Lettre ouverte à la cour de justice de Béjaïa et aux hautes autorités
Cette lettre ouverte aux procureurs, juges du tribunal d’Akbou et au président et procureur général de la cour de justice de Bejaïa est écrite par Mourad Boukedami, Seddouk-Béjaia.
Après les «abus de pouvoir» et «les abus d’autorité» commis à mon encontre de manières les plus flagrantes, avec mépris et arrogance, à des moments précis en relation directe avec les affaires judiciaires comme le justifient les dates des actes et des documents, et après le faux et usage de faux démontré par le jugement rendu par le tribunal d’Akbou en date du 26.11.2005 (affaire n° 215.05) et après avoir classé toutes mes plaintes et requêtes par «abus d’autorité et de pouvoir» et ce au regard de la gravité des actes et conspirations déclenchées contre ma personne durant «une dizaine d’années» et malgré les préjudices et les justificatifs mis à leurs disposition, malgré le mal causé à mes enfants en bas âge, mes adversaires et leurs complices excellent à ce jour dans leurs comportements illégaux.
Qui a peur de l’éclatement de la vérité ? Les corrompus et ceux qui ont des choses graves à se reprocher dans mon affaire.
Non satisfaits de tout cela, mais je les comprends parfaitement bien, la justice de Bejaia (procureur d’Akbou) lance contre moi au début du mois d’octobre de l’année 2012, à un moment précis, avec la complicité directe de mes adversaires, c’est à dire au moment où je m’apprêtais à prendre mes nouvelles fonctions en qualité de cadre supérieur en audit ; comme quoi je suis recherché par la justice.
Ce ou ces procureurs de la région de Bejaia avaient lancé contre moi ces «avis de recherche» et ce «mandat d’arrêt» au début du mois d'octobre 2012 par lequel ils ont porté atteinte à mon honneur et à ma dignité, comme quoi j’étais recherché par la Justice de Bejaia depuis l’année 2007, alors que je n’ai jamais été en fuite :
1/ Ces procureurs n’ignorent nullement les actes commis par mes adversaires, justement au début de l’année 2007 (au début du mois de janvier 2007 et le 04.04.2007 et pour lesquels je les ai saisis avec documents justificatifs, et confirmant par ailleurs l’existence du « délit d’initié».
Qui avait, en effet, informé mes adversaires de l’instruction de mes plaintes à ces moments là ?
Comme ils ne peuvent ignorer ces actes et ceux des autres complices antérieurement à l’année 2007 et après 2007 (ma plainte du 11.05.2005 n° 187.05, mon audition du 13.08.2005, mon courrier recommandé n° 1831.06, autres requêtes et plaintes adressées ; aux procureurs près le tribunal d’Akbou, au juge d’instruction près le même tribunal, aux Président et Procureur Général de la Cour de justice de Bejaia n° 001157 du 20.01.2010). Aucune suite ne leur a été réservée; je suis devenu dans la durée la cible des arbitraires, d’injustices flagrants au vu et au su des responsables concernés : en clair je suis devenu l’homme à abattre par tous les moyens et conspirations dans le but de me faire taire et accepter la justice de la force en lieu et place de celle du droit et des lois.
2/ Au début de l’année 2007 justement (encore une fois) j’ai été auditionné par la police de la daira de Seddouk (Bejaia) en qualité de victime, partie civile, avec documents justificatifs y compris contre le juge de la Cour de Justice de Bejaia ayant annulé un Jugement définitif le même jour et ce en «refusant en audience publique» de recevoir et de verser au dossier de cette étrange affaire les documents attestant l’absence d’appel sur le jugement annulé par ce Juge, sans enquête préalable et sans que le représentant du Parquet ne dise mot ce jour là".
3/ Au début de l’année 2008, j’ai encore été auditionné par le Procureur près le Tribunal d’Akbou, toujours en ma qualité de victime partie civile, lequel avait fini par classer mes affaires (mes plaintes) par abus d’autorité et autres raisons (corruptions).
4/ Fin Décembre de l’année 2009, j’ai encore été auditionné par le Procureur près le tribunal d’Akbou, au sujet des faits déclenchés contre moi en 2008 et 2009 à Seddouk et à Alger, malgré les justificatifs, la gravité des faits relatés et les justificatifs mis à sa disposition, il n'avait rien fait. Pire que ça il refuse de m’auditionner sur la base des actes relatés et des justificatifs mis à sa disposition !
Et il lance contre moi un avis de recherche et mandat d’arrêt en octobre 2012.
5/ En 2009, j’ai été auditionné par la Police d’Alger après avoir saisi le Procureur près le tribunal de Bab El Oued. A ce jour, mon salaire du mois d’avril de l’année 2009 est toujours bloqué à Alger (ou détourné), après l’enregistrement de la nouvelle affaire contre moi au tribunal d’Akbou (affaire n° 556.09) et après ces problèmes que j’avais rencontrés sur les lieux de mon travail à la même date (ce n’est pas une coïncidence et ce depuis des années comme le prouvent les documents mis à leur disposition). A ce jour mon salaire du mois d’Avril 2009 est toujours bloqué sans raison par les responsables de la SARL Activacom Fabrication à Bab Ezzouar et ce malgré mes télégrammes, mes courriers recommandés et ma saisine du Procureur.
6/ Au début de l’année 2011 j’avais porté plainte, j’ai été auditionné par les services de Police de Constantine et de la Sureté de la Wilaya de Bejaia, en sus des Plaintes et Justificatifs transmis par courriers recommandés. D’autres plaintes ont été transmises par mes soins ces derniers temps (2013) à la Sureté de wilaya de Bejaia. Alors, que ces Procureurs et Juges me disent quand ai-je étais en fuite pour avoir le droit de lancer contre moi un avis de recherche et mandat d'arrêt ?
Ils ont refusé de me transmettre copie de ce «mandat d’arrêt» et de cet «avis de recherche» lancés contre moi. Leur but et de me laisser sans travail, sans ressources financières, sans défense, et se couvrir contre des poursuites judiciaires de ma part (mes plaintes à la Sureté de wilaya de Bejaia de 2011). Ils ont tenté de m’emprisonner à Alger c’est-à-dire en dehors de ma région (Bejaia) au début du mois d'Octobre de l’année 2012 : une tentative d’enlèvement dans le but de me faire taire et se débarrasser de moi une bonne fois pour toute.
- Si j’étais recherché par la Justice de Bejaia depuis l’année 2007, pourquoi ils ne m'avaient pas arrêté lors de mon audition qui avait eu lieu à la fin du mois de Décembre de l’année 2009. Ce jour là le Procureur m'avait auditionné de manière sommaire suite à ma plainte concernant les nouveaux actes déclenchés contre ma personne à Alger et Boumerdès (sur les lieux de mon travail en ma qualité de Cadre supérieur, après avoir refusé de m'auditionner sur la base des actes déclenchés contre moi et des justificatifs mis à sa disposition.
- Si j’étais recherché depuis 2007, comment se fait-il que j’ai pu retirer à maintes reprise mon casier judiciaire: en 2008 et 2009, en 2010 ?
- Si j’étais recherché depuis 2007 je dois rappeler qu’en 2007 je travaillais à quelques centaines de mètre du tribunal d’Akbou.
Fin octobre 2006 le Juge d'instruction du tribunal d'Akbou (Bejaia) avait refusé de m'auditionner après m'avoir convoqué sur la base de deux convocations officielles me demandant de me présenter pour m'auditionner.
A chaque fois qu'ils classent mes Plaintes je deviens une nouvelle la cible d'autres actes et conspirations criminelles et toujours à des moments précis. Et ainsi de suite. La presse a révélé les actes criminels de leurs complices (mes ex employeurs) et malgré cela je demeure votre cible.
Ces procureurs et juges n'ont jamais convoqué ou auditionné les autres coupables (leurs complices de l'extérieur). Il y avait «faux et usage de faux», "corruptions". Ils ont pris ma vie en otage. Plus grave encore, le 23.10.2012 j’avais retiré mon casier judiciaire à la Cour de Justice de Bejaia, après cet "avis de recherche et mandat d'arrêt lancés contre moi au début Octobre 2012, après avoir exposé ce problème à l'actuel ministre de la Justice. Mais ils ne m'ont donné aucune explication.
En date du 20.01.2010 j'avais saisi le Président et le Procureur Général avec plus d'une trentaine de justificatifs pour rouvrir les dossiers de mes plaintes, mais en vain (envoi n° 001157). Ils ont protégé des personnes condamnées pour des affaires de droit commun, et autres criminels dont la presse en a publié des articles en 2008 et en 2011.
Je maintiens mes Plaintes contre eux et contre leurs complices. Je ne les laisserai jamais porter atteinte à ma dignité et à mon nom. Je ne serai pas en fuite. Je ne pardonnerai pas à tous ceux qui sont impliqués dans mon affaire ni accepter toutes ces impunités. Les personnes impliquées dans mon affaire ne sont et ne seront des miens. Ils ont tenté d'exploser ma cellule familiale en 2006 en utilisant un huissier de justice d'Akbou et ce sur la base d'un PV de notification comportant des déclarations mensongères et graves imputées sur mon frère et ma mère. A ce jour justice n'est pas rendue : le PV en question ne m’a pas été remis malgré ma saisine du Procureur près le tribunal d’Akbou par mon courrier recommandé du 20/06/2006 portant le numéro 1831/06. Mais ce Procureur s’était empressé de m’accuser rapidement dans une affaire montée contre moi de toute pièce en été de la même année (2006) c'est-à-dire au moment où j’entreprenais des démarches pour retrouver le dossier et le jugement d’une affaire à Alger (n° 3941.04), jugement que mes adversaires avaient dissimulé en 2004 et les années d’après et à ce jour d’ailleurs.
Ils m'ont causé environ 5 mois de convalescences et toutes mes plaintes ont été classées, sans convoquer aucun des coupables et malgré les justificatifs probants. A ce jour (juillet 2013) je suis privé de tout contact avec mon fils malgré les paiements des sommes des pensions alimentaires et malgré mes courriers recommandés adressés aux concernés depuis des mois.
Le Procureur près le tribunal d’Akbou (année 2006) déclare que mes affaires ont été jugées. Pur mensonge. Je défie ce ou ces procureurs d’expliquer quelles sont les affaires qui ont été jugées, dans quelles conditions ont été jugées d’autres. Je les défie de répondre sur ce quotidien. C’est eux les Commanditaires ou complices de manières flagrantes.
Par conséquent j’attends des hautes autorités que j’ai saisies des décisions pour que justice soit rendue dans cette affaire et ce sur la base des justificatifs se trouvant au niveau du Parquet du tribunal d’Akbou, auprès du Président et du Procureur cénéral de la Cour de justice de Bejaia et d’instruire mes plaintes qui s’y trouvent ainsi que mes plaintes qui se trouvent à la sureté de wilaya de Bejaia.
Mourad Boukedami
Seddouk-Bejaia
Commentaires (3) | Réagir ?
Pour te détendre un peu !
Le procureur d’Akbou vient d’être arrêté et mis sous mandat de dépôt en attendant son jugement et ce pour sa complicité dans le trafic de drogue ! En effet tout en tapant très fort sur des jeunes consommateurs de drogue (victimes eux aussi) la police d’Akbou s’est rendu compte que le revendeur lui rentre par une porte et sort par une autre sans etre inquiété jusqu’au jour une victime fils de …. !
IL NE TE RESTE QU'UNE CHOSE FOUE LEUR UN COUP DE PIED DANS LE C................. A CES JUGES HAINEUX ET POURRIS.
NOUS TE SOUTENONS CHER CONCITOYEN. EMPLOIE LA DESOBEISSANCE JUDICIAIRE