Fin de la prise d'otages d'In Amenas : plusieurs otages tués ainsi que 11 ravisseurs
Dans le milieu de la matinée de ce samedi 19 janvier, les forces spéciales algériennes ont donné l'assaut final dans le complexe gazier d'In Amenas, dans le sud-est algérien. Plusieurs otages étrangers et onze ravisseurs ont été tués, affirme l'agence de presse algérienne. Suivez nos informations sur la fin de cette prise d'otages.
A environ 13h15 (TU), l'assaut final donné par l'armée algérienne sur le site gazier d'In Amenas, dans le sud-est du pays, est terminé, a confirmé, sur Twitter, Leila Beratto, notre correspondante à Alger.
Bilan incertain de l'opération de ce samedi : sept otages étrangers et onze ravisseurs auraient été tués lors de l'assaut, selon l'agence de presse algérienne (APS). Des chiffres fiables, puisque le nombre de terroristes encore retranchés était estimé à une dizaine, mais demandent cependant à être confirmés.
Au total, «selon mes propres calculs, le bilan est donc : 29 assaillants tués (ils étaient «une trentaine») + 32 otages tués (algériens et étrangers)», estime la correspondante de RFI.
«Nous pensons que les otages ont été assassinés en représailles», a déclaré une source sécuritaire à l'AFP.
De son côté, l'agence Reuters rapporte que seize otages étrangers, dont deux Américains, deux Allemands et un Portugais, ont été libérés.
Par RFI
Commentaires (5) | Réagir ?
Ils ont tués pour moins que ça, alors aller jusqu'à toucher leur biberon, alors ça pas question, ils sont tarés ces terroristes, ils ne lisent pas l'histoire ou quoi ?, il y a des choses avec lesquelles il ne faut jamais déconner, telle que le gaz, le pétrole, le port, les concessions de voitures, le vote, le pouvoir, et quelques bricoles, s'ils veulent vivre en paix, ils faut qu'ils aillent en Kabylie, là bas on les touchera pas, et puis si'ils font des dégâts, ce n'est pas trop grave, y'a que des forets brûlées, et pas de gaz.
Les Algériens n'irons jamais se battre a l’extérieur de leur frontière. Aucune famille algérienne n’enverra ses enfants mourir ailleurs qu'en Algérie.
Les journalistes perroquets ou connivents qui incitent l'état a changer sa doctrine dans le sens de laisser la territoire national sans défense et aller se battre ailleurs pour d'autres, sont des traitres.