Faut-il Bouteflika ou "Bouter-flica" ? (1)

Abdelaziz Bouteflika
Abdelaziz Bouteflika

Fondée sur la redistribution des revenus des hydrocarbures, la "modernisation autoritaire" de l’ "État-Armée-providence" atteint en Algérie l’épilogue de sa pertinence idéologique.

Elle y apparaît d’autant plus en phase terminale, que ses supports populistes cassent les uns après les autres sous le poids des revendications ouvrières, des pétitions de groupes sociaux réclamant des espaces de libres expressions plutôt que les hétéronomes souks culturels. Ce genre d’alternance est consubstantiel d’un changement de régime auquel n’est pas disposée une "Famille révolutionnaire" consciente de perdre définitivement le fil de ses circonvolutions mnémoniques avec la disparition du dernier dinosaure : Abdelaziz Bouteflika. De là chez les béotiens du registre commémoratif une peur panique de voir disparaître ce coopté du courant réconciliateur2, élu en 1999 au trône suprême pour instaurer une concorde civile censée guérir les plaies ouvertes de la "Décennie tombale", colmater les brèches fragilisant le consensus établi entre les différents appareils d’un pouvoir militaro-industriel hic et nunc confronté au dilemme : faut-il Bouteflika ou "bouter-flica" ?

Ses officines s’apprêtent d’un côté à reprogrammer l’opinion à partir du "disque dur", donc d’un ancien à bout de souffle, et de l’autre conditionne du neuf, en l’occurrence un Premier ministre qui assure l’intérim en sillonnant à partir de la capitale, et depuis plusieurs semaines, le territoire d’Est en Ouest et du Nord au Sud. Pion de la hiérarchie axiologique, Abdelmalek Sellal semble bien être l’Homme de paille transposé sur l’une des cases de l’échiquier électoral pour siphonner en ultime instance les illusions aux martyrs réalimentés lors de l’année du Cinquantenaire de l’indépendance.

Cette figure du plan "B" serait en quelque sorte à identifier à celle de l’ex-président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali puisque modelée du côté du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) 3 au cas où l’actuel locataire d’El Mouradia viendrait à, subitement, lâcher prise. "Pourvu qu’il tienne", implorent ceux qui espèrent le voir proroger son règne, adjure une arrière garde FLN adepte de la repentance et dont le chef de meute Amar Saâdani (ou Saïdani) 4 aboie contre l’uniforme Sellal en lequel il perçoit le subalterne d’un "État-major" aujourd’hui en mesure d’inspecter la "Toile" à partir du Groupement de contrôle des réseaux (GCR). İl peut d’autant mieux filtrer le Web et le bloquer que les fournisseurs urbains ne sont plus obligés de transiter par les circuits étrangers5 depuis la récente installation d’un point d'échange internet. Administré par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), le "superviseur" a par conséquent la possibilité de mettre en veille Twitter ou les sites Facebook et You Tube, cela avec l’aval de l’Agence américaine de la sécurité (NSA) puisque, bilatérales, les manœuvres anti-djihadistes nécessitent que l’Algérie protège et renvoie l’image d’un pays sûr et fréquentable

En visite de travail à Alger 6, Pier Antonio Panzeri, le président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb au Parlement européen, expliquait lui-même que «L’Algérie constitue un "point d’équilibre" dans toute la région, notamment en ce qui concerne la lutte antiterroriste (…).»7. À en croire le journal L’Expression du 09 janvier 2014, Alger serait dorénavant la ville la plus consultée par les plénipotentiaires de l'Arabie Saoudite, de l’Égypte, de la Tunisie, des Émirats arabes unis, du Qatar, du Yémen et de la Libye. Si tous transitent par l’ex-Mecque des pieds-rouges, c’est, stipule le pôle propagandiste, pour demander conseil à la "grande soeur Algérie" et parce que « Presque trois ans après l'explosion du printemps arabe et ses attentes démocratiques décevantes, l'Algérie est restée le seul pays stable sur le plan politique et sécuritaire (…), une référence en matière de projection géopolitique et le leader diplomatique incontesté du Monde arabe.». Ramtane Lamamra, le ministre des Affaires étrangères, faisait sur Canal Algérie8 le VRP de service pour vendre donc le bon profil et les beaux atouts d’une zone méridionale quadrillée par les sentinelles d’un système prescripteur accaparé à confisquer les leviers de la contestation, à mener une campagne d’intimidation en direction de blogueurs refusant le fait accompli et à perpétuer l’idée d’un État algérien menacé dans son existence même. Pianotant sur les partitions de la sociologie des conflits, il ravive de la sorte le principe de résistance vis-à-vis du "complot des ennemis de l’extérieur", remobilise des centaines, voire des milliers, d’indicateurs de la police politique, parmi lesquels des chômeurs "hittistes", ces gardiens des murs de la "Maison Algérie", devenus pour nombre d’entre eux les "choofs"9 d’un "État-Armée-surveillance" infiltrant les partis, associations, syndicats et journaux. Pure émanation des logiques prétoriennes, la nature inquisitrice et schizophrène du régime de la minceur, c’est-à-dire des perpétuels pronunciamientos, conditionne la gestion sélective des ressources humaines, d’un effectif comprenant une clientèle serviable et conciliante car privilégiée, financièrement arrosée mais non moins donc assujettie au «(…) goût de l’autorité absolue, (…)»10, aux ambitions d’un césar «(…) providentiel, qui prolonge la dérive monarchique avec sa tentation dynastique.», à un zaïmisme primaire, réducteur et garant du débat interne. Le verrouillage des esprits et la marginalisation des compétences par l’astreinte et l’exclusion illustrent parfaitement la patrimonialisation rampante de "pour-voyeurs" composant, décomposant et recomposant des alliances hégémoniques bâties sur des compromis stérilisants et des circuits d’influence propices à la magouille, passe-droits et népotisme, aux rétro-commissions de prédateurs maffieux à l’abri de toutes sanctions, surtout depuis que la Cour des comptes est entravée dans ses enquêtes 11. İntitulé "Politiquement à la dérive, l’Algérie s’accroche à ses vieux démons", l’article du quotidien The New York Times12 consacré à l’Algérie renvoyait le visage d’un pays «(…) bloqué dans un état de limbes.», l’assimilait à une gérontocratie résistant au changement, décrivait la paralysie du gouvernement comme «(…) l’un des symptômes les plus apparents du malaise de la nation et de la méfiance de la direction politique.» et un mode de fonctionnement « (…) tellement opaque que les diplomates et les journalistes disent qu’il s’agit d’une version algérienne du Kremlin». Face à la méfiance suscitée auprès des observateurs étrangers, Sellal rétorquera le 07 décembre 2013 à Paris que «L’opacité a été le seul moyen de nous protéger lors d’une période trouble, désormais révolue. İl y a une "dictature de la bureaucratie" en Algérie mais le pays n’est pas le sanctuaire "des flics et des généraux".». Son plaidoyer en faveur de « L’oeuvre d’un seul homme : (…) Bouteflika. », n’aura pas convaincu le journaliste du New York Times, persuadé de la spécificité d’une autocratie structurée autour « (…) d’une armada de fonctionnaires du renseignement et une poignée de personnes aux intérêts conflictuels.», que la nation Algérie «(…) se dirige vers une implosion.». L’analyste reprenait par là même l’argumentaire de Lahouari Addi qui deux années plus tôt prévoyait que le «(…) régime va s’écrouler dans la violence »13. Le sociologue omettait toutefois de prendre en compte sa faculté de coercition, « Qu’avec ou sans Bouteflika il ne pliera pas », les successives controverses entre décideurs n’empêchant par les membres de la DRS de regrouper l’ensemble des services secrets civils et militaires pour, quand il le faut, fabriquer à nouveau de la réconciliation nationale autour de l’action stabilisatrice d’un quidam. On comprend mieux dès lors le profit qu’ont les puissances endogènes et exogènes à homologuer son "supposé nécessaire" quatrième mandat, les relances au sacro-saint unanimisme de façade largement ravalé sur la question du juste équilibre à trouver et à préserver entre les uns et les autres. Le chef du gouvernement algérien louera de ce fait les efforts entrepris depuis quinze années par «Le père de la relance économique que personne n’a le droit de mettre en doute (car) la renaissance de l’Algérie est possible tant que le pays connaît stabilité, concorde et réconciliation nationale.»14. En déplacement le 12 décembre à Tlemcen, la ville de «(…) notre commandant»15, Sellal répétera que «(…) l’instauration de la paix en Algérie (…) est un miracle qu’Abdelaziz Bouteflika a réalisé.». Lors de sa visite suivante à Djelfa, son leitmotiv sera encore la «(…) stabilité (…), mère du développement et chèrement acquise grâce au sacrifice des enfants de ce pays.»16.

Les localités de Baraki, Bachdjarah, Réghaïa, Staouéli, Bordj Menaïel, Souk El Tenine, Béjaïa, Jijel et Ghardaïa connaissaient pourtant en décembre 2013 une série d'émeutes17, et cette suite de protestations18 se déroulant en même temps que les confrontations communautaires opposant dans la Vallée du M'zab les Mozabites aux Chaâmbis, ou les ibadites berbérophones aux malikites arabophones, le gouvernement algérien avançait encore une fois la thèse de la "main de l’étranger". La "chronologie instigatrice" entraînait tout autant la réaction d’un Premier ministre avertissant à Guelma qu’il « (…) ne laissera jamais personne toucher à la stabilité du pays, ses valeurs et l'union sacrée de son peuple.»19. Trouvant donc curieux la répétition des troubles à l’ordre public, il avertissait, « Qui nous cherche, nous trouve. », faisait de la sorte subrepticement allusion à la ferme réponse donnée à l’attaque du complexe gazier de Tiguentourine, près d’In Amenas, au mois de janvier 201320. 

Les frappes héliportées de la DRS démontreront le caractère inflexible d’une ossature caporalisée ne reculant devant aucun sacrifice lorsque ses capitaux sont menacés puisqu’un bain de sang découlera de l’assaut final, cela encore à l’instar du maître mot "stabilité" que la doublure Sellal à mission de marteler. İl parcourait à ce titre le pays en réquisitionnant tous les réseaux médiatiques à sa disposition, soit, 54 radios, 03 chaînes hertziennes et satellitaires, les organes Echaab, El-Massa, El-Djoumhouria, Ennasr, El-Moudjahid et Horizons, l’Agence presse service (APS), celle nationale d’édition et de publicité (ANEP), une véritable pompe à fric21, tant elle sert à sponsoriser les pseudos périodiques ou hebdomadaires privés derrières lesquels se trouvent des officiers supérieurs et autres prête-noms. Elle serait gérée par les donneurs d’ordres du DRS habilités à interdire «(…) d’antenne les expressions (littéraires, culturelles, artistiques et scientifiques, politiques et philosophiques) qui critiquent ou contestent la légitimité ou les manquements répétitifs du pouvoir en place.»22. L’important est bien de museler l’entendement et les introspections intermédiaires d’affranchis, que perdure l’omerta sur les affaires "Khelil Béjaoui", l’entreprise pétrolière Sonatrach et l’autoroute Est-Ouest, sur les gabegies d’entremetteurs véreux à la solde de la pègre, sur les scandales impliquant de hauts gradés aux enfant trempés dans la consommation de stupéfiants, alors que par ailleurs des gosses, livrés aux vagabondages ou à la prostitution, errent dans les rues ou se réfugient dans des bordels clandestins, cloîtres aussi lugubres que le "Cabinet noir" «(…) qui tient en otage l'Algérie.»23, intronise les présidents, les titularise en truquant les scrutins. Ces cercles et leurs simulacres sont si occultes et interlopes qu’à un trimestre de l'élection présidentielle, qu’un rapport de l’Assemblée nationale française parlait de "flou total". Manquant de visibilité sur l’avenir de la politique intérieure de l’Algérie, quelques attachés diplomatiques s'interrogeaient sur la succession de Bouteflika. L’Hexagone, qui cautionne l’option du quatrième mandat, en raison du partenariat d’exception signé en décembre 201224, poursuivait son réseautage via les réceptions consulaires. André Parant, l'ambassadeur de France à Alger aurait même sollicité un entretien avec le Secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, fervent soutien de l’ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediène, un choix coulant à ses yeux de source en vertu «(…) du bilan positif et dans tous les domaines.»25. Son homologue du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, entérinera ce constat à la mi-décembre 201326 pour mieux certifier que «(…) le printemps arabe n'a ni espoir ni avenir dans notre pays.»27, une assertion retenue du côté d’un chef de l’État algérien qui plutôt que de concrétiser les réformes promises en avril 201128 restera sur la réserve, canalisera les éventuels débordements inspirés des insurrections d’un "Printemps arabe" supposant la fin d’un cycle. C’était au contraire un autre tour de manège qu’approuvait le président de l’Assemblée populaire de wilaya, lequel défendait à son tour la réplique mécanique d’un quatrième mandat, selon lui indispensable pour que sa "seigneurie Boutef" puisse «(…) parachever son oeuvre»29. C’était pareillement le voeu pieu d’Abdelmadjid Sidi-Saïd, le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) qui adhérait à la reconduction d’un factotum «(…) conférant au pays paix et stabilité sociale.»30.

Appréhendé comme nuisible, le syndicalisme autonome d’objection, de réclamation et de délibération demeure phagocyté et, servile ou obséquieux, le patron de la Centrale faisait acte d’allégeance (moubayaâs), acquiesçait les postulats et injonctions de la communauté des clercs, réitérait la position prise en 2009 (troisième mandat) au moment même où Abdelkader Bensalah, le président du Rassemblement national démocratique, assurait31 la caste des pourfendeurs et philistins de son appui indéfectible au parrain d’Oujda32. Autant pervers et dévoyés que le mode de recrutement des cadres dirigeants, les assentiments des factions compensatoires ou de substitution confirment la parodie référendaire, que « Les conseillers du président forment le vrai gouvernement», que les différents suffrages passent «(…) comme d’habitude pour une formalité, au pire pour une farce électorale qui ne sert qu’à reproduire le pouvoir en place.», qu’en Algérie c’est «(…) la police politique qui décide (car) ceux qui veulent faire de la politique se mettent en danger, ils seront tués, ou torturés.»33. (A suivre)

Saadi-Leray, sociologue de l’art

Perpignan, 24 janvier 2014.

Lire la suite : Faut-il Bouteflika ou "Bouter-flica" ? (suite et fin)

Renvois

1- Le paronyme "bouter-flica" est construit autour du verbe "bouter" (renvoyer ou récuser) et "flica", vocable à évidemment rapporter au flicage de la société algérienne, donc à un régime policier.

2- Cette tendance s’opposait à celle qui, incarnée par le président "démissionnaire" Zeroual, refusait de dialoguer avec les fondamentalistes du Front islamique du salut (FIS).

3- Créé le 04 septembre 1990 par le général Mohamed Mediène, dit Toufik.

4- Installé à la tête de l’ex-Parti unique depuis le 29 août 2013, cela à l'issue d'une session controversée du Comité central, il confirmera sa dévotion à Alger lors de la session ordinaire du 16 novembre 2013.

5- Le prétexte évoqué le 01 octobre 2013 par Zohra Derdouri, la ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la Communication, était économique (réduction du temps de réponse entre deux internautes et un flux vers le fournisseur étranger d'accès à internet non facturé). L’option viserait d’autre part à éviter la vérification des données algériennes par les États-Unis d’où sont localisées ces plates-formes de courriers électroniques que sont Hotmail, Yahoo, Gmail et Google.

6- Du 28 au 31 octobre 2013.

7- Pier Antonio Panzeri, in La Tribune, 30 oct. 2013.

8- L’émission télévisée s’intitulait "Sur le fil".

9- Les taupes, regardeurs ou yeux des renseignements généraux.

10- Ali Yahia Abdenour, in El Watan, 26 nov. 2013 (l’article sera repris in Le Matin . dz, 26 nov. 2013).

11- Selon Ahmed Taleb-Ibrahimi, ses activités ont été gelées depuis l’accession au pouvoir d’un Bouteflika condamné dans le courant des années 1980 par cette même Cour pour avoir détourné les fonds des ambassades dont il avait eu la tutelle.

12- Du 08 novembre 2013.

13- Lahouari Addi, in Le Matin . dz, 24 avr. 2012

14- Abdelmalek Sellal, in El Watan, 02 déc. 2013.

15- Abdelmalek Sellal, in La Tribune, 08 janv. 2014.

16- Abdelmalek Sellal, in La Tribune, 20 déc. 2013.

17- Enclenchées par une population exigeant des logements sociaux, la liste des bénéficiaires inscrits comme demandeurs, une plus grande clarté dans la distribution et, ailleurs, un raccordement au réseau électrique ou au gaz naturel, la fermeture d'un centre d'enfouissement technique ou des locaux afin de pratiquer une activité commerciale.

18- Les affrontements conduisaient les habitants à bloquer le trafic ferroviaire ou les routes avoisinantes.

19- Abdelmalek Sellal, in L’Expression, 25 déc. 2013.

20- L’assaut avait révélé les défaillances des services de renseignement, mis en évidence l’échec des trois check-points ou lignes de défense, l’inefficacité des gardes-frontières et de la zone d’exclusion puisqu’un commando AQMİ d’une quarantaine d’hommes armés pu parcourir sans encombre plus d’un millier de kilomètres à travers le Sahara, s’infiltrer jusqu’au coeur des installations industrielles et de la base de vie pour y prendre des otages. Les pays directement concernés ordonnant plus de sécurité, suivront des modifications structurelles au sein de l’Armée, notamment la désaffection ou mise à la retraite d’un certain nombre de généraux et le remodelage d’un DRS amputé de la Direction centrale de la sécurité de l'Armée (DCSA), de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et du Centre de communication et de documentation (CCD), trois structures à ce jour rattachées à l’état-major.

21- Ses revenus sont évalués à environ trente milliards de dinars.

22- İn Le Matin .dz, 01 janv. 2014.

23- İbid.

24- Partenariat renforcé depuis la visite du 16 décembre 2013 de Jean-Marc Ayrault.

25- Amar Saâdani, in L’Expression, 17 nov. 2013.

26- À l’occasion d’un meeting organisé à la Maison de la culture Abdelkader Alloula de Tlemcen.

27- Amara Benyounès, in L’Expression, 14 déc. 2013.

28- En écho aux manifestations du mois de janvier 2011.

29- Désidérata repris par le journal Liberté du 30 novembre 2013 qui titrait au sein d’une de ses rubriques: "Bouteflika doit poursuivre son oeuvre".

30- Abdelmadjid Sidi-Saïd, in Liberté, 30 nov. 2013.

31- Lors d’une allocution prononcée le 23 décembre 2013 à l’hôtel El-Aurassi d’Alger.

32- Alias Bouteflika.

33- Lahouari Addi, in Le Matin . dz, 24 avr. 2012.

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Commentaires (5) | Réagir ?

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Hawa Nassim

Je ne leur trouve pas de qualificatif à ces vampires buveurs de sang. Après avoir consommé le sang des martyres, après avoir bu dans l'égout de la corruption sans honte, ni gêne, ils sont capables de tout, rien ne les arrête. Ils sont capables d'effacer de la surface de la terre des millions d'algériens pour garder le pouvoir, car ils savent qu'ils risquent de rendre des comptes si jamais ils le perdaient. ILS, ce sont BOUTEHLIKA et les siens, ces vomissures devenues les maîtres de l'Algérie, ils demeureront des vomissures méprisables qui finiront dans l’égout de l'histoire.

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uchan lakhla

Réponse à votre titre : nous avons tous les cas : Bouteflika, Bouter-flica, Boutesrika, Boutekhlela, boutekathiba, BouteSonatrach, Boutesonalgaz, BouteAutoroute, BouteMosquée, Kouider EL Mali, El Aziz, Fakhamatouhou, ELA MAKHIRIHI.......

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