première de ses préoccupations. L’amassage de l’argent et des fortunes mal acquises sont pour eux des activités bien plus motivantes et bien plus rentables. Cette fonction de rabatteur occasionnel des Bouteflika ne lui laisse guère le temps de voir plus loin que les bottes et les dollars de $aïd ; c'est-à-dire l’argent mal acquis du pétrole au nom duquel il s’agite et insulte à tout va les hommes d’honneur qui ne roulent pas pour Bouteflika.Ce faisant, commettant à la sauvette son attentat verbal, M. $ellal s’offre par l’hilarité et le ridicule, par l’insulte et la haine surtout, juste pour plaire aux Bouteflika, l’occasion de montrer aux Algériens la nature crapuleuse et malsaine du régime dégénéré qu’il incarne. Dans sa décrépitude, l’homme voyou n’est pas seul. Zamara Benyoune$, un autre comparse, le servant servi des Boutefli$a, se fâche et se lâche en entendant des choses qui contrarient le hold-up du 4ème mandat :"Que soient maudits ces Algériens qui ne nous aiment pas…" Yenaâl Elli ma Yhebbounech ! Lâché de sang froid et en direct à la télévision. C'est-à-dire insulter impunément l’écrasante majorité des Algériens avec une télé, lui compris, qu’eux-mêmes, contribuables, entretiennent et financent. Abdelkader Bensalah, ce super Algérien de la 25ème heure, menace carrément de représailles ces Algériens opposés au 4ème mandat « Ils le regretteront amèrement » menace-t-il publiquement ! Ouyahia et Belle Khadem, longtemps tapis dans l’ombre, attendant leur heure, viennent de baisser le dernier linge qui leur servait de pantalon après avoir été mis au piquet et reçu de belles fessées et la fellaka de leur employeur en chef, $aïd. Dans la honte et le déshonneur – en ont-ils eus une seule fois, un seul jour dans leur vie ? - viennent de rejoindre la curée ; autant dire la meute des escrocs et des voleurs. Eux aussi reprennent voix, couleurs et courage pour dire le plus grand mal qu’ils pensent des opposants au 4ème mandat. Hier avec les pleureuses et les répudiées éplorées, les revoilà aujourd’hui revenues penaudes, gros jean comme devant, oreilles et queues baissées en chiens battus, pour s’offrir une bien meilleure et nouvelles postures de vendeurs à la criée du 4e mandat. Quelle honte messieurs, vous qui avez sûrement épouses, enfants et maîtresses ! Quels regards opposeriez-vous à ceux qui vous interpelleront sur vos lâchetés ! Encore une fois, vous baisserez les yeux en avalant encor et encor couleuvre sur couleuvre et tout ce qui y ressemble pourvu que ça rapporte millions et milliards. $aïd est riche et généreux. Avec l’argent du contribuable et du pétrole bien sûr.De toutes manières, on tombe toujours du côté où l’on penche. Sauf qu’en Algérie, la pédagogie du régime régnant nous rappelle que l’on chute toujours du côté où l’on mange. Tous oubliant que les canailles et racailles régnantes sont toutes nourries, entretenues et engraissées avec l’argent du contribuable. Peu m’en chaut, s’esclaffe $aïd, que l’Algérie se ruine, s’enfonce ou s’embrase, pourvu que leur règne dure, que le pétrole coule à flot et que leurs milliards soient bien à l’abri. Ici et là-bas. Le drebki en chef de la bande n’a pas été oublié. Il vient de s’autoproclamer penseur (panseur ?) con-cepteur et idiot-logue et sot-veur du 4ème mandat ! Très normal, puisque ce charlatan a réussi de bien meilleures performances ailleurs. En deux années de fréquentations des Bouteflika, le $ieur $aadani, gros souteneur historique du clan, est passé du statut de berrah de bordels, danseur de souk, de va-nu-pieds et petit chekkam de hammam et du DRS au statut très envié de Président de l’APN, de multi milliardaire et, enfin, secrétaire général du FLN. Avouons que la mue, cette fulgurante ascension, n’a été observée nulle part ailleurs dans le monde ; pas même l’exception soulignée du capitaine Bokassa devenu empereur. C’est le domaine des Moaadjizates algériennes qui a bien vu pire ; des analphabètes trilingues, un amant de bouc, devenir inspecteur général des armées et un autre analphabète, ne sachant même pas lire une carte militaire, devenir, lui, chef d’Etat Major Général ! De la folie algérienne. Et donc M. Saadani est bien inspiré dans cette association de malfaisants, d’escrocs, de voleurs et d’imposteurs agglutinés autour et dans le pouvoir, de vouloir la plus grosse part du gâteau : Devenir Vice Président ou, plutôt, président du vice. Il en a la trempe et les moyens, le bougre ! Après tout, quelles seraient ses prérogatives et ses hautes charges ? Assister un demi cadavre, couché, indolent et impotent, à remonter ses bretelles et à soulever jusqu’à sa bouche une tasse de n’importe quoi. A cela et à plus si affinités, le drebki est bien entraîné. Le reste, tout le reste, c'est-à-dire la gestion des milliards du pétrole et du gaz, $aid veille au grain ; il sait si bien le faire !Mais un gros gibier manque à la bande. C’est un autre gros zammar, le gros Ghoul pour bien le nommer. L’islamo-libertaire mal repenti qui a fourgué à l’Algérie une autoroute tordue, cabossée et boudinée à trois fois et demi son prix (quinze milliards de $ au lieu de quatre) Ce brave et joyeux luron qui agrémente et égaye les nouvelles et folles nuits d’Alger, entre Charybde et Scylla, a fait évaporer onze milliards de $ à l’Algérie ! Evaporés entre les banques algériennes et chinoises ? Non, sûrement pas.
Demandez à $aïd où est passé tout cet argent comme celui des surfacturations de General Electric, Alsthom, SAIPEM, SNC-Lavalin, BMC, Haliburton et bien d’autres. En d’autres temps, en d’autres lieux et avec des mœurs régnantes moins dissolues, M. Amar Ghoul comme ses congénères voleurs de la même trempe, comme leurs parrains protecteurs, devraient tous se trouver en ce moment en prison au lieu de braire, beugler, grouiner et coasser à longueur de jours et d’année pour imposer le 4ème mandat. Comme on les comprend ; c’est leur seul moyen de s’éviter la prison à vie ; sûrement le peloton d’exécution pour d’autres. Parce que l’impunité et le passage en force du 4ème mandat est leur seule chance de sursis, de survie. Parce que tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, ils auront à répondre de leurs forfaitures ; ils payeront un à un. Ils le savent tous. D’où leurs hystéries et agitations actuelles. D’où les insultes débiles et insupportables de $ellal ; la serpillère préférée des Boutefli$a. Ce 4ème mandat gagné, parce qu’il leur faut le gagner à tout prix, leur offre sur un plateau, en plus des faramineux privilèges maintenus, étendus et amplifiés, l’extraordinaire avantage d’éviter des questions judiciaires bien embarrassantes, du genre : Question : avec quel argent vous offrez-vous des Pétrus toute la nuit au 5 du GeorgesV à 6000€/bouteille ? Une suite présidentielle à 25000€/nuit, tarifs des prostituées non compris? Un appartement à Paris à huit millions d’€ ? Etc… C’est, diront-ils peut-être, l’argent de Chakib, de Farid et de Reda, entre autres ? Lequel argent, d’où vient-il ? Toujours de la même source, du même robinet ; le pétrole et $aïd, l’ordonnateur de tout. On comprend dès lors leurs paniques et leur affolement à l’idée même de perdre le 4ème mandat. C’est pourquoi ils violent tout, forcent tout, ne respectent rien pour gagner à tout prix cette élection. Par le mensonge, par le détournement des moyens publics, par le viol des consciences, les menaces, l’insulte et le chantage, par la corruption et la subornation, la dilapidation des deniers et moyens publics. M. $ellal a dépensé à lui seul 120 000 milliards de centimes, jetés aux mafias et pègres locales en guise de programmes de développement local. En fait et en vrai, il n’a fait que financer et rétribuer les gangs locaux des urnes bourrées. Comme d’hab. Autrement dit, à quoi ont donc servi les dizaines de programmes spéciaux dans ses campagnes présidentielles antérieures sinon à payer grassement les mafias locales qui l’ont fait gagner par l’urne truquée et le bulletin de soutien acheté. A quoi ont servi tous ces programmes spéciaux sinon à jeter les populations locales encore et davantage dans le dénuement, la misère et la pauvreté. Quelle seule région ou wilaya d’Algérie a échappé à la faim, au chômage, aux épidémies, à la mal-vie, à la prostitution, aux harragas, aux immolations par le feu, aux révoltes populaires, aux mairies brûlées, aux routes barrées, aux pénuries d’eau et coupures d’électricité ? Quelle seule région ou wilaya d’Algérie a échappé à la gabegie et aux errements criminels de la clique des Bouteflika ? N’ont réussi avec la clique que les laudateurs, les soutiens-tout, les chekkamines, les flagorneurs, les puissants du DRS, les cocus consentants, les prostituées mondaines et surtout les déserteurs de l’opposition dite laïque. Alors que toutes les vestes des traitres ne sont réversibles que deux fois, il s’en est trouvé un cornichon pour se livrer aux Bouteflika avec une veste triplement réversible et bien plus si affinités. Du jamais vu ailleurs. Ce cornichon, très porté sur la prébende, le trabendo d’Etat et la haute corruption a déjà retourné sa veste trois fois, voire quatre : en trahissant le FFS, les Berbéristes et le RCD. Il trahira quatre fois avant que le coq n’aura chanté. Et ce n’est pas Zammmara Benyoune$. Trop nul, trop pressé et trop goinfre. Sa pleine dévotion aux Bouteflika lui suffit amplement pour l’emplir de la joie divine de les servir en rampant sur le ventre ; unique moyen de s’affirmer et de gagner même, en affirmant, en gros nigaud qu’il n’est pas, c’est pire que cela, que le cerveau de Bouteflika, de Si Abdelaziz l’impotent, est supérieur à ceux des quarante millions d’indigènes qu’il dirige. Il faut du cran et bien du courage de cancre pour affirmer cette turpitude. Mais que voulez-vous, quand une folle zammara se met à hurler sous la pression du ventre, rien ni personne ne peuvent l’arrêter. Sauf $aïd, le riche et généreux $aïd. Le pétrole coulant toujours à flot. Mais au-delà du commentaire sur le bilan des quinze ans de Bouteflika, qui peut citer un seul grand projet industriel que Bouteflika a réalisé ? Aucun, rien, nada ! Avec 800 Mds de $ de recettes en trois mandatures de 15 ans de pouvoir sans partage.A titre de comparaison, la Corée du Sud, avec moins de 10 milliards de recettes est devenue en moins de dix ans une puissance économique, industrielle et technologique mondiale. Idem pour Singapour et la Malaisie. Idem pour le Vietnam et le Brésil.Avec 800 mds de$ et 15 longues années de pouvoir absolu, qu’ont fait les Bouteflika ? Rien. Mais c’est pire. Ils ont fait de la m. Des hôpitaux dans lesquels ils se soignent, lui, sa famille et ses amis ? Non. Ils se soignent, eux, à l’étranger. Une grande université dans laquelle étudient leurs enfants, petits enfants et ceux de leurs amis ? Non. Ils étudient ailleurs, à l’étranger. Des grands centres de vacances populaires ? Non ! Les seuls complexes touristiques de la capitale sont interdits aux Algériens et aux chiens. Sauf à la nomenklatura régnante qui s’y vautre au frais du contribuable algérien. On pourrait égrener des dizaines d’autres anomalies et incongruités que ni le monarque alaouite M6 ni le dictarion Benali n’ont osé faire subir à leurs peuples malgré l’indigence de leurs moyens financiers. Ces seuls exemples suffisent à démontrer l’inconsistance et l’incompétence criminelle de l’homme et de sa bande. Un vrai roi fainéant plus porté et enclin à jouer au zazou gominé qui n’a pas grandi, plutôt qu’à un vrai chef d’Etat, mature et responsable. Soucieux du devenir et du bien être du peuple. Son dernier souci.Il a été plutôt miné et rongé par le remord d’avoir failli et trahi ses propres engagements après avoir juré sur le Coran de servir son peuple et de respecter la constitution. Il a plutôt servi des intérêts étrangers, américains, français et israéliens en tête, violé la constitution à la première occasion qui lui était offerte et laissé les mafias locales et nationales édicter et imposer leurs lois et leurs diktats sur la conduite des grandes et petites affaires de l’Etat algérien.
Les exemples démonstratifs de ces totales dérives et forfaitures nationales sont légion. Les évoquer et les décrire toutes dans leurs cruautés, alimenterait dix livres blancs ; chacun conduisant au bannissement et à la potence. Mais, sûrement gagné sur le tard par le remord et la repentance par tant et tant de hautes trahisons, d’abandons et de démissions, l’homme, le dieu Bouteflika, tel qu’il voulait qu’il fut perçu, malade, très mal dans sa peau, décide alors de négocier avec Dieu. Parce que dans l’étroitesse de son mysticisme et des ses étroites convictions, Dieu est négociable, corruptible comme tout le reste. C’est pourquoi, pour se racheter quelque divine mansuétude et la magnanimité de Dieu, il décide alors de lui offrir la plus grande mosquée d’Afrique. Non pas le plus grand hôpital d’Afrique, pas la plus grande université, pas la plus grande bibliothèque, ni le plus grand musée, ou le plus grand stade ou la plus grande cité des arts et des sciences. Non, rien de tout cela. Mais la plus grande mosquée avec l’argent du pétrole et le génie chinois. C’est ainsi que le $ieur Bouteflika compte échapper aux châtiments de Dieu. Mais non M. Bouteflika, Dieu n’est ni achetable ni corruptible. Il ne peut être géré et acheté comme tes ministres et tes divers soutiens avec l’argent du pétrole. Sachez aussi, cher dictarion de Tchkoubi, si vous voulez surpasser et écraser la grande mosquée de Casa, pour singer votre mentor Hassan II, que cet ouvrage a été réalisé avec la sueur, la foi, le talent et le génie du peuple marocain. Pas avec le génie chinois et l’argent du pétrole. On ne monte pas au ciel et on n’entre pas au paradis en pillant et dilapidant les richesses du sous-sol. M. Bouteflika m’offre ici l’excellente occasion de lui rappeler qu’on n’entre pas au paradis en volant, en mentant, en trichant, en affamant un peuple riche, en violant la constitution, en s’imposant Président à vie par la fraude alors qu’il est incapable de gérer ses mains, sa bouche, ses bretelles et ses pieds! Pas même le son de sa voix. Est-il seulement capable d’adresser un discours ou un message de trois mots, oui seulement trois mots audibles et intelligibles à ce peuple qu’il prétend diriger par télécommande ou avec ses paupières ? Qui donc, quel dictateur, roi, empereur, seigneur a fait cela avant lui dans le monde ? Personne. Nous sommes devenus, par l’égo, le surmoi et l’égoïsme démesuré de la famille Bouteflika et du clan régnant agglutiné, la risée du monde entier. Nous sommes devenus sujets et objets de moqueries et dérisions des grands médias du monde entier. Après avoir été un pays et un peuple respectés. C’est l’exact destin d’un pays offert aux caprices d’un zazou aventurier, arrivé aux affaires d’Etat par les mystères des hammams et des complots de derrière les rideaux. Selon Bouteflika, Abane est mort au champ d’honneur, les armes à la main. Selon le même Bouteflika, lui aussi, le commandant Si Abdelkader, a combattu la France coloniale les armes à la main. Quels grossier mensonges, gros fonds de commerce qui justifie bien des carrières y compris celle de devenir plus tard Président de la République ; destin tronqué que les Algériens ne connaissent pas suffisamment. Parce que, faut-il le rappeler, M. Bouteflika, tout comme son parrain géniteur, M. Boumediene, n’ont jamais tiré un seul coup de feu en terre algérienne, pas même un petit baroud d’honneur. Une grand-mère l’a fait à leur place, tout près de Nouvion. Sauf, avec Messaadia, au Mali, la grande guerre aux belles gazelles Darcos à méchoui. Les seuls hauts faits d’armes connus à ce jour du grand commandant Si AEK, à l’uniforme flambant neuf. Lisez le livre du commandant de l’ALN, Ahmed Bensaadoun, un vrai de vrai. Il vous dira tout ou presque sur les combattants de l’ALN. Il leur a tous fait traverser la frontière vers le Maroc. Bien moins au retour vers l’Algérie. Lisez, ça vaut le détour. Men lahitou Bakharlou ! Encense-le avec sa propre barbe ! Au nombre des soutiens et des allégeances inconditionnelles aux Bouteflika, on a rarement évoqué ici le rôle d’une association qui est habituellement très discrète et bien réservée sur la chose politique (On ne parle pas la bouche pleine) Il s’agit du FCE (forum des chefs d’entreprises) qui semble bien bavard ces derniers temps pour arracher au forceps un soutien total au 4ème mandat. Ils mettent même la main à la poche pour collecter 100 milliards pour soutenir la campagne du candidat-président. Que représentent ces petits milliards de dons du FCE très «spontanés et désintéressés» comparés aux montagnes de milliards d’argent public détournés au seul profit du candidat-président ? Combien coûte une seule journée de soutien des administrations publiques, du gouvernement et des institutions publiques, des médias lourds publics ? Mille, dix mille milliards? Alors que représentent les cent milliards des chefs d’entreprises acquis au 4ème mandat ? Une goutte d’eau comparée à l’immensité des ressources et moyens publics détournés ! Et que représentent ces petits milliards « offerts » selon le principe capitaliste bien connu du « Je pose Un et je retiens dix » par rapport aux milliers de milliards gagnés dans le juteux commerce de la fréquentation des Bouteflika ? Il faut rappeler ici, qu’en quinze ans de fréquentations des Bouteflika, de bien modestes artisans, souvent inconnus ou inexistants, ils deviendront tous de très gros et importants hommes d’affaires brassant des fortunes colossales exprimées en millions voire en milliards de dollars. Grâce aux générosités et largesses bien connues de $aïd : exonérations d’impôts, crédits à taux zéro, des marchés publics faramineux garantis, des concessions agricoles en milliers d’hectares offertes, etc…etc…Et ce ne seront pas les Haddad, Ezzraïmi, Kouninef, Benamor, Baïri, Hamiani et bien d’autres qui m’en démentiront ici. Dans cet esprit des solidarités ventrales, il était attendu que ces soutiens alimentaires ristournent au clan quelques broutilles de milliards, des télés et journaux baltaguias et de bien d’autres soutiens inavouables. Ils ne font qu’entretenir la vache qu’ils tètent depuis quinze ans. Les youyouteuses du clan.C’est bien connu, dans nos mariages comme dans nos décès ce sont les mêmes dames qui prêtent leurs mains pour rouler le couscous, leur voix pour allonger les pieds et les mérites du défunt et la pleine gorge déployée pour éclater leurs douleurs ou les joies en youyous à l’honneur des bienheureux mariés.Certains journalistes, de plus en plus nombreux, semblent se convertir avec zèle à cette nouvelle profession. Bien entendu, sous l’attraction et le tropisme calculé de grosses récompenses et diverses autres faveurs.Dernière mission confiée à un tout nouveau baltagui ; avec certains organes privés achetés par le clan, Ils reprochent aux animateurs de «BARAKAT» d’être seulement une goutte d’eau comparée aux ras de marée des soutiens stupides et unanimes, couchés aux pieds du demi-cadavre et double dieu Bouteflika. Reprochant à ces Femmes et ces Hommes d’honneur et de convictions de mener un combat perdu d’avance ; à la Don Quichotte. D’être des petits Uns et des petits Deux ; perdants d’avance comparés aux flots des va-nu-pieds, des voleurs, des pègres et mafias par le ventre associées, des «entrepreneurs» véreux engraissés en milliers de milliards par trois mandats présidentiels successifs, ces canailles et racailles rôtantes et votantes viennent de faire dire et écrire ces nouveaux harkis de la plume. Ils s’expriment par millions gagnants pour soutenir le dieu Bouteflika.La petite Marie Curie, frêle et menue, qui était seule et Une, dans son petit labo, savait-elle qu’elle allait, par l’atome, qui est aussi Un solitaire, bouleverser la vie et le devenir de millions, voire des milliards de personnes, de l’humanité entière. Quand Mendeleïev énonçait seul, le tableau périodique des éléments il était aussi seul qu’Einstein énonçant la relativité ou, bien avant tout le monde, Galilée, en solitaire énonçant les grandes lois cosmiques. Quand Elhazen (Ibn Al-haithem) énonçait aussi ses lois fondamentales sur la physique, l’optique et les mathématiques, il était bien seul pour révolutionner et jeter les bases des grandes lois scientifiques contemporaines.Comme toujours ou comme jamais, c’est un cycle immuable de la nature, les grands édifices renvoient toujours leur part d’ombre, les grands hommes leurs jardins secrets de faiblesse et les grandes causes leurs trahisons cachées.
L’Algérie ne faillira pas à la règle. Elle a eu dans le même arc historique avec ses petites minorités de novembristes combattants, ses majorités endormies et ses harkis motivés par le fric et le ventre. La France, la grande France, a eu ses minorités résistantes et ses majorités de collabos et l’URSS ses héros et ses traitres monarchistes blancs.L’Algérie actuelle, en quête de droits, de libertés et de démocratie, dans un combat féérique et outrageusement inégal restitue les mêmes binarités, les mêmes clivages, les mêmes camps. Comme aux aurores de Novembre, nous aurons comme toujours d’un côté les minoritaires qui éclaireront les chemins escarpés de Novembre et les majorités endormies attendant leur éveil. C’est l’actuel destin des jeunes révoltés de BARAKAT. Ils sont Un ? Deux ? Trois ? Qu’importe, ils sont dans le même chemin des lumières qui ont éclauré le chemin des Novembristes 54, qui ont dit à l’humiliation. Non à l’arbitraire et à l’imposture. Non aux mafias régnantes. Non au 4e mandat et aux escrocs qui le portent. Une pensée pour le colonel Lotfi (Benali Dghine) dans l’une de ses prémonitions prédictives.
Ecrivant à Ferhat Abbas, pour le prévenir des gros dangers à venir :"Notre Algérie va échouer entre les mains des colonels, autant dire des analphabètes. J’ai observé chez un grand nombre d’entre eux une tendance aux méthodes fascistes. Ils rêvent tous d’être des Sultans au pouvoir absolu. Derrière leurs querelles, j’aperçois un grave danger pour l’Algérie indépendante. Ils n’ont aucune notion de la démocratie, de la liberté et de l’égalité entre citoyens. Ils conserveront du commandement qu’ils exercent le goût du pouvoir et de l’autoritarisme. Que deviendra l’Algérie entre les mains de pareils individus ? Il faut que tu (Ferhat Abbas) fasses quelque chose pendant qu’il est encore temps…"
N’est-ce pas le sombre destin et le triste sort dans lesquels nous enserre aujourd’hui et, vraisemblablement demain encore, le clan des Bouteflika ? C’est contre la permanence de cette humiliation, que des Algériennes et des Algériens, de plus en plus nombreux, s’opposent ouvertement et courageusement au 4ème mandat. Nous ne voulons pas que l’Algérie de demain soit encore celle des Bouteflika. 15 ans, BARAKATE.
M. A.
Commentaires (6) | Réagir ?
je vous salue monsieur abasa pour cette belle fresque sur la saloperie des rats d'egouts qui salli notre pays. vous avez sutrouver les mots adequatspour racler le fonds de la vase qd'ouils sont issus!!!come d'habitude je "bois " avidemment cher vrai patriote, ces "denudations".. puis je vous ajouter juste un petit avis... en algerie le nom de 3ammar ou 3mara se prononce avec un "3a" au debut.. les lettres latines ne possedant pas ce 3a guttural, on pourrait donc on peut le remplacer par pun "ha". ca s'ecrira ainsi.. h'mmar ou "h'mara" a vous de voir ce que ca va donner!.. et milles mercis pour vos bouffees d'oxygenes ya si abbasa!
Vous savez quoi - Vous continuez a tourner autour du meme pot ! qui va s'approprier la gestion de maintenant, c. a. d. la rente, sur des bases sans relevance aucune, sinon, des eloges du pass'e, etc. Le bouteflika en question fait partie de ce passe'.
Et si vous essayiez de vous projeter vers le future.... vous aurez peu l'attention de la population, qui n'a d'oreille que pour son lendemain.
Le reste,...