Deux accords de partenariat algéro-portugais pour des constructions métalliques
Deux pactes d’actionnaires ont été signés lundi à Alger par des sociétés publiques relevant de la SGP-Constumet (construction métallique) et deux sociétés portugaises pour fabriquer, en Algérie, notamment des équipements de stockage d’hydrocarbures et d’habillage pour bâtiments.
Le premier accord a été signé par les groupes Batimetal et l’Entreprise nationale de charpente et de chaudronnerie (ENCC), d’une part, et le groupe portugais Amal, d’autre part, lors d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’Investissement, Cherif Rahmani. En vertu de cet accord, il est prévu la production et la conception au niveau de l’usine de Hassi Ameur (Oran) des ouvrages destinés à l’aval pétrolier, notamment les réservoirs de stockage d’hydrocarbures, des équipements importés jusque-là, a précisé le ministre.
Quant au deuxième accord, signé par Batimetal et la société portugaise Cober Metal, il porte sur la conception et la fabrication dans l’usine située à Ain Defla de couvertures autoportantes et d’habillages pour tous types de bâtiments industriels (complexes sportifs, socio-éducatifs, administratifs et industriels etc.).
Le montant global des investissements qui seront engagés dans le cadre de ces deux projets s’élève à 1,5 milliard DA, a indiqué Youcef Lahlou, président du directoire de la SGP-Construmet, lors d’un point de presse à l’issue de la cérémonie de signature.
Intervenant lors de cette cérémonie, M. Rahmani a souligné que ces deux projets visent à établir des partenariats bénéfiques pour les deux parties notamment en termes de rentabilité économique et de création d’emploi. Le premier projet, implanté dans la zone industrielle de Hassi Ameur, devrait générer 1.400 postes d’emploi et serait d’un grand apport à l’industrie pétrolière, notamment pour le stockage des hydrocarbures et des carburants, selon M. Rahmani.
Ces équipements, a-t-il expliqué, seront fabriqués selon des normes modernes de dernière technologie. L’unité sera opérationnelle dans deux ou quatre mois après la phase de réception et d’installation des équipements qui va durer six mois, a précisé le président du directoire de la SGP-Construmet.
Quant à l’usine de fabrication de couvertures autoportantes et d’habillage de bâtiments d’Ain Defla, elle aura une capacité de production annuelle de 500.000 m2 de couvertures autoportantes et de 600.000 m2 d’habillage, a-t-on indiqué. Ces nouveaux produits de construction sont d’une grande légèreté et ne nécessitent pas de gros moyens de levage.
L’unité industrielle devrait créer entre 100 et 150 emplois directs et près de 300 postes dans l’activité montage et entrera en production au plus tard dans 4 mois, selon M. Lahlou qui a précisé que "les marchés sont déjà signés". De son côté, le directeur de Cober Metal Carlos Crespo a indiqué à la presse que le management de la future société mixte sera assuré par les Portugais pendant les trois premières années, ajoutant que le montant d’investissement de la partie portugaise est de l’ordre de 3,5 millions d’euros lors de la première année.
M. Lahlou a annoncé, par ailleurs, que la SGP-Construmet procèdera mercredi à la signature d’un accord de partenariat entre le groupe Batimetal et une société italienne pour la construction de 32 silos métalliques dans le cadre d’un programme de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC). Il a estimé que les équipements existants de la filière métallique "sont obsolètes" d’où la nécessité, a-t-il dit, de les renouveler et de les moderniser.
APS
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Bonjour
Addendum à mon post d'aujourd'hui
A propos de ce fameux satélite Malghacho - Tlemcenien devenu en 1979, "Chikour de premier rang" parmis les décideurs et qui avait laché cette phrase qui résume toute la haine du Zouaioui, j'ajouterai les précisions suivantes:
En 71-72, la raffinerie d'Arzew (RA1Z), première usine de ce genre de la période post autodétermination, était en phase de fin d'achèvement par les Japonnais (JGC)
Les équipes Sonatrach de suivi des travaux et surtout de demarrage et exploitation se mettaient peu à peu en place. J'en faisais parti comme jeune ingénieur de demarrage et exploitation.
Le staff administratif du projet, ainsi que tous les postes subalternes étaient occupés à 99 % de gens de formations douteuses mais d'origines de l'axe Tlemcen / Saida / Mascara. Pour les natifs hors de cet axe, ces postes étaient interdits et impossibles.
Par contre, les 99 % du staff technique, y compris le personnel d'execution (Ce qui demandait aussi une solide formation de technicien et des connaissances très particulières) était, comme par hasard, hors de cet axe et de ces régions.
D'ailleurs cela posait à l'administration du projet un énormes problème de logement et d'hebergement. Je me rappelle que même un ancine boxant (Bordel du temsp de la coloniale) du centre d'Arzew, était occupé temporairement à cet effet.
Pratiquement la totalité des ingénieurs et techniciens étaient soit du centre (Algérois et notamment kabyles ou de l'Est. (Constantine / Djidjel, Annaba).
Je me rappelle de la totalité des techniciens labo de contrôle qui était tous, sans exception, de la région de Bognie. C'ètait une promotion toute entière.
D'ailleurs ces techniciens devenaient l'attraction particulière du personnel lorsque tout le monde se retrouvaient à la pose cantine à midi. Leur particularité, il ne parlaient presque pas un mot d'arbe algérien. Ils ne communiquaient qu'en Français et devenaient drôles pour tous le Houaris et houariate, lorsqu'ils discutaient entre en eux en Kabyle.
D'ailleurs, même une décennie plus tard, lorsque les GNL - GPL etc… étaient aussi entrés en production. La sitauation demeurait très peu changée. En 86, j'ai quitté Sonatrach, cette région et même l'Algérie, la situation n'avait pas beaucoup évoluée.
Les postes du "Tchoukir" et de prestige étaient réservés à la secte une Tlemcenienne.. Les autres à eux les postes purement techniques, où on se bagarre jour et nuit, avec les installations et équipements de production.
A cette époque, la Tlemcenisation a atteint des profondeurs considérables.
C'est ce qui continue à se pratiquer de nos jours. !!
Le terrorisme c'est calmé partout dans le pays, sauf chez les Zouaoui. Les fauteurs de trouble, c'est les Zouaoui. Une autoroute sans pénétrantes sur les régions Zouaoui. Les refuzniks du ramadhan, c'est les Zouaoui. Les buveurs d'alcool, c'est les Zouaoui. etc…
Sauf lorsque les Zouaoui rentrent chez eux les jours ferriers, il n'y a pas de pain dans les villes dites non Zouaoui. c'est vraiment drôle.
Il est temps que ces Zouiaoui se fachent sérieusement et qu'ils donnent un grand coup de pieds au c…. dans la fourmillière Malghacho - Tlemcenienne.
Comme en 54. Cela améliorera et changera peut être un peu les choses.
Rabah Benali
Bonjour,
Apparemment les Portugais sont des foudres de guerre dans les techniques de constructions métalliques et de chaudronnerie pétrolières !!! ???. "Ghieech Tessmaa3" !! (Vit tu vas entendre)
Les bouffeurs de morue (EL Badjidj !! en Algérien), sont des champions dans ces domaines, autant que nos Imams en "Tarboche ghandoura Afghani" le sont dans les sciences médicales et la distribution honnête et équitable des coufins ramadhaniens.
Depuis quand les Portugais ont pu maitriser les technologies de la sidérurgie et les process de soudages modernes en milieu pétrolier??
C'est comme si on demandait à Ali Benlhadj ou à un quelconque autre " A3lam" islamo - arabo - musulman" de calculer la trajectoire d'une sonde spatiale qui va aller explorer les fameuses "Onze" planètes annoncées par le coran il y a quatorze siecles. (On ne sait plus si c'est onze ou juste neuf ?? On le demandera à El khardaoui la prochaine fois !!!)
Dans ces partenariats Portugo - Algeriens, qui va apporter à l'autre du savoir faire ??
Les Portugais aux Algériens ou les Algériens aux Portugais ?? Enigme et mystère. !!! ??
Par contre, on peut imaginer que les bouffeurs de morue soient par l'odeur de la bonne affaire alléchés pour les raisons suivantes:
Les ateliers de chaudronnerie de Hassi Ameur (ex ALTRA des années 70), étaient à l'époque déjà (70 et +), des installations performantes dans les réalisations de travaux pétroliers.
A l'époque déjà, des chaudronniers, des soudeurs, des radiologues soudages etc… qualifiés et compétents, ont apporté de précieuses prestations de soutient dans les réalisations de projets tels que le pipe Houd El Hamra / Arzew, le terminal d'Arzew, la première raffinerie post autodétermination (RA1Z) et enfin de toutes les autres réalisations dans le domaine. (Complexe D'amoniac et angrais azotés, GNL, GPL, Lubrifiants etc.. ).
Donc, pour les Portugais; c'est l'aubaine du siecle. Une suculente "Khoubza S'khouna Tahate AA3la Kelb Raghed". !!!
Des installations fixes existantes performantes, un réservoir en personnel qualifié bon marché inépuisable, le tout au cœur même d'un pôle industriel pétrolier vaste et diversifié. Idem pour les installations de Ain Defla qui sont plus récentes.
Cerise sur le gateau; le tout, pour un investissement pipi de chat juste en face de la maison.
1, 5 milliards de dinars =15 millions d'Euro (Même pas la robinetterie d'eau des sales d'ablusions et des toilettes de la mosquée d'Alger. mosquée Ibn A3bdou El A3ziz El Oujdi dit P'ti Mario zieux bleus.)
Délais de réalisation: Trois / quatre (3-4) mois. Soit trois / quatre (3-4) ramadhans qui se suivraient sans interuption et sans prolongations de "Sabrines".
Si le projet de Hassi Ameur peut sembler être utile et justifié. Le second projet annoncé de Ain Defla sent un peu le roussi.
Tout laisse à imaginer que c'est un projet destiné venir compléter les activités d' un certain groupe industriel privé installé à M'sila.
Groupe qui fabrique des panneaux sandwich (Tôle fines prennant en Sandwich de la mousse polyurethane expansée dure formant panneau de bardage et d'isolation thermique et acoustique).
Groupe apparemment appartenant à un certain ministre chargé justement de l'industrie. Misinistre toujours en fonction. Le groupe porte même directement le nom de ce ministre - Cherchez l'erreur !!! ???
Donc à ce niveau, il peut y avoir de fortes chances que: FIHA INNA !!! Comme on dit chez nous.
Une fois le projet réalisé en partenariat avec les bouffeurs de morue, il sera, dans très proche avenir, revendu au dinar symbolique au groupe en question ou à une entitée liée au groupe. (Liaison genre: Eurl au nom du frère de la cousine du mari de ma belle fille). Montage classique des hommes d'affaires et industriels Algériens.
Par contre, ceux qui croient que la dilapidation de ces quelques "fleurons" de l'industrie Algérienne naissante des années 70 est à mettre sur le compte exclusif de la seule association de malfaiteurs appelée UGTA, se trompent profondément.
Soit qu'ils sont trop jeunes pour comprendre l'imposture mise en place en 1958 déjà. Ou bien, ils n'ont pas les yeux en face des trous car issus de l'acoouule fondamentale de Bourourou et c'est "Hadak Ma halbate" comme on dit chez nous.
La tragédie est tout simplement l'œuvre Malghachos - Tlemcenienne.
Caste sectaire mafieuse venue d'Oujda en 62 qui a proliféré comme un cancer dans l'âme et le corps de l'Algérie naissante
Caste qui a accéléré en 1979 la Tlemcenisation profonde de Sonatrach, de tout ce qui gravite outour et de toutes les institutions de souveraineté du pays.
A cette époque, les équipements complets de la fameuse raffinerie de Bejaia qui aurait pu palié aujourd'hui à la pénurie de carburants, ont été jetés à la mer. (Au sens propre et figuré de mot). Carburants importésaujourd'hui à 80 DA HT le litre et revendus à la pompe à 20 ou 22 DA TTC le litre.
A l'époque dèjà, un des "Chouaker Tlemceniens aux manettes du pays avait dit clairement qu'il était hors de question de mettre de la technologie pétrolière entre les mains des Zouaoua. (Zouaoua = Kabyles en patois local Orannais)
Donc rien d'étonnant dans ce que rapporte le présent article.
Le cauchemar continue:
- Les anciennes installations industrielles des années 70 continueront à faire le bonheur des avanturiers étrangers avant de tomber entre les mains de la mafia locale.
- Fatma portera une bourka de plus en plus sombre et étanche à l'air et à l'eau
- Houari portera le kamis Afghani de plus en plus blanc évitant toute activité professionnelle génératrice de richesses
Il portera impérativement un couvre chef, lui aussi afghan, filtrant qui ne permettra le passage que du mot d'Allah et rejetera automatiquement toute notion scientifique "haram" venue des mécréants.
- Les hauts parleurs des mosqués seront de plus plus bruyants quitte à rendre plus malade les malades, faire trésaillir les bébés au beau milieu de la nuit et raconter chaque vendredi la même "H'kaya" sur le vécu des musulims au septième siecle.
- Le coran continuera à nous révéler la science universelle pour digérer la chorba.
et les zlabias. Ce qui éviterait l'émanation et senteurs intenses de gaz humains indésirables lors de la gymnastique forcée des "Taraouih" nocturnes.
- Le blé, l'huile et le lait continueront à venir de France, du Canada et d'ailleurs.
- P'ti mario demeurera, même mort, aux commandes du navire fou Algérie, jusqu'a la découverte d'un autre pseudo Zaim.
- Et l'accooule fondamentale vous produira des gens qui vous affirmeront que l'islam est une science exacte et que le coran est le livre unique du savoir universel
Etc.. Etc… La liste est très longue.
Rabah Benali