2. Des visiteurs de la nuit, ou une clique d’assassins, cernent le domicile de Taoufik Ben Brik
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Par Taoufik Ben Brik
Mardi 22 février 2013, une grosse voiture aveugle stationne tous phares ouverts, non loin de la résidence Beau Site, à Ennasr II. A l’intérieur, deux costumes noirs en guise de malabars. L’un d’eux descend et accoste Am Salah, le concierge de nuit : "Est-que Ben Brik habite toujours ici ? Est-il là ? Qu’est-ce qu’il fait ?». Am Salah me rapporte ses réponses : "Non, il n’habite plus ici, il a loué son appartement. Il vit maintenant en France avec sa famille".
Drôle de cirque ! Est-ce la police politique héritière du poulailler de Ben Ali qui continue son éternel manège de harcèlements, de faux semblants pour insuffler la peur et la paralysie ? A quoi rime cette manœuvre de l’ombre, aujourd’hui du temps du lynchage, des assassinats, des blacklists de la police parallèles et des escadrons de la mort ? Mais aussi de manipulation et de fausses pistes. Du temps de Ben Ali, on avait peur, mais pas pour notre existence, bon sang ! Aujourd’hui, on a peur d’exister, merde.
N’y croyez rien, j’existerai toujours pour bousiller vos plans à la con et réduire en cendres vos manigances bêtes et roublardes. Ali Laârayedh, dites à vos clebs : couchez, y a personne à liquider.
T.B.B.
Commentaires (5) | Réagir ?
Tenez bon monsieur BenBrik, ces islamo-cochons sont tout sauf courageux. Comme des loups, ils attaquent en meute. Nous avons entière confiance dans la jeunesse Tunisienne et surtout ses valeureuses femmes.
Ni foi, ni loi ! Ces clebs actionnés par des intérêts tentent d’intimider des honnêtes gens.