Abdelaziz Bouteflika rate les cérémonies du 1er Novembre

Bouteflika
Bouteflika

Après les cérémonies du 5 Juillet, des prières de l'Aïd, ce sont celles du déclenchement de la révolution que le président vient de rater.

Le président Abdelaziz Bouteflika a brillé encore une fois par son absence lors des traditionnelles cérémonies de dépôt de gerbes de fleurs en hommage aux martyrs de la révolution.

Vendredi, au sanctuaire du Martyr à Alger, il n’y avait que le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale, Mohamed Larbi Ould Khelifa, et le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Une gerbe de fleurs a été déposée par les trois hautes personnalités de l’Etat devant la stèle commémorative, nous apprend l’APS.

Comme pour faire bonne mesure et contenance, la dépêche de l’agence offielle nous apprend qu’il y avait aussi au recueillement, le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci, le vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah et le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaiz. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, le ministre de la Justice, garde des sceaux, Tayeb Louh, le ministre des Moudjahidine, Mohamed Chérif Abbas, le ministre des Finances, Karim Djoudi, ainsi que le président de l’Organisation nationale des Moudjahidine (ONM), Said Abadou. Autant dire tout le staff, sauf le président de la république. 

Le moment est solennel, important pour la nation et son histoire. Pourtant le président n’assure pas le service. On voit mal, comment un président qui ne peut même pas se déplacer à une cérémonie d’hommage pourrait assurer la direction d’un pays comme l’Algérie. Depuis la rentrée sociale, ses sorties se font rares, calculée. Comme le bref conseil des ministres ou ses réceptions de ses plus proches ministres.

Pourtant cela ne choque manifestement pas les courtisans qui appellent et soutiennent un quatrième mandat. 

Yacine K.

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Commentaires (5) | Réagir ?

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Bachir ARIOUAT

Il n'a jamais rien raté, puisqu'il n'a jamais été sincère dans ce qu'il fait, il est plus animé par la haine et l'argent que par l'histoire ou du peuple qu'il a trahi depuis qu'il a commencé sa vie au sein du F. L. N.

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Sherman Sherman

.... "Vendredi, au sanctuaire du Martyr à Alger, il n’y avait que le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale, Mohamed Larbi Ould Khelifa, et le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. "

On n'arrêtent pas de parler de Bouteflika alors que les citoyens s'en foutent éperdûment de sa race !!!

Non mais qu'est-ce qu'on veut de plus! Pourquoi ne pas se contenter de ces trois énergumènes qui font déjà office d'une bonne synthèse de leur maître à penser Bouteflika !!!! Mais je commence à craindre que c'est l'original qui nous interresse le plus. Il nous manque beaucoup ce Bouteflika, hein ???!!!!

Reviennnnns ya chikour ta3naa, ne meurt paaaaaaaaas, ne laisse pas orpheline

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