Médéa : intrigues à la "Maison blanche" !
Selon toute vraisemblance, Il se passe de drôle de choses à l’APC de Médéa, alliant chausse-trappe et tractations de coulisse, complaisance et silence complice, les intrigues, le copinisme, le clanisme, le nihilisme, le faux et son usage qui se sont érigés en fondements et règles de jeux de la "maison blanche" locale.
A vrai-dire, rien n’étonne plus, le fâcheux épisode de l’été d’un vice-président, à l’odeur éthylique, de son faux ordre de mission et de son véhicule de service, verbalisé du côté de la coquette Annaba, est encore vivace dans les esprits. Passons sur la guéguerre, toujours en cours, pour l’occupation des six postes de responsabilité de commission gracieusement rémunérés. Forcément, ici comme ailleurs, le fric est le nerf de la guerre. Le moteur des esprits habiles à la manoeuvre et l'esbroufe.
L’inconséquence des décisions maladroites prises dans l’inscription de certaines opérations laissent planer un doute sur leurs « légalités »,leurs utilités et leurs timing. Le silence de l’assemblée générale jette un point de suspicion accentué sur ces pratiques, qui ne dit mot, consent dit l’adage. Cette opacité voulue et entretenue emmène les observateurs, les citoyens, leurs administrés à se poser moult interrogations :
1°) Sur quelles bases sont attribuées les opérations de marché public, et sur quel critères leurs affichages se font bizarrement, presque secrètement et lors de jours fériés, sinon d’une volonté de « faire-valoir légal »,et quelle nécessité de service invoquée pour le transfert du bureau des marchés du 2e au 3e étage, close au cabinet du P.A.P.C, où semble-t-il, le marché de Gré à Gré est le plus prisé, couvert d’un voile de légalité judiciaire,. Une zone d’ombre que la lumière de la vérité finira par percer un jour.
2°) Quelle est donc cette utilité publique de faire construire un appartement au-dessus du siège de l’APC de Médéa, doté de tout le confort et à quels desseins ? Une garçonnière ! Surement pour pouvoir s’y prélasser après de rudes journées de travail de proximité avec les citoyen (nes). Et les mauvaise langues de surenchérir : "la promotion canapé" est depuis quelque temps au goût du jour.
3°) Sur quelles bases légales s'est-on appuyé pour rétrocéder les droits de places et de marchés (El goumrag) à la Régie de l’APC de Médéa en lieu et place de leur mise en adjudications (Initiative prise par l’ex-président d’A.P.C, et qui a toujours droit de cité).Sous quelle autorité sont placés les recouvrement des droits ? Et quel organe de contrôle en a la charge ? L’inspection générale des finances (I.G.F) a-t-elle un droit de regard ?
4°) La distribution des magasins, censée mettre un terme à l’informel n’a pas livré tous ses secrets, qui en a bénéficié ? Quel est le nombre de jeunes chômeurs Médéens, à y avoir bénéficié? La communication et l’information du citoyen à l’APC de Médéa sont loin de faire des émules.
C’est dire qu’autant de questions qui demeurent sans réponse, et qui n’échappent surtout pas à la vigilance de nos services de sécurité, qui semble-t-il, sont déjà sur trois affaires susceptibles d’être transmises au bras séculier de la justice d’ici-bas en attendant celle de l’au-delà.
Affaires à suivre !
Brahim Ferhat
Commentaires (5) | Réagir ?
Voter ou ne pas voter c'est kif kif en Algérie. Tant que le pouvoir appartient à la junte et tous les harkis satellitaire qui mangent dans tous les rateliers, jamais il y'aurai de développement et de respect pour le peuple.
Le peuple existera quand le pouvoir sera civil et non militaire. Ce jour là la société civile travaillera pour le peuple en lançant des projets bien étudiés et controlés.
Bled miki, on arrache des arbres au nord pour les remplacer par des palmiers qui ne sont d'aucune utilité (Pas d'ombre - non compatible avec le climat du nord). Et personne ne réagit,
où ete vous Mr le ministre de l'environnement ? La plus part de ces plantations sont déjà mortes.
il parait que de gros bonnet sont en train de se sucrer en important ces palmiers en devise pour
s'enrichir. Imaginer les miliers de kilometres qui attendent l'embellissement avec ces palmiers
et vous allez voir où va la recette du pétrole. Dans nos villages et douars il n'y a meme de route
goudronné et meme pas d'assainissement pour ne parler que du minimum. Laisson de coté le gaz,
l'éléctricité, le téléphone, les centres de soins qui sont encore inaccessible pour le citoyen.
Si vraiment les députés actuels et toute la classe politique sont légitimes, ils ne laisseront jamais passer ces choses là. C'EST DOMMAGE pour notre pays et pour nous. Les américains sont en train de faire des projets d'agriculture sur mars pour nourir l'humanité dans le futur alors que nous on plante un arbre du sud dans le nord et qui ne donnera aucun fruit, si au moins ce palmier sera fruitier j'accepterai l'idée.
Ce qui est trés interressant pour ces gens s'ils sont capable, c'est de planter les palmier fruitiers
dans le sud à grande echelle pour sauver notre économie car la datte algérienne est trés nutritive et peut être vue comme le second pétrole dans l'avenir.
Nous implorons Dieu le tout puissant de punir ces criminels et de les jeter dans l'enfer.
Ce n'est pas qu'à Médéa qu'il y a des intrigues. Il y en a eu à Tiguentourine. Il y en a de partout dans un pays entier d'intrigues qu'est l'Algérie.